LORSQUE L’HUMILITE N’EST PAS CE QUE VOUS CROYEZ
L’orgueil est souvent référencé en tant que pécher universel. D’une perspective de théologie mormone, cela semble assez approprié, l’orgueil a poussé Satan à se rebeller contre les Cieux, l’orgueil a conduit d’anciennes civilisation à leur perte, il a été le facteur déterminant qui a causé la montée au pouvoir d’individus maléfiques au travers de l’histoire, et quiconque a étudié le Livre de Mormon a probablement entendu parler du cycle de l’orgueil.
Il semblerait que certains exemples d’orgueil soient faciles à identifier, c’est sans doute pour cela qu’il est difficile à gérer, cependant, il se présente sous des formes parfois bien plus subtiles mais tout aussi dommageables.
Dans son discours « prenez garde à l’orgueil », Président Ezra Taft BENSON fait référence aux différentes facettes de l’orgueil, lesquelles prennent forme en gardant des rancunes, en refusant le pardon ou en ayant un esprit de contention envers des membres de sa famille.
Identifier l’humilité et l’orgueil :
Président BENSON conclut son discours en détaillant comment l’humilité est l’antidote certain à l’orgueil. Ceci n’est pas une surprise, l’opposé de la philosophie « du centre du monde » qui permet de réaliser qu’il y a autre chose que nous même, que nous ne savons pas tout, et que nous ne sommes pas en effet meilleur que qui que ce soit.
L’orgueil c’est mauvais, l’humilité c’est bon.
Ça à l’aire simple comme ça non ? Peut être pas. Tout comme l’orgueil a plusieurs facettes et peut prendre des aspects cachés, l’humilité n’est pas toujours ce que l’on croit, et pouvoir identifier les deux peut s’avérer délicat. C’est un sujet qui revient souvent en thérapie. Voici quelques facettes où l’orgueil se manifeste à tord, tout en portant le masque de l’humilité.
1) auto dénigrement
j’ai travaillé avec beaucoup de clients qui pensaient à tord qu’une mauvaise estime de soi est de l’humilité. Lorsque vous vous dépréciez, ou que vous tirez ver le bas, vous pourriez penser que c’est de l’humilité mais c’est tout le contraire.
En pointant excessivement vos faiblesses et vos défauts, en refusant un compliment sincère, vous êtes en train de renier la divinité qui existe en vous. Président BENSON dit que l’inimitié est le point central de l’orgueil. En rejetant les dons divins que l’on vous a donné, c’est une sorte d’inimitié envers Dieu.
C.S LEWIS a dit : « c’est la comparaison qui vous rend orgueilleux, le plaisir d’être au dessus du reste. Une fois l’élément de compétition disparu alors l’orgueil n’existe plus. Pour éviter l’orgueil il ne faut pas se mettre en dessus des autres mais pas en dessous non plus ».
Dieter F. UCHTDORF a paraphrasé les mots de LEWIS en disant que : « l’orgueil est dans la comparaison, le classement. La comparaison crée de l’hostilité envers les autres et envers vous-même, selon qui se classe au plus haut dans la comparaison ».
On ne découvre pas l’humilité en ayant une moins bonne opinion de soi, on la découvre en pensant moins à soi.
2) L’obsession de ce que les autres pensent
je ne parle pas seulement d’être vaniteux ou narcissique ici ; je parle d’être obsédé par la manière dont les autres nous perçoivent, comment nous paraissons, spirituellement ou émotionnellement, au reste du monde. J’ai beaucoup de personnes disent qu’ils hésitent à faire ou à dire quelque chose parce qu’ils ne veulent pas sembler arrogants. En d’autres termes ils veulent avoir l’air humble.
J’en ai connu d’autres qui se souciaient de savoir si les membres de leur paroisse avaient une bonne image d’eux pour ne pas compromettre un appel à responsabilité dans l’église.
Alors qu’il est bon d’être conscient de soi et conscient de l’impression que nous donnons, cela peut être problématique lorsque nous voulons « apparaître » humble vis-à-vis des autres, alors là, c’est de l’orgueil.
Rappelez vous que les Ecritures enseignent « l’Eternel ne considère pas ce que l’homme considère, l’homme regarde à ce qui frappe les yeux mais l’Eternel regarde au cœur » 1 Samuel 16 :7.
3) Un souci excessif pour les choix des autres ainsi que leur droiture
Dans l’Evangile de Jésus Christ, il nous ait demandé d’apporter secours et assistance à nos frères et sœurs. La structure d’une famille, d’un foyer et les visites au foyer, et pratiquement tous les autres aspects de l’organisation de l’Eglise témoignent de ce fait ; nous sommes ici pour nous encourager et nous motiver les uns les autres, à la fois temporellement et spirituellement. Cependant je pense que trop souvent nous devenons excessivement soucieux des témoignages, des croyances et des choix moraux de ceux qui ne sont pas dans la même façon de gérer leur vie que la notre, comme un moyen d’attester notre propre droiture.
Une pensée pourrait être « je me sens tellement préoccupé pour elle, elle vas vers le fond. » pourrait finalement dire « je suis tellement heureux de ne pas aller dans cette direction, je suis bien contente d’être sur le bon chemin, pour pouvoir la remettre sur le bon chemin ».
Il y a bien entendu les personnes pour lesquelles nous avons l’intendance (nos enfants), et il est de notre responsabilité de soutenir leur bien être spirituel.
Alors qu’il est normal de se soucier du bien être dont nous avons la responsabilité (D&A 93 : 44), il est tout autant important de rechercher l’équilibre dans notre inquiétude quand au témoignage et le caractère digne d’une personne avec la connaissance et le respect de son libre arbitre.
Si vous n’arrivez pas à savoir qu’elle est la limite d’un souci approprié et une inquiétude obsédante (orgueil), alors priez pour avoir l’Esprit de discernement pour savoir qu’elle est la meilleure attitude à adopter.
4) Satisfaire les autres
Comment le fait de vouloir rendre les autres heureux peut être une forme d’orgueil ? La vérité est telle que le fait de satisfaire les autres n’est au final pas le but recherché dans ce cas, mais plutôt pour se sentir rassuré, validé et valorisé dans son estime personnelle.
Lorsque nous laissons nos limites émotionnelles et personnelles être piétinées dans une tentative désespérée à rechercher l’approbation et l’appartenance, nous pourrions tout simplement dire que l’amour de nos parents céleste et nos valeur personnelle ne sont pas suffisants pour nous combler.
L’orgueil est de vouloir obtenir des éloges du monde et de l’approbation, et satisfaire à tout prix les gents. Bien qu’une partie de notre expérience terrestre est de trouver de la joie dans les relations, nier nos propres besoins dans une tentative supposé de « servir » quelqu’un d’autre n’est pas de l’humilité, et cela n’est pas sain non plus.
Aller de l’orgueil vers une humilité vaillante
Il est évident que l’orgueil et l’humilité peuvent ne pas être aussi simple que l’on aimerait le croire.
Dans le guide des Ecritures nous pouvons lire la définition de l’humilité : « rendre doux et réceptif, douceur et réceptivité. Etre humble implique que l’on reconnaît que l’on dépend de Dieu et que l’on désire se soumettre à sa volonté ».
Lorsque nous reconnaissons notre dépendance envers Dieu, nous pouvons être à la fois forts et sans peur, nous pouvons être humbles et vaillants
Humilité ne veut pas dire mauvaise estime de soi, obsession de l’apparence, souci du regard des autres….
L’humilité sans peur et vaillante veut dire accepter des compliments sincères et reconnaître la bonté de Dieu en nous. C’est aussi de ne pas se préoccuper de la façon dont les autres nous voient en se concentrant plutôt sur la façon dont Dieu nous voit. Cela peut être aussi de recadrer notre souci du salut pour quelqu’un vers notre Père céleste, et d’expérimenter une augmentation de foi et de confiance en Dieu.
Quoi qu’il en soit, reconnaissons la et trouvons des façons d’aller de l’avant dans la vraie humilité, vers le Christ
Lune de sang et autres signes de la Seconde Venue du Sauveur
L’éclipse lunaire avec une lune rouge sang a suscité beaucoup de commentaires en relation avec la Seconde Venue du Christ. Ce buzz est l’occasion parfaite de passer en revue les signes des derniers jours donnés par Jésus à ses disciples dans Mathieu 24. Les membres de l’Eglise de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours (souvent appelés Mormons par mégarde), croient que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, reviendra dans toute sa gloire sur terre à la fin des temps, initiant la période de jugement des hommes et une période de paix appelée le millénium.
Jésus a ridiculisé les personnes malintentionnées lorsqu’elles lui ont demandé de « montrer un signe venant du ciel » en leur demandant : « Vous ne pouvez pas discerner les signes des temps ? » (Mat 16 : 1-4). Le Seigneur a promis à ses serviteurs : « Et il vous sera donné de connaître les signes des temps, et les signes de la venue du Fils de l’Homme. » (Doctrine et Alliances 68 :11)
Le président Joseph Fielding Smith a enseigné :
Tels qu’indiqués dans les écritures, les signes sont les événements et les faits qui identifient le présent et qui annoncent des événements futurs. Ce sont des présages, prodiges et merveilles anormaux. Les temps signifient l’âge, l’ère, la période ou la dispensation en question. Ainsi les signes des temps pour notre période ou dispensation sont les événements merveilleux qui diffèrent selon leur genre, leur importance ou magnitude, des autres événements passés, et qui caractérisent la dispensation de la plénitude des temps et annonce le Second Avènement de notre Seigneur.
