Nous sommes à certains moments tous conscients des
irritations et des contrariétés de la vie ; parfois nous sommes troubles, décourages,
mécontents, car nous perdons la paix, le sens de l’objectif qui sont toujours
si essentiels au calme et a la tranquillité intérieure.
Et ces contrariétés s’accroissent lorsque nous voyons les
jours passer rapidement et que nous nous voyons courir, aller et venir,
consommer les heures, ne faisant pas tout ce que nous devrions et, dans nos
efforts pour rattraper et récupérer, chanceler sous les excès, avec des hauts
et des bas ; tantôt enthousiastes, tantôt déprimes ; tant de choses qui sont défaites
et tant de choses qui sont rebattues.
Et ainsi aujourd’hui, avec un peu d’introspection, nous réclamerions
du calme et de la tranquillité, de la patience, de la contemplation et la réévaluation
de notre objectif, avec la foi dans les possibilités illimitées et éternelles
de la vie.
Et, parallèlement à la foi, nous avons besoin de
repentance, de compréhension, de charité, de pardon, car tous nous devons
affronter l'évaluation de notre passe, l’utilisation du présent et nous tourner
vers les valeurs qui dureront le plus longtemps.
Et, s'il plait à Dieu, apprenons l’inutilité de l’inimitié
— l’inimitié vis-à-vis du mal, oui — mais pas l’inimitié vis-à-vis des autres
qui essaient sincèrement de vivre et de trouver leur chemin dans la vie.
Oh, puissions-nous mener notre vie avec plus de sollicitude
et de bonté pour les êtres chers, plus de compassion pour les autres, plus d’honnêteté,
plus de douceur dans le jugement et peut-être nous pardonner davantage à nous-mêmes,
sachant que Dieu vit, que la vie et les êtres chers sont éternels, que sa loi,
sa puissance et son pouvoir s’étendent sur tous, et trouver ainsi la foi et la
paix, tandis que nous nous améliorons, nous repentons, pardonnons aux autres, gardons
ses commandements, vivons les lois de la sante, les lois du bonheur, en fait
les lois de la vie, vivant de telle manière que, avec douceur et sincérité,
nous puissions nous pardonner aussi à nous-mêmes.
RICHARD L. EVANS
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