Mathieu 24 est un récit superbement concis listant bon nombre de signes précédant la Seconde Venue du Sauveur. Les Saints des Derniers Jours croient que la traduction de Mathieu 24 du prophète Joseph Smith place les événements dans un ordre plus facilement compréhensible : la destruction de Jérusalem qui se produirait à peu près au moment de Sa mort, et les signes liés à la fin du monde.
« Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur dans les nuées du ciel, et tous les saints anges avec lui. Ses disciples comprirent alors qu’il reviendrait sur la terre après avoir été glorifié et couronné à la droite de Dieu. » (Mat 23 :39 ; Joseph Smith Mathieu 1 :1)
L’éclipse lunaire avec une lune rouge sang a suscité beaucoup de commentaires en relation avec la Seconde Venue du Christ. Ce buzz est l’occasion parfaite de passer en revue les signes des derniers jours donnés par Jésus à ses disciples dans Mathieu 24. Les membres de l’Eglise de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours (souvent appelés Mormons par mégarde), croient que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, reviendra dans toute sa gloire sur terre à la fin des temps, initiant la période de jugement des hommes et une période de paix appelée le millénium.
Jésus a ridiculisé les personnes malintentionnées lorsqu’elles lui ont demandé de « montrer un signe venant du ciel » en leur demandant : « Vous ne pouvez pas discerner les signes des temps ? » (Mat 16 : 1-4). Le Seigneur a promis à ses serviteurs : « Et il vous sera donné de connaître les signes des temps, et les signes de la venue du Fils de l’Homme. » (Doctrine et Alliances 68 :11)
Le président Joseph Fielding Smith a enseigné :
Tels qu’indiqués dans les écritures, les signes sont les événements et les faits qui identifient le présent et qui annoncent des événements futurs. Ce sont des présages, prodiges et merveilles anormaux. Les temps signifient l’âge, l’ère, la période ou la dispensation en question. Ainsi les signes des temps pour notre période ou dispensation sont les événements merveilleux qui diffèrent selon leur genre, leur importance ou magnitude, des autres événements passés, et qui caractérisent la dispensation de la plénitude des temps et annonce le Second Avènement de notre Seigneur.
Mathieu 24 est un récit superbement concis listant bon nombre de signes précédant la Seconde Venue du Sauveur. Les Saints des Derniers Jours croient que la traduction de Mathieu 24 du prophète Joseph Smith place les événements dans un ordre plus facilement compréhensible : la destruction de Jérusalem qui se produirait à peu près au moment de Sa mort, et les signes liés à la fin du monde.
« Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur dans les nuées du ciel, et tous les saints anges avec lui. Ses disciples comprirent alors qu’il reviendrait sur la terre après avoir été glorifié et couronné à la droite de Dieu. » (Mat 23 :39 ; Joseph Smith Mathieu 1 :1)
Le Temple sera détruit
« Il ne restera pas ici, sur ce temple, pierre sur pierre qui ne soit renversée. » (Mathieu 24 :3 ; Joseph Smith-Mathieu 1 :3)
La révolte juive contre les Romains en 70 après Jésus-Christ donna lieu à l’accomplissement de la prophétie du Sauveur disant que le temple et Jérusalem seraient détruits. L’historien Flavius Josephus écrivit les annales de cette destruction horrible et totale, estimant le nombre de morts juifs à 1, 100,000.
« Alors que le temple était en feu, les vainqueurs pillèrent tout ce qui leur barrait la route et massacrèrent tous ceux qu’ils attrapaient. Ils ne montraient aucune pitié peu importe l’âge, aucun égard envers les gradés, les enfants ni les vieillards, les religieux et les prêtres. Tous étaient massacrés : toutes les classes sociales étaient impliquées et piégées par cette guerre… On entendait les cris guerriers des légions romaines chargeant en avant, les hurlements des rebelles encerclés par les flammes et les épées, les courses des gens qui, ne pouvant plus reculer, se jetaient paniqués dans les bras de l’ennemi… Vous auriez pensé que la colline du temple brûlait depuis sa base, ressemblant à une boule de feu, mais malgré cela, le flot de sang était plus impressionnant que les flammes, et les tués plus nombreux que les tueurs.
« Il ne restera pas ici, sur ce temple, pierre sur pierre qui ne soit renversée. » (Mathieu 24 :3 ; Joseph Smith-Mathieu 1 :3)
La révolte juive contre les Romains en 70 après Jésus-Christ donna lieu à l’accomplissement de la prophétie du Sauveur disant que le temple et Jérusalem seraient détruits. L’historien Flavius Josephus écrivit les annales de cette destruction horrible et totale, estimant le nombre de morts juifs à 1, 100,000.
« Alors que le temple était en feu, les vainqueurs pillèrent tout ce qui leur barrait la route et massacrèrent tous ceux qu’ils attrapaient. Ils ne montraient aucune pitié peu importe l’âge, aucun égard envers les gradés, les enfants ni les vieillards, les religieux et les prêtres. Tous étaient massacrés : toutes les classes sociales étaient impliquées et piégées par cette guerre… On entendait les cris guerriers des légions romaines chargeant en avant, les hurlements des rebelles encerclés par les flammes et les épées, les courses des gens qui, ne pouvant plus reculer, se jetaient paniqués dans les bras de l’ennemi… Vous auriez pensé que la colline du temple brûlait depuis sa base, ressemblant à une boule de feu, mais malgré cela, le flot de sang était plus impressionnant que les flammes, et les tués plus nombreux que les tueurs.
Signes de la Seconde Venue du Sauveur
Faux Christs, apostasie, faux prophètes
« Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens. Alors on vous livrera aux tourments, et l’on vous fera mourir, et vous serez haïs de toutes les nations, à cause de mon nom. Et alors aussi plusieurs succomberont, et ils se trahiront, se haïront les uns les autres. Plusieurs faux prophètes s’élèveront, et ils séduiront beaucoup de gens. Car en ces jours-là il s’élèvera de faux Christs et de faux prophètes, et ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s’il était possible, même les élus, qui sont les élus selon l’alliance. » (Mat 24 :5, 9-11, 23-24 ; Joseph Smith Mat 1 :6-9, 22)
Jésus avait clairement averti ses disciples qu’ils devraient s’appuyer sur ses enseignements avant sa Seconde Venue. Les Mormons pensent qu’un moyen de rendre cela possible est de maintenir une relation avec Dieu, en suivant le guide du Saint Esprit, et à travers le pouvoir habilitant de l’Expiation de Jésus-Christ. Dieu a promis qu’il suivrait un modèle pour révéler ses vérités : par l’intermédiaire des prophètes, de deux ou plusieurs témoins, par l’autorité de la prêtrise et l’organisation de l’Eglise.
Le président Joseph F. Smith a conseillé :
« Nous ne pouvons accepter aucune autorité exceptée celle qui vient directement du canal approprié, l’organisation de la prêtrise qui est le canal que Dieu a désigné comme étant celui par lequel il ferait connaître Son esprit et Sa volonté au monde. …Et le moment ou quiconque regarde vers toutes autres sources, il se laisse prendre par l’influence séductrice de Satan. … Lorsque vous voyez un homme se lever et affirmer avoir reçu une révélation directe du Seigneur pour l’Eglise, en toute indépendance de l’ordre et du canal de la prêtrise, vous pouvez le considérer comme un imposteur.
« Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens. Alors on vous livrera aux tourments, et l’on vous fera mourir, et vous serez haïs de toutes les nations, à cause de mon nom. Et alors aussi plusieurs succomberont, et ils se trahiront, se haïront les uns les autres. Plusieurs faux prophètes s’élèveront, et ils séduiront beaucoup de gens. Car en ces jours-là il s’élèvera de faux Christs et de faux prophètes, et ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s’il était possible, même les élus, qui sont les élus selon l’alliance. » (Mat 24 :5, 9-11, 23-24 ; Joseph Smith Mat 1 :6-9, 22)
Jésus avait clairement averti ses disciples qu’ils devraient s’appuyer sur ses enseignements avant sa Seconde Venue. Les Mormons pensent qu’un moyen de rendre cela possible est de maintenir une relation avec Dieu, en suivant le guide du Saint Esprit, et à travers le pouvoir habilitant de l’Expiation de Jésus-Christ. Dieu a promis qu’il suivrait un modèle pour révéler ses vérités : par l’intermédiaire des prophètes, de deux ou plusieurs témoins, par l’autorité de la prêtrise et l’organisation de l’Eglise.
Le président Joseph F. Smith a conseillé :
« Nous ne pouvons accepter aucune autorité exceptée celle qui vient directement du canal approprié, l’organisation de la prêtrise qui est le canal que Dieu a désigné comme étant celui par lequel il ferait connaître Son esprit et Sa volonté au monde. …Et le moment ou quiconque regarde vers toutes autres sources, il se laisse prendre par l’influence séductrice de Satan. … Lorsque vous voyez un homme se lever et affirmer avoir reçu une révélation directe du Seigneur pour l’Eglise, en toute indépendance de l’ordre et du canal de la prêtrise, vous pouvez le considérer comme un imposteur.
La croissance de l’iniquité refroidi l’amour
« Et, parce que l’iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira » (Mat 24:12; Joseph Smith- Mathieu 1:10, 30).
Quand le péché envahi nos vies, nous avons tendance à devenir plus égoïstes et égocentriques, considérant ceux autour de nous comme des obstacles et des ennemis de notre bonheur. Nos intérêts personnels ne nous laissent pas faire preuve d’empathie et finalement l’amour s’éteint.
Elder M. Russell Ballard a dit :
« L’adversité est pour beaucoup créée par l’homme. Le cœur des hommes se refroidit et l’esprit de Satan contrôle leurs actions. En prédisant les jours de souffrance de notre époque, le Sauveur a dit : « L’amour des hommes se refroidira, et l’iniquité se répandra. » La violence, l’immoralité et d’autres maux sont répandus sur la terre. Une grande partie de l’adversité tient son origine dans le principe du libre arbitre.
Nous avons tendance à prendre le libre arbitre comme une affaire personnelle. Si l’on demande à quelqu’un de définir « libre arbitre », la réponse sera certainement quelque chose comme : « Le libre arbitre veut dire que je suis libre de faire mes propres choix. » Nous négligeons souvent le fait que les choix ont des conséquences ; nous oublions également que le libre arbitre procure le même privilège du choix aux autres. Parfois nous serons affectés par la manière avec laquelle d’autres gens choisissent d’exercer leur libre arbitre. Notre Père Céleste veut tellement protéger notre libre arbitre qu’il permet à ses enfants de l’exercer en bien ou en mal »
« Et, parce que l’iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira » (Mat 24:12; Joseph Smith- Mathieu 1:10, 30).
Quand le péché envahi nos vies, nous avons tendance à devenir plus égoïstes et égocentriques, considérant ceux autour de nous comme des obstacles et des ennemis de notre bonheur. Nos intérêts personnels ne nous laissent pas faire preuve d’empathie et finalement l’amour s’éteint.
Elder M. Russell Ballard a dit :
« L’adversité est pour beaucoup créée par l’homme. Le cœur des hommes se refroidit et l’esprit de Satan contrôle leurs actions. En prédisant les jours de souffrance de notre époque, le Sauveur a dit : « L’amour des hommes se refroidira, et l’iniquité se répandra. » La violence, l’immoralité et d’autres maux sont répandus sur la terre. Une grande partie de l’adversité tient son origine dans le principe du libre arbitre.
Nous avons tendance à prendre le libre arbitre comme une affaire personnelle. Si l’on demande à quelqu’un de définir « libre arbitre », la réponse sera certainement quelque chose comme : « Le libre arbitre veut dire que je suis libre de faire mes propres choix. » Nous négligeons souvent le fait que les choix ont des conséquences ; nous oublions également que le libre arbitre procure le même privilège du choix aux autres. Parfois nous serons affectés par la manière avec laquelle d’autres gens choisissent d’exercer leur libre arbitre. Notre Père Céleste veut tellement protéger notre libre arbitre qu’il permet à ses enfants de l’exercer en bien ou en mal »
Abomination et désolation à Jérusalem
« C’est pourquoi, lorsque vous verrez l’abomination de la désolation dont a parlé le prophète Daniel, concernant la destruction de Jérusalem, alors vous vous tiendrez dans le lieu saint ; que celui qui lit fasse attention ! alors, que ceux qui seront en Judée fuient dans les montagnes… » Car alors, en ces jours-là, la détresse sera grande sur les Juifs et sur les habitants de Jérusalem, telle que Dieu n’en avait encore jamais envoyée de pareille sur Israël depuis le commencement de leur royaume jusqu’à maintenant ; et qu’il n’y en aura jamais plus sur Israël. Toutes les choses qui leur sont arrivées ne sont que le commencement des douleurs qui s’abattront sur eux. Et, si ces jours n’étaient pas abrégés, personne de leur chair ne serait sauvé, mais à cause des élus, selon l’alliance, ces jours seront abrégés. (Mat 24 :15-16 ; JS Mat 1 : 12-13, 18-20)
Le Dictionnaire Biblique définit l’abomination de la désolation :
« Daniel a parlé prophétiquement du jour où il y aurait l’abomination du dévastateur (Daniel 11 :31 ; 12 :11), et la phrase a été reprise dans le Nouveau Testament disant ‘L’abomination de la désolation dont a parlé le prophète Daniel’ (Matthieu 24 :15).
« Les conditions pour la désolation, issues des abominations et de la cruauté, devaient se manifester deux fois pour accomplir les paroles de Daniel. La première fois devait être lorsque les légions romaines, sous Titus en 70 avant Jésus Christ, ont assiégés Jérusalem (Matthieu 24 :15 ; Joseph Smith, Matthieu 1 :12).
« Parlant des derniers jours, des jours suivants le Rétablissement de l’évangile et de sa déclaration ‘un témoin dans toutes les nations,’ notre Seigneur a dit : « Et de plus, l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, s’accomplira. » (Joseph Smith, Matthieu 1 :31-32). En d’autres mots, Jérusalem sera à nouveau assiégée.
Dans un sens général, abomination de désolation décrit également le jugement des derniers jours qui tombera sur les méchants où qu’ils soient. Et pour que les justes puissent échapper à ces choses, le Seigneur envoie ses serviteurs pour prévenir, pour déclarer la bonne nouvelle du Rétablissement à moins que ‘la désolation et la destruction’ ne tombent sur eux. [Doctrine et Alliances 84:114]”
Les Mormons croient en les lieux saints comme refuges contre les tempêtes qui frapperont avant la Seconde Venue du Christ. De ces lieux saints, le président Ezra Taft Benson a dit :
« Les lieux saints consistent en nos temples, nos églises, nos maisons et pieux de Sion, qui sont, comme le déclare le Seigneur, ‘pour la défense, le refuge contre la tempête, et contre la colère lorsqu’elle sera déversée sans mélange sur toute la terre. » (Doctrine et Alliances 115:6)
« C’est pourquoi, lorsque vous verrez l’abomination de la désolation dont a parlé le prophète Daniel, concernant la destruction de Jérusalem, alors vous vous tiendrez dans le lieu saint ; que celui qui lit fasse attention ! alors, que ceux qui seront en Judée fuient dans les montagnes… » Car alors, en ces jours-là, la détresse sera grande sur les Juifs et sur les habitants de Jérusalem, telle que Dieu n’en avait encore jamais envoyée de pareille sur Israël depuis le commencement de leur royaume jusqu’à maintenant ; et qu’il n’y en aura jamais plus sur Israël. Toutes les choses qui leur sont arrivées ne sont que le commencement des douleurs qui s’abattront sur eux. Et, si ces jours n’étaient pas abrégés, personne de leur chair ne serait sauvé, mais à cause des élus, selon l’alliance, ces jours seront abrégés. (Mat 24 :15-16 ; JS Mat 1 : 12-13, 18-20)
Le Dictionnaire Biblique définit l’abomination de la désolation :
« Daniel a parlé prophétiquement du jour où il y aurait l’abomination du dévastateur (Daniel 11 :31 ; 12 :11), et la phrase a été reprise dans le Nouveau Testament disant ‘L’abomination de la désolation dont a parlé le prophète Daniel’ (Matthieu 24 :15).
« Les conditions pour la désolation, issues des abominations et de la cruauté, devaient se manifester deux fois pour accomplir les paroles de Daniel. La première fois devait être lorsque les légions romaines, sous Titus en 70 avant Jésus Christ, ont assiégés Jérusalem (Matthieu 24 :15 ; Joseph Smith, Matthieu 1 :12).
« Parlant des derniers jours, des jours suivants le Rétablissement de l’évangile et de sa déclaration ‘un témoin dans toutes les nations,’ notre Seigneur a dit : « Et de plus, l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, s’accomplira. » (Joseph Smith, Matthieu 1 :31-32). En d’autres mots, Jérusalem sera à nouveau assiégée.
Dans un sens général, abomination de désolation décrit également le jugement des derniers jours qui tombera sur les méchants où qu’ils soient. Et pour que les justes puissent échapper à ces choses, le Seigneur envoie ses serviteurs pour prévenir, pour déclarer la bonne nouvelle du Rétablissement à moins que ‘la désolation et la destruction’ ne tombent sur eux. [Doctrine et Alliances 84:114]”
Les Mormons croient en les lieux saints comme refuges contre les tempêtes qui frapperont avant la Seconde Venue du Christ. De ces lieux saints, le président Ezra Taft Benson a dit :
« Les lieux saints consistent en nos temples, nos églises, nos maisons et pieux de Sion, qui sont, comme le déclare le Seigneur, ‘pour la défense, le refuge contre la tempête, et contre la colère lorsqu’elle sera déversée sans mélange sur toute la terre. » (Doctrine et Alliances 115:6)
Guerres et bruits de guerres
« Et ils entendront parler de guerres et de bruits de guerres. Voici, je parle à cause de mes élus; car une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume » (Mat 24:6-7, Joseph Smith- Matthieu 1:28-29).
Le président Gordon B. Hinckley a dit :
« Nous vivons à une époque où des hommes violents font des choses terrible et abjectes. Nous vivons dans une époque de guerre. Nous vivons dans une époque d’arrogance. Nous vivons dans une période de cruauté, de pornographie, d’immoralité. Tous les péchés de Sodome et Gomorrhe hantent notre société. Nous n’avons jamais vu plus clairement la face vicieuse du mal. Et donc, mes frères et sœurs, nous sommes réunis ensemble pour cette grande conférence pour nous fortifier et nous soutenir les uns les autres, pour nous aider et nous élever les uns les autres, pour nous encourager et faire grandir notre foi, pour penser aux choses merveilleuses que le Seigneur a rendues disponibles pour nous, et pour renforcer notre détermination à combattre le mal sous toutes ses formes.
Nous sommes devenus comme une grande armée. Nous sommes désormais un peuple d’importance. Notre voix est entendue quand nous parlons. Nous avons démontré notre force dans l’adversité. Notre force est notre foi au Tout Puissant. Aucune cause sous les cieux ne peut stopper l’œuvre de Dieu. L’adversité peut montrer sa laideur. Le monde a beau être troublé par des guerres et des bruits de guerres, mais cette œuvre avancera.
Vous connaissez bien ces grandes paroles écrites par le Prophète Joseph : «… Aucune main impure ne peut empêcher l’œuvre de progresser ; les persécutions peuvent se déchaîner, les foules peuvent conspirer, les armées peuvent s’assembler, la calomnie peut diffamer, mais la vérité de Dieu ira de l’avant avec hardiesse, avec noblesse et en toute indépendance, jusqu’à ce qu’elle ait pénétré dans chaque continent, visité chaque contrée, couvert chaque pays et résonné dans chaque oreille, jusqu’à ce que les desseins de Dieu soient réalisés et que le grand Jéhovah dise que l’œuvre est accomplie »
L’Eglise de Jésus Christ des Saints des Derniers Jour a été organisée chez Peter Whitmer Senior le 6 avril 1830. Près de 60 personnes étaient présentes lorsque 6 hommes obéirent aux exigences de New York pour établir une nouvelle dénomination religieuse.
« Et ils entendront parler de guerres et de bruits de guerres. Voici, je parle à cause de mes élus; car une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume » (Mat 24:6-7, Joseph Smith- Matthieu 1:28-29).
Le président Gordon B. Hinckley a dit :
« Nous vivons à une époque où des hommes violents font des choses terrible et abjectes. Nous vivons dans une époque de guerre. Nous vivons dans une époque d’arrogance. Nous vivons dans une période de cruauté, de pornographie, d’immoralité. Tous les péchés de Sodome et Gomorrhe hantent notre société. Nous n’avons jamais vu plus clairement la face vicieuse du mal. Et donc, mes frères et sœurs, nous sommes réunis ensemble pour cette grande conférence pour nous fortifier et nous soutenir les uns les autres, pour nous aider et nous élever les uns les autres, pour nous encourager et faire grandir notre foi, pour penser aux choses merveilleuses que le Seigneur a rendues disponibles pour nous, et pour renforcer notre détermination à combattre le mal sous toutes ses formes.
Nous sommes devenus comme une grande armée. Nous sommes désormais un peuple d’importance. Notre voix est entendue quand nous parlons. Nous avons démontré notre force dans l’adversité. Notre force est notre foi au Tout Puissant. Aucune cause sous les cieux ne peut stopper l’œuvre de Dieu. L’adversité peut montrer sa laideur. Le monde a beau être troublé par des guerres et des bruits de guerres, mais cette œuvre avancera.
Vous connaissez bien ces grandes paroles écrites par le Prophète Joseph : «… Aucune main impure ne peut empêcher l’œuvre de progresser ; les persécutions peuvent se déchaîner, les foules peuvent conspirer, les armées peuvent s’assembler, la calomnie peut diffamer, mais la vérité de Dieu ira de l’avant avec hardiesse, avec noblesse et en toute indépendance, jusqu’à ce qu’elle ait pénétré dans chaque continent, visité chaque contrée, couvert chaque pays et résonné dans chaque oreille, jusqu’à ce que les desseins de Dieu soient réalisés et que le grand Jéhovah dise que l’œuvre est accomplie »
L’Eglise de Jésus Christ des Saints des Derniers Jour a été organisée chez Peter Whitmer Senior le 6 avril 1830. Près de 60 personnes étaient présentes lorsque 6 hommes obéirent aux exigences de New York pour établir une nouvelle dénomination religieuse.
Rétablissement de l’Eglise du Seigneur dans les derniers jours
« Voici, en quelque lieu que soit le cadavre, là s’assembleront les aigles ; de la même manière mes élus seront rassemblés des quatre coins de la terre. » (Mat 24:28; Joseph Smith- Mathieu 1:27).
Le rétablissement de l’Eglise de Dieu après l’apostasie, s’est fait en 1830 sous la direction de Jésus Christ et par le prophète Joseph Smith.
Elder Bruce R. McConkie a dit :
« Dans la parabole donnée ici, la carcasse est le corps de l’Eglise vers lequel les aigles, qui sont Israël, voleront pour trouver de la nourriture »
« Voici, en quelque lieu que soit le cadavre, là s’assembleront les aigles ; de la même manière mes élus seront rassemblés des quatre coins de la terre. » (Mat 24:28; Joseph Smith- Mathieu 1:27).
Le rétablissement de l’Eglise de Dieu après l’apostasie, s’est fait en 1830 sous la direction de Jésus Christ et par le prophète Joseph Smith.
Elder Bruce R. McConkie a dit :
« Dans la parabole donnée ici, la carcasse est le corps de l’Eglise vers lequel les aigles, qui sont Israël, voleront pour trouver de la nourriture »
Famines, épidémies et tremblements de terre en divers endroits
« Et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. » (Mat 24:7; Joseph Smith- Matthieu 1:29).
Président Joseph Fielding Smith a expliqué le but des désastres précédant la Seconde Venue du Sauveur :
« Nous croyons que ces désastres naturels violents sont envoyés aux hommes par le Seigneur pour le bien de ses enfants pour accélérer leur dévotion envers les autres, et pour faire ressortir le meilleur d’eux-mêmes, pour qu’ils l’aiment et le servent. Nous croyons en plus qu’ils sont les messagers et signes de son jugement final, ainsi que le maître pour enseigner au peuple à se préparer en vivant dignement pour la venue du Sauveur qui régnera sur terre. »
« Et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. » (Mat 24:7; Joseph Smith- Matthieu 1:29).
Président Joseph Fielding Smith a expliqué le but des désastres précédant la Seconde Venue du Sauveur :
« Nous croyons que ces désastres naturels violents sont envoyés aux hommes par le Seigneur pour le bien de ses enfants pour accélérer leur dévotion envers les autres, et pour faire ressortir le meilleur d’eux-mêmes, pour qu’ils l’aiment et le servent. Nous croyons en plus qu’ils sont les messagers et signes de son jugement final, ainsi que le maître pour enseigner au peuple à se préparer en vivant dignement pour la venue du Sauveur qui régnera sur terre. »
L’évangile prêché au monde entier
« Cet Évangile du royaume sera prêché dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. » (Mat 24:14 Joseph Smith- Mat 1: 31).
Une responsabilité importante pour chaque disciple du Christ, et particulièrement ressentie par les Saints des Derniers Jours, est de répandre l’Evangile dans le monde avant la Seconde Venue du Christ.
Le président Dieter F. Uchtdorf a dit :
« Il y a un moyen pour chacun… de participer à cette grande œuvre. Nous pouvons tous trouver un moyen d’utiliser nos propres talents et centres d’intérêts au service de cette grande œuvre qui est de remplir le monde de lumière et de vérité. »
Le président Henry B. Eyring a dit :
« Peu importe notre âge, nos compétences, nos appels dans l’Eglise ou notre situation géographique, nous sommes unis dans notre appel à travailler pour l’aider dans Sa récolte d’âmes. »
Le président Thomas S. Monson a dit :
« L’espérer ne sera pas suffisant. Le Seigneur veut que nous réfléchissions. Il veut que nous agissions. Il veut que nous travaillions. Il veut nos témoignages. Il veut notre dévouement. »
« Cet Évangile du royaume sera prêché dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. » (Mat 24:14 Joseph Smith- Mat 1: 31).
Une responsabilité importante pour chaque disciple du Christ, et particulièrement ressentie par les Saints des Derniers Jours, est de répandre l’Evangile dans le monde avant la Seconde Venue du Christ.
Le président Dieter F. Uchtdorf a dit :
« Il y a un moyen pour chacun… de participer à cette grande œuvre. Nous pouvons tous trouver un moyen d’utiliser nos propres talents et centres d’intérêts au service de cette grande œuvre qui est de remplir le monde de lumière et de vérité. »
Le président Henry B. Eyring a dit :
« Peu importe notre âge, nos compétences, nos appels dans l’Eglise ou notre situation géographique, nous sommes unis dans notre appel à travailler pour l’aider dans Sa récolte d’âmes. »
Le président Thomas S. Monson a dit :
« L’espérer ne sera pas suffisant. Le Seigneur veut que nous réfléchissions. Il veut que nous agissions. Il veut que nous travaillions. Il veut nos témoignages. Il veut notre dévouement. »
Le Soleil sera obscurcit, la lune ne donnera pas de lumière, les étoiles tomberont du ciel
« Le soleil s’obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière, les étoiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux seront ébranlées. » (Mat 24: 29; Joseph Smith- Matthieu 1: 33).
Les signes des cieux sont des autres témoins visibles données par le Seigneur à Ses Saints pour les aider à préparer Sa Seconde Venue.
Le président Ezra Taft Benson a dit :
« Je réalise que ce n’est pas un sujet très plaisant, je ne prends aucun plaisir à le décrire, et je ne suis pas pressé de voir le jour où les calamités viendront en nombres croissants sur l’humanité. Mais ces paroles ne sont pas les miennes : Elles viennent du Seigneur. Sachant ce que nous savons en tant que ces serviteurs, pouvons-nous hésiter à élever nos voix en avertissant tous ceux qui veulent entendre qu’ils doivent se préparer pour les jours à venir ? Garder le silence face à de telles calamités est un péché ! »
« Mais aussi sombre soit-elle, cette image comporte également un élément merveilleux, la venue de notre Seigneur dans toute sa gloire. Sa venue sera à la fois glorieuse et terrible, selon la condition spirituelle de chacun.
« Le soleil s’obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière, les étoiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux seront ébranlées. » (Mat 24: 29; Joseph Smith- Matthieu 1: 33).
Les signes des cieux sont des autres témoins visibles données par le Seigneur à Ses Saints pour les aider à préparer Sa Seconde Venue.
Le président Ezra Taft Benson a dit :
« Je réalise que ce n’est pas un sujet très plaisant, je ne prends aucun plaisir à le décrire, et je ne suis pas pressé de voir le jour où les calamités viendront en nombres croissants sur l’humanité. Mais ces paroles ne sont pas les miennes : Elles viennent du Seigneur. Sachant ce que nous savons en tant que ces serviteurs, pouvons-nous hésiter à élever nos voix en avertissant tous ceux qui veulent entendre qu’ils doivent se préparer pour les jours à venir ? Garder le silence face à de telles calamités est un péché ! »
« Mais aussi sombre soit-elle, cette image comporte également un élément merveilleux, la venue de notre Seigneur dans toute sa gloire. Sa venue sera à la fois glorieuse et terrible, selon la condition spirituelle de chacun.
La venue du Seigneur sera comme un levé de soleil, ensuite le signe du Fils de l’Homme apparaîtra dans le ciel
« Car, comme la lumière du matin part de l’orient et se montre jusqu’en occident, et couvre la terre entière, ainsi sera l’avènement du Fils de l’Homme. Alors le signe du Fils de l’Homme paraîtra dans le ciel, toutes les tribus de la terre se lamenteront, et elles verront le Fils de l’Homme venant sur les nuées du ciel avec puissance et une grande gloire ; et il enverra ses anges devant lui avec la trompette retentissante, et ils rassembleront le reste de ses élus des quatre vents, depuis une extrémité des cieux jusqu’à l’autre. » (Mat 24:27, 30-31 ; Joseph Smith- Matthieu 1:26, 36-37).
Le rétablissement de l’Evangile de Jésus-Christ a commencé tel un point minuscule à l’horizon, et maintenant, tel le soleil levant il remplit le ciel de vérité concernant la Divinité. Le Sauveur est revenu sur terre. Seulement quelques-uns en sont témoins, mais à la fin des temps, le monde entier sera témoin de Sa venue.
Le Prophète Joseph Smith a dit :
« Alors apparaîtra un grand signe du Fils de l’Homme dans le ciel. Mais que fera le monde ? Ils diront que c’est une planète, une comète, etc. Mais le Fils de l’Homme viendra comme le signe du Fils de l’Homme qui sera comme la lueur du matin venant de l’est »
« Car, comme la lumière du matin part de l’orient et se montre jusqu’en occident, et couvre la terre entière, ainsi sera l’avènement du Fils de l’Homme. Alors le signe du Fils de l’Homme paraîtra dans le ciel, toutes les tribus de la terre se lamenteront, et elles verront le Fils de l’Homme venant sur les nuées du ciel avec puissance et une grande gloire ; et il enverra ses anges devant lui avec la trompette retentissante, et ils rassembleront le reste de ses élus des quatre vents, depuis une extrémité des cieux jusqu’à l’autre. » (Mat 24:27, 30-31 ; Joseph Smith- Matthieu 1:26, 36-37).
Le rétablissement de l’Evangile de Jésus-Christ a commencé tel un point minuscule à l’horizon, et maintenant, tel le soleil levant il remplit le ciel de vérité concernant la Divinité. Le Sauveur est revenu sur terre. Seulement quelques-uns en sont témoins, mais à la fin des temps, le monde entier sera témoin de Sa venue.
Le Prophète Joseph Smith a dit :
« Alors apparaîtra un grand signe du Fils de l’Homme dans le ciel. Mais que fera le monde ? Ils diront que c’est une planète, une comète, etc. Mais le Fils de l’Homme viendra comme le signe du Fils de l’Homme qui sera comme la lueur du matin venant de l’est »
Avertissements pour la préparation de la Seconde Venue du Christ
Sa parole sera accomplie
« Les jours viendront où le ciel et la terre passeront, néanmoins mes paroles ne passeront point, mais toutes s’accompliront. » (Mat 24:35; Joseph Smith- Matthieu 1:35).
« Les jours viendront où le ciel et la terre passeront, néanmoins mes paroles ne passeront point, mais toutes s’accompliront. » (Mat 24:35; Joseph Smith- Matthieu 1:35).
Personne ne connaît ni le jour ni l’heure
« Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges de Dieu dans les cieux, mais le Père seul. » (Matthieu 24:36 ; Joseph Smith- Matthieu 1:40).
« Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges de Dieu dans les cieux, mais le Père seul. » (Matthieu 24:36 ; Joseph Smith- Matthieu 1:40).
Un précédent
« Mais ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l’avènement du Fils de l’Homme. Car il en sera pour eux comme il en fut dans les jours qui précédèrent le déluge : les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu’à ce que le déluge vînt et les emportât tous : il en sera de même à l’avènement du Fils de l’Homme. » (Mat 24:37-39; Joseph Smith- Mat 1:41-43).
« Mais ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l’avènement du Fils de l’Homme. Car il en sera pour eux comme il en fut dans les jours qui précédèrent le déluge : les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu’à ce que le déluge vînt et les emportât tous : il en sera de même à l’avènement du Fils de l’Homme. » (Mat 24:37-39; Joseph Smith- Mat 1:41-43).
Soyez prêts
« Ce que je dis à l’un, je le dis à tous les hommes ; veillez donc, puisque vous ne savez pas l’heure à laquelle votre Seigneur viendra. Sachez-le bien, si le maître de la maison savait à quelle veille de la nuit le voleur doit venir, il veillerait et ne laisserait pas percer sa maison. C’est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l’Homme viendra à l’heure où vous n’y penserez pas. » (Mat 24:42-44 ; Joseph Smith Matthieu 1:46-48).
« Ce que je dis à l’un, je le dis à tous les hommes ; veillez donc, puisque vous ne savez pas l’heure à laquelle votre Seigneur viendra. Sachez-le bien, si le maître de la maison savait à quelle veille de la nuit le voleur doit venir, il veillerait et ne laisserait pas percer sa maison. C’est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l’Homme viendra à l’heure où vous n’y penserez pas. » (Mat 24:42-44 ; Joseph Smith Matthieu 1:46-48).
Ne soyez pas troublés
« Gardez-vous d’être troublés, car il faut que tout ce que je vous ai dit arrive. »
Le président Thomas S. Monson a dit :
« Bien que les nuages annonçant l’orage menacent, bien que la pluie s’abatte sur nous, notre connaissance de l’évangile et notre amour pour notre Père Céleste et pour notre Sauveur nous réconforteront, nous soutiendront et apporteront de la joie dans nos cœurs si nous marchons dignement et gardons les commandements. Rien au monde ne pourra nous vaincre.»
« Mes frères et sœurs bien aimés, ne craignez pas. Prenez courage. Le future est aussi brillant que votre foi »
Elder Dallin H. Oaks nous a encouragé à être toujours prêts pour la Seconde Venue :
« Bien que nous ne puissions pas changer les événements de la Seconde Venue ni savoir exactement quand elle aura lieu, nous pouvons accélérer notre propre préparation et essayer d’aider ceux qui nous entourent dans leur préparation…
« Et si le jour de Sa venue était demain ? Si nous savions que nous allions rencontrer le Seigneur demain, en mourant prématurément ou alors s’Il revenait soudainement, que ferions-nous aujourd’hui ? Quelles confessions ferions-nous ? Quelles pratiques abandonnerions-nous ? Quelles affaires réglerions-nous ? Quels pardons accorderions-nous ? Quels témoignages partagerions-nous ?
« Si nous serions prêts à faire ces choses, alors pourquoi pas maintenant ? Pourquoi ne pas chercher la paix au moment où elle peut être obtenue ? Si les lampes de notre préparation sont vides, commençons à les remplir immédiatement. » (“Préparation for the Second Coming,” 8–9).
Article écrit par Delisa Hargrove et publié dans lds.net, traduit par Samuel Babin
LE SERVICE
Quand sa voix te murmure : viens, j’ai besoin de toi.
Ne réponds pas : demain peut être, je te servirai
Et j’aimerai ta Sainte Loi,
Cette vie est trop courte pour y perdre son temps.
Tu ne verras jamais de magasin qui puisse vendre
Ne fut ce qu’un seul instant,
Aucun trésor ni aucun sacrifice capable de payer le temps.
C’est aujourd’hui qu’il faut travailler avec zèle,
Secourir les pêcheurs comme Jésus autrefois,
Servir sans murmurer, sans relâche et sans trêve,
Obéir comme lui et marcher dans ses voies.
Oui sers de tout ton cœur ton Sauveur et ton Maître.
Mais si tu veux servir : aime, sers, et tais toi !
Aime la joie d’aimer, elle est digne de toi.
Agis sans discuter, même dans le sombre.
Plus discrète est la tâche que tu fais dans ce monde,
Plus joyeux tu seras en recevant le prix.
Ferme très fort les yeux sur les défauts des autres,
Mais ouvre les très grands devant leurs qualités.
Ne dis rien si parfois ton prochain te révolte.
Plutôt que de les blesser, prie vite pour oublier.
Prie car Satan te guette, prie, chasse ta rancœur,
Ne jette pas la pierre, souviens toi du Seigneur.
Le disciple toujours poursuit l’œuvre du Maître.
Si tu veux bien le suivre, applique ses préceptes,
Car si tu veux servir : Aime, Agis et Tais toi !
L’invitation du Sauveur à faire une différence
Dans un monde sujet à des changements et des bouleversements constants, nous nous sentons souvent des étrangers. Nous ne faisons qu’entendre parler de désespoir, de tragédie et de difficultés.
Nous vivons à une époque d’incertitude et de troubles. De nombreuses personnes vivent dans la crainte d’un avenir inconnu.
Quel est notre rôle en tant que femmes dans les derniers jours pour préparer la terre à la venue du Christ ?
Que pouvons nous faire pour nous soucier des autres, les aimer, prendre soin d’eux et les servir comme il nous l’a demandé ?
En tant que femmes et jeunes filles, il nous est demandé d’ouvrir les yeux et le cœur pour discerner ceux d’entre nous qui se sentent seuls, effrayés, ou incertains pour que nous soyons plus des étrangers (voir Matthieu 25 :35-36 et Ephésiens 2 :19).
Il nous est demandé de parler aux autres de notre amour envers le Seigneur, Jésus Christ, et de notre confiance en lui, et de nous servir de nos mains pour les fortifier et les aimer car c’est ce que le Sauveur voudrait que nous fassions.
Il ne s’agit pas d’un programme ; c’est ce que nous sommes.
Notre nature divine nous permet d’être une lumière dans un monde qui s’assombrit. Nous pouvons offrir de l’espoir et de l’amour, et prendre soin de notre entourage. Il ne nous est pas demandé de « courir plus vite que nous n’avons de force (Mosiah 4 :27).
Nous pouvons travailler ensemble, mais il ne nous est pas demandé de faire des efforts de grande envergure. Nous devons plutôt recevoir la révélation personnelle pour déterminer les personnes et les familles que le Seigneur voudrait que nous fortifions et aimions.
Le Sauveur nous invite à servir les autres avec amour et à nous souvenir de ses paroles « toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits….. c’est à moi que vous les avez faites » (Matthieu 25 :40).
Aux femmes incombes les tâches des anges ;
Nous, sœurs en Sion, nous réclamons le droit,
Aimant et servant sans chercher les louanges,
D’aider, de bénir, de répandre la foi
(Cantique n°201 : Nous, sœurs de Sion)
*-*-*-*-*-*-*-*-*
« POUR QUE JE VOUS GUÉRISSE »
Des ténèbres qui suivirent la crucifixion du Sauveur, les Néphites entendirent t une voix qui suppliait: «Ne voulez-vous pas maintenant revenir à moi, vous repentir de vos péchés et vous convertir, pour que je vous guérisse?» (3 Néphi 9:13)
LE BAUME DU PARDON DIVIN
Le péché nous inflige des blessures spirituelles. Mais le Sauveur nous fait la promesse qu’il a faite aux Néphites: si nous nous repentons, il nous guérira. Robert L. Backman, des soixante-dix, explique: «Jésus a pris sur lui les péchés de chacun de nous à Gethsémané et sur la croix. Il est mort pour que nous vivions. Qui d’entre nous n’a pas éprouvé la douleur du péché ?
Qui n’a pas désespérément besoin du baume du pardon divin pour guérir une âme blessée?»
Dans les temps anciens, les gens utilisaient des baumes pour guérir; il s’agissait de substances aromatiques ou d’épices.
L’expiation du Seigneur peut être un baume pour l’âme qui a besoin de guérison. Ceux qui se sont fait baptiser par l’autorité du Seigneur et qui ont fait alliance de garder ses commandements, peuvent, par un repentir sincère, recevoir le baume divin de la guérison.
VOUS POUVEZ ETRE PARDONNES
Le repentir requiert que l’on change, qu’on abandonne les pensées, les paroles, les actes pécheurs pour en adopter de bons. Il requiert le remord et souvent la restitution. Et parfois, il requiert la confession à un dirigeant de la prêtrise.
Il est tragique que certains pensent avoir péché trop gravement pour pouvoir jamais être pardonnés. Spencer W. Kimball a parlé d’une femme qui avait confessé un péché grave en disant: «Je sais que je . . . ne pourrai jamais être pardonnée.» Il lui avait répondu: «Vous pouvez être pardonnée.» Ils ont lu ensemble des Ecritures qui détaillaient le désir qu’à le Sauveur de pardonner, parmi lesquelles Matthieu 12:31-32 où le Seigneur dit qu’il pardonnera tout péché à l’exception du «blasphème contre l’Esprit».
Ayant retrouvé l’espoir, elle a regardé le président Kimball en disant: «Je vous crois. J’obtiendrai . . . ce pardon.» Elle est revenue quelques temps après, elle était «toute transformée: les yeux brillants, le pas léger, pleine d’espérance». Elle s’était repentie et elle avait ressenti le pardon guérisseur du Seigneur.
LE REPENTIR QUOTIDIEN
La plupart du temps, le repentir n’exige pas de changement spectaculaire mais des petits changements quotidiens fréquents qui nous mettent sur la voie de la divinité. Brigham Young a fait l’observation suivante: «Il n’est pas d’autre preuve . . . qu’on vit fidèlement sa religion, que de se repentir sincèrement de ses péchés, d’obéir à la loi du baptême pour la rémission des péchés puis de continuer à accomplir quotidiennement les œuvres de la justice»
Le repentir est un don divin. Il a pour but de nous apporter de la joie. Après qu’Aaron eut enseigné le plan de salut au père du roi Lamoni, le roi a demandé: «Que dois-je faire pour obtenir cette vie éternelle dont tu as parlé ? . . . J’abandonnerai tout ce que je possède . . . pour recevoir cette grande joie.» Aaron lui a dit de faire preuve de foi et de se repentir. Alors le roi a proposé d’abandonner ce que nous devons tous abandonner si nous voulons aller au Christ: «O Dieu . . . je délaisserai tous mes péchés pour te connaître» (Aima 22:15-18). Qu ’ils soient petits ou grands, les péchés blessent l’âme. Nous avons la bénédiction d’avoir un Sauveur. Si nous allons à lui en nous repentant continuellement, il acceptera notre offrande et nous guérira
« Gardez-vous d’être troublés, car il faut que tout ce que je vous ai dit arrive. »
Le président Thomas S. Monson a dit :
« Bien que les nuages annonçant l’orage menacent, bien que la pluie s’abatte sur nous, notre connaissance de l’évangile et notre amour pour notre Père Céleste et pour notre Sauveur nous réconforteront, nous soutiendront et apporteront de la joie dans nos cœurs si nous marchons dignement et gardons les commandements. Rien au monde ne pourra nous vaincre.»
« Mes frères et sœurs bien aimés, ne craignez pas. Prenez courage. Le future est aussi brillant que votre foi »
Elder Dallin H. Oaks nous a encouragé à être toujours prêts pour la Seconde Venue :
« Bien que nous ne puissions pas changer les événements de la Seconde Venue ni savoir exactement quand elle aura lieu, nous pouvons accélérer notre propre préparation et essayer d’aider ceux qui nous entourent dans leur préparation…
« Et si le jour de Sa venue était demain ? Si nous savions que nous allions rencontrer le Seigneur demain, en mourant prématurément ou alors s’Il revenait soudainement, que ferions-nous aujourd’hui ? Quelles confessions ferions-nous ? Quelles pratiques abandonnerions-nous ? Quelles affaires réglerions-nous ? Quels pardons accorderions-nous ? Quels témoignages partagerions-nous ?
« Si nous serions prêts à faire ces choses, alors pourquoi pas maintenant ? Pourquoi ne pas chercher la paix au moment où elle peut être obtenue ? Si les lampes de notre préparation sont vides, commençons à les remplir immédiatement. » (“Préparation for the Second Coming,” 8–9).
Article écrit par Delisa Hargrove et publié dans lds.net, traduit par Samuel Babin
LE SERVICE
Quand sa voix te murmure : viens, j’ai besoin de toi.
Ne réponds pas : demain peut être, je te servirai
Et j’aimerai ta Sainte Loi,
Cette vie est trop courte pour y perdre son temps.
Tu ne verras jamais de magasin qui puisse vendre
Ne fut ce qu’un seul instant,
Aucun trésor ni aucun sacrifice capable de payer le temps.
C’est aujourd’hui qu’il faut travailler avec zèle,
Secourir les pêcheurs comme Jésus autrefois,
Servir sans murmurer, sans relâche et sans trêve,
Obéir comme lui et marcher dans ses voies.
Oui sers de tout ton cœur ton Sauveur et ton Maître.
Mais si tu veux servir : aime, sers, et tais toi !
Aime la joie d’aimer, elle est digne de toi.
Agis sans discuter, même dans le sombre.
Plus discrète est la tâche que tu fais dans ce monde,
Plus joyeux tu seras en recevant le prix.
Ferme très fort les yeux sur les défauts des autres,
Mais ouvre les très grands devant leurs qualités.
Ne dis rien si parfois ton prochain te révolte.
Plutôt que de les blesser, prie vite pour oublier.
Prie car Satan te guette, prie, chasse ta rancœur,
Ne jette pas la pierre, souviens toi du Seigneur.
Le disciple toujours poursuit l’œuvre du Maître.
Si tu veux bien le suivre, applique ses préceptes,
Car si tu veux servir : Aime, Agis et Tais toi !
L’invitation du Sauveur à faire une différence
Dans un monde sujet à des changements et des bouleversements constants, nous nous sentons souvent des étrangers. Nous ne faisons qu’entendre parler de désespoir, de tragédie et de difficultés.
Nous vivons à une époque d’incertitude et de troubles. De nombreuses personnes vivent dans la crainte d’un avenir inconnu.
Quel est notre rôle en tant que femmes dans les derniers jours pour préparer la terre à la venue du Christ ?
Que pouvons nous faire pour nous soucier des autres, les aimer, prendre soin d’eux et les servir comme il nous l’a demandé ?
En tant que femmes et jeunes filles, il nous est demandé d’ouvrir les yeux et le cœur pour discerner ceux d’entre nous qui se sentent seuls, effrayés, ou incertains pour que nous soyons plus des étrangers (voir Matthieu 25 :35-36 et Ephésiens 2 :19).
Il nous est demandé de parler aux autres de notre amour envers le Seigneur, Jésus Christ, et de notre confiance en lui, et de nous servir de nos mains pour les fortifier et les aimer car c’est ce que le Sauveur voudrait que nous fassions.
Il ne s’agit pas d’un programme ; c’est ce que nous sommes.
Notre nature divine nous permet d’être une lumière dans un monde qui s’assombrit. Nous pouvons offrir de l’espoir et de l’amour, et prendre soin de notre entourage. Il ne nous est pas demandé de « courir plus vite que nous n’avons de force (Mosiah 4 :27).
Nous pouvons travailler ensemble, mais il ne nous est pas demandé de faire des efforts de grande envergure. Nous devons plutôt recevoir la révélation personnelle pour déterminer les personnes et les familles que le Seigneur voudrait que nous fortifions et aimions.
Le Sauveur nous invite à servir les autres avec amour et à nous souvenir de ses paroles « toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits….. c’est à moi que vous les avez faites » (Matthieu 25 :40).
Aux femmes incombes les tâches des anges ;
Nous, sœurs en Sion, nous réclamons le droit,
Aimant et servant sans chercher les louanges,
D’aider, de bénir, de répandre la foi
(Cantique n°201 : Nous, sœurs de Sion)
*-*-*-*-*-*-*-*-*
« POUR QUE JE VOUS GUÉRISSE »
*-*-*-*-*-*-*
Les barbiers n’existent pas !
"Un homme entre dans un salon de coiffure pour hommes pour se faire couper les cheveux et tailler sa barbe comme il le fait régulièrement. Il entame la conversation avec le barbier et ils discutent de sujets nombreux et variés.
Soudain, ils abordent le sujet de Dieu et le barbier dit : "Moi, je ne crois pas que Dieu existe comme tu le dis."
"Pourquoi? " répondit le client.
"Facile, tu n'as qu'à sortir dans la rue pour comprendre que Dieu n'existe pas. Si Dieu existait, y aurait-il tant de gens malades et tant d'enfants abandonnés? Si Dieu existait, il n'y aurait pas tant de souffrance ni de peine. Je ne peux pas penser à un Dieu qui permet toutes ces choses. "
Le barbier termine son travail. Le client sort du salon et voit dans la rue un homme hirsute, avec de longs cheveux et une grande barbe. Il a l'air vraiment négligé et ne semble pas prendre soin de lui.
Le client retourne dans le salon et dit au barbier:
" Tu sais quoi? Les barbiers n'existent pas. "
" Comment ça, les barbiers n'existent pas? " dit le barbier. " Je suis bien là, devant toi, et ne suis-je pas barbier moi-même?
" Non, non, non! Les barbiers n'existent pas! " S’écria le client. "Parce que s'ils existaient, il n'y aurait personne avec de longs cheveux et une barbe comme cet homme qui est dans la rue ".
"Ah, mais bien sûr que les barbiers existent mais le problème, c'est que ces gens ne viennent pas vers moi!"
" Exactement! Tu vois? C'est comme Dieu, Il existe vraiment mais le problème c'est que les gens ne vont pas à Lui et ne Le cherchent pas et c'est pourquoi il y a tant de souffrance dans le monde "
QU'ATTENDONS NOUS ?
RICHARD EVANS
On dirait parfois que nous vivons comme si nous nous demandions quand la vie va commencer.
Nous ne savons pas toujours clairement ce que nous attendons au juste, mais parfois, il en est parmi nous qui persistent à attendre si longtemps que la vie passe et on se retrouve finalement à attendre quelque chose qui était là tout le temps.
Il y a des pères qui attendent le moment propice de faire la connaissance de leurs fils, qui attendent peut-être que d'autres obligations soient moins exigeantes. Mais un de ces jours, ces fils seront devenus adultes et partis, et les meilleures années pour les connaître, profiter de leur présence, les enseigner et les comprendre peuvent également être parties.
Il est des mères qui ont sincèrement l'intention d'être plus attentives, à la première occasion, aux plans et aux problèmes, aux allées et venues de leurs filles, et qui vont se rapprocher d'elles. Mais le temps passe, les écarts augmentent, et les enfants grandissent et s'en vont.
Il y a des vieux amis qui vont profiter un peu plus de la compagnie des uns des autres, mais les années passent.
Il y a des maris et des femmes qui vont être plus compréhensifs, avoir plus de considération. Mais le temps seul ne rapproche pas les gens.
Il y a des hommes qui vont abandonner de mauvaises habitudes; il y a des gens qui vont manger avec plus de sagesse; il en est qui vont vivre selon leurs moyens - bientôt, un de ces jours.
Il en est qui vont s'intéresser davantage à leur gouvernement. Mais quand ?
Il n'y a pas de raison de mettre en doute toutes ces bonnes intentions, mais quand donc allons-nous commencer à vivre comme si nous comprenions que c'est ceci la vie ?
C'est maintenant le moment, le jour, la génération.
Le ciel et l'au-delà auront leurs possibilités et leurs obligations.
C'est dans cette vie que nous devons faire l'œuvre· de cette vie.
Le jour d'aujourd'hui fait tout autant partie de l'éternité qu'un jour quelconque il y a mille ans ou un jour quelconque dans mille ans.
C'est cela, que cela nous passionne ou nous déçoive, que nous soyons occupés ou que nous nous ennuyions !
La vie, c'est maintenant, et elle passe.
Qu'attendons nous?
l'expression de la charité
"je considère que la charité, ou l'amour pur du Christ, est l'opposé de la critique et du jugement.
En parlant de charité, je ne pense pas actuellement au soulagement des souffrances par le don de nos biens. C'est bien sûr nécessaire et bon. Non, ce soir je pense à la charité qui se manifeste quand nous sommes tolérants envers autrui, indulgent à l'égard de leurs actes ; au genre de charité qui pardonne et qui est patiente.
Je pense à la charité qui nous pousse à avoir de l'empathie, à être compatissants et miséricordieux, non seulement lors de maladies, d'afflictions et de détresses mais également quand les autres montrent des faiblesses ou commettent des fautes.
Il y a un grand besoin de la charité qui manifeste de l'attention aux personnes qui passent inaperçues, qui donne de l'espoir à celles qui sont découragées et qui apporte de l'aide à celles qui sont affligées.
La véritable charité est l'amour en action.
On a besoin de charité qui refuse de trouver de la satisfaction à écouter ou à répéter des récits de malheurs arrivés aux autres, à moins que cela profite aux malheureux...
La charité, c'est être patient avec quelqu'un qui nous a déçus ; c'est résister à la tendance à s'offenser facilement. C'est accepter les gens comme ils sont vraiment. C'est voir au delà de l'apparence physique les qualités qui ne s'estomperont pas avec le temps. C'est résister à l'envie de mettre les autres dans des catégories.
La charité, cet amour pur du Christ, se manifeste quand un groupe de jeunes femmes d'une paroisse d'adultes seuls fait des centaines de kilomètres pour assister au service funèbre de la mère de l'une de leurs sœurs de la Société de Secours.
La charité se manifeste quand des instructrices visiteuses dévouées retournent mois après mois, année après années, chez la même sœur indifférente et assez critique. Elle se voit lorsqu'on se souvient d'une veuve âgée et qu'on l'emmène aux réunions de la paroisse et aux activités de la Société de Secours. On la ressent quand une sœur assise seule à la Société de Secours reçoit l'invitation : "Viens t’asseoir avec nous".
De centaines de petites façons, vous portez toutes le manteau de la charité. La vie n'est parfaite pour aucun de nous. Au lieu de nous juger et de nous critiquer mutuellement, puissions nous avoir l'amour du Christ pour nos compagnons de route dans ce voyage de la vie.
Puissions nous prendre conscience que chacune fait de son mieux pour faire face aux difficultés qu'elle rencontre et puissions nous faire nous mêmes de notre mieux pour "aider".
Le charité est l'amour pur du Christ.... et tout ira bien pour quiconque sera trouvé la possédant au dernier jour.
Thomas S. MONSON
LA QUESTION DU PARDON
SI nous nous repentons sincèrement après avoir commis une erreur, nous pouvons espérer être pardonnes maintes et maintes fois, simplement en
disant : Je regrette.
Il y a des gens qui comptent sur le pardon de leurs fautes, quelles qu’elles soient, simplement en exprimant un regret. Il y en a qui se repentent parce qu’ils craignent les conséquences de la faute, mais qui sont prêts à retomber dans leurs errements.
Se repentir c’est plus que dire « : Je regrette. » C’est plus que craindre les conséquences de la faute, c’est plus que l’effort superficiel pour éviter les responsabilités de la faute. C’est plus que d’être circonspect parce qu’on se sent surveillé.
Le repentir suppose un changement intérieur, la résolution de ne plus retomber dans les anciennes erreurs. C’est seulement dans ces conditions que nous pouvons espérer voir fonctionner pour nous la loi de pardon.
Le cultivateur qui demande à la terre et au climat de lui pardonner et de lui donner une abondante récolte, bien qu’il ait mal labouré et ensemencé ses champs, éprouvera une profonde déception.
La nature ne pardonne que si on se repent sincèrement.
Le commerçant qui persiste dans ses erreurs ne peut pas espérer des pardons répétés. Ses créanciers se fatiguent vite de lui pardonner ; ce qui attend un commerçant incapable de pratiquer à fond le repentir, c’est la faillite.
Celui qui désire le pardon de ses amis, de la justice, des membres de la même profession, de la nature ou de Dieu, doit se repentir profondément, comme lorsque le Seigneur dit : « Allez, et ne commettez plus de péché. » « Alors Pierre vint à lui et dit : Seigneur, combien de fois mon frère péchera-t-il à mon détriment, et combien de fois lui pardonnerai-je ? Sera-ce sept fois ? Jésus lui dit : Je ne te dis pas sept fois, mais soixante-dix fois sept fois. »
Donc, il n ’y a en fait pas de limite au nombre de fois que nous devrons pardonner aux autres. Mais cela ne justifie pas celui qui retombe dans sa faute.
La répétition de l’erreur est le signe même que le repentir n’était pas sincère. Et bien que nous devions être prêts à pardonner soixante-dix fois sept fois, il sera prudent pour le pécheur de ne pas s’attendre à être pardonné soixante-dix fois sept fois.
UN VOYAGE DANGEREUX
Richard L. E vans.
Si nous nous laissions décourager par les difficultés que nous rencontrons à chaque pas dans la vie et les déceptions que nous sommes obligés de subir, nous serions bientôt submergés et nous perdrions de vue le but ultime.
Si nous laissions les troubles réels ou possibles prendre le dessus dans nos pensées et dans nos actions, nous deviendrions incapables d’agir, et nous serions paralysés par la menace des calamités qui pourraient nous atteindre.
Si nous tremblions à la pensée des catastrophes possibles, si nous en souffrions d’avance, la vie deviendrait une épreuve impossible à supporter.
Si tous les contre courants, tous les remous, tous les brisants devaient nous faire chavirer, nous serions sous l’eau à chaque instant.
Au cours de notre vie, les tempêtes surgissent, plus ou moins souvent et parfois durent longtemps ; mais une foi ferme en le Seigneur et en le but ultime nous donne la force de faire face à la tempête, si furieuse qu’elle soit.
Nous ne pouvons pas échapper dans la vie aux lames de fond, aux grains soudains, aux troubles graves. Mais nous ne devons pas nous laisser dominer par eux au point de perdre nos directives et de naviguer en cercle.
Sachons surmonter les obstacles, les souffrances, les déceptions passagères, les chagrins profonds et amers, dont nous ne pouvons pas espérer être exempts.
Personne n’a jamais évité toutes les peines ou les menaces de peines ; mais il y en a eu, avant nous, qui ne se sont pas laissés abattre, qui ont trouvé la paix et qui ont accompli leur tâche en dépit des déceptions et des confusions.
Dans la vie, il nous faut apprendre cette leçon : D’ un rivage à l’autre, la mer n’est jamais tout à fait calme, des tempêtes surgissent. Qu’on sache qu’au cours d’une traversée on ne peut pas éviter toute tempête.
La vie vous submergera, n’en doutez pas, si vous la laissez faire. Mais vous pourrez vous maintenir à flot où vous ne perdez pas de vue le but ultime. Vous poursuivrez votre route dans la bonne voie si vous ne cessez de faire des plans, de travailler, de tendre à des buts utiles dans le présent, et de conserver la foi pour l’avenir.
« Mon royaume pour un cheval »
par Richard L. EVANS
Les paroles que Shakespeare mit dans la bouche de Richard III : « Mon royaume pour un cheval », ont de grandes applications dans la conduite humaine. Lorsqu'un homme a besoin de quelque chose, ou croit qu’il en a besoin, ou désire cette chose passionnément la possession d’un royaume lui semble indifférente à ce moment-là.
Des besoins immédiats, des ennuis immédiats, des désirs immédiats écartent momentanément de notre pensée des choses beaucoup plus importantes. L’histoire prouve qu’une personne paiera parfois un prix exorbitant pour satisfaire un désir passionné.
Le cas d’Esaü est l’exemple classique de celui qui se dessaisit de beaucoup pour obtenir peu, qui ne sait pas voir à temps les conséquences éloignées de sa décision, et qui sacrifie l’avenir au présent. C’est d’Esaü que Paul a dit qu’il « avait vendu son droit d’aînesse » pour un morceau de pain.
Il y a aussi un autre aspect du même problème. Parce que nous voulons avoir une chose, et pas une autre et immédiatement, nous sommes souvent prêts à accepter des engagements qui dépassent nos moyens ; nous empruntons dans des conditions désastreuses, ou nous remettons à plus tard le paiement de nos dettes, nous figurant que nous pourrons plus facilement les acquitter demain.
Parfois, nous nous engageons à faire des choses que de toute évidence nous ne pourrons pas accomplir ; et, plus tard, nous nous trouvons accablés, pressés de tous côtés et terriblement ennuyés.
Nous nous disons : « Si je puis me tirer de cet embarras, si je puis surmonter la difficulté actuelle, si je puis cette fois éviter les conséquences pénibles de mes engagements inconsidérés, je ne me mettrai plus jamais dans pareille situation».
Il y a toujours grand inconvénient à payer un prix trop élevé pour des besoins immédiats ou à remettre trop facilement des obligations à l’avenir, dont il faudrait s’acquitter immédiatement, parce que l’avenir aura aussi ses problèmes, dont il faudra payer le prix, lequel ne devrait pas être surchargé du prix que nous remettons maintenant à acquitter plus tard.
Pensons à l’avenir avant d’offrir un royaume ou notre droit d’aînesse, ou avant de sacrifier un principe, ou avant de payer un prix exorbitant pour satisfaire un appétit, pour nous procurer un plaisir passager, aux véritables enjeux de notre vie ici bas et plaçons nos priorités dans un ordre éternel.
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
MÉFIONS NOUS DE L'ORGUEIL
l'orgueil est le péché universel, le plus grand des vices. Le remède à l'orgueil est l'humilité.
L'orgueil ne se tourne pas vers Dieu pour considérer ce qui est juste, mais il se tourne vers les hommes pour argumenter sur qui a raison... sur ce que je veux dans la vie plutôt que sur ce que Dieu veut que je fasse de ma vie. C'est la crainte de l'homme avant la crainte de Dieu.
L'humilité répond à la volonté de Dieu, à la crainte de ses jugements et aux besoins de ceux qui sont autour de nous.
Pour les orgueilleux, les applaudissements du monde résonnent dans leurs oreilles, pour les humbles, les applaudissements des cieux réchauffent leur cœur.
Dans les écritures, l'orgueil vertueux n'existe pas : l'orgueil est toujours considéré comme un péché.
Pour la plupart d'entre nous, l'orgueil est synonyme d'égotisme, de vanité, de vantardise, d'arrogance ou de morgue. Ce sont tous des éléments du péché mais ils n'en sont pas l'essentiel.
Le trait essentiel de l'orgueil est l'inimitié, inimitié à l'égard de Dieu et de nos semblables. L'inimitié c'est la haine, l'hostilité ou l'opposition.
- les orgueilleux ne peuvent pas accepter que Dieu dirige leur vie.
- les orgueilleux voudraient que Dieu soit d'accord avec eux car ils ne veulent
pas rectifier leur opinion.
- les orgueilleux veulent s'élever au dessus des autres.
- les orgueilleux aime la gloire des hommes pour que la gloire de Dieu.
- les orgueilleux sont satisfaits lorsqu'ils ont plus que les autres.
- les orgueilleux sont égoïstes
- les orgueilleux s'offensent facilement et gardent rancœur.
- les orgueilleux refusent de pardonner pour justifier leur ressentiment.
- les orgueilleux ont besoin de l'opinion des autres pour savoir s'ils ont ou non
de la valeur.
L'orgueil c'est aussi les critiques, le commérage, les plaintes, les dépenses excessives, l'envie, la convoitise, le refus de communiquer de la reconnaissance envers Dieu et c'est refuser des compliments aux autres qui pourraient les édifier, c'est refuser de pardonner et d'être jaloux.
Un autre aspect de l'orgueil est la querelle, les disputes, les conflits, les dominations injustes, les fossés entre générations, les mauvais traitements aux conjoints, les émeutes et les soulèvements sont liés à l'orgueil.
Nous pouvons choisir de nous humilier en surmontant l'inimitié à l'égard de nos frères et sœurs, en acceptant les conseils et les réprimandes, en pardonnant à ceux qui nous ont offensés, en rendant des services désintéressés, en partant en mission, en nous rendant au temple aussi souvent que possible, en confessant et en abandonnant nos péchés et surtout :
en nous soumettant à la volonté et en lui donnant la première place dans nos vies.
*-*-*-*-*-*-*-*-*
LE DEVOIR D’ÊTRE HEUREUX
IL n ’y a aucun devoir (écrivait Robert Louis Stevenson) que nous sous-estimions autant que le devoir d’être heureux.
Nous pensons au bonheur comme à une chose profondément désirable, mais peu, sans doute, pensent à lui comme un devoir. Mais, c’est un devoir car, sans le bonheur, la vie perd de son pouvoir, et de ses buts.
Essayer de le définir serait difficile, car les formules en sont diverses. Et, parmi les paradoxes qu’il contient, en voici un : les gens les plus heureux ne sont pas toujours ceux que l’on s’attendrait à voir heureux.
Mais il y a quelques éléments essentiels qui doivent entrer dans sa composition, et, si l’un de ces éléments lui fait défaut, le soi-disant bonheur que nous possédons est d’une sorte et d’une qualité moindres.
En premier vient la foi, puis le travail, l’amour et une conscience tranquille.
Ces quatre éléments, mis ensemble, procurent un sentiment de paix intérieure, de but atteint, et de loyauté envers soi-même.
La foi dans un Père aimant, qui fit ses enfants à sa propre image, et qui leur présente des buts éternels ; la foi dans le triomphe ultime de la vérité ; la foi que les injustices seront réparées, et qu’il y aura une fin aux jours — et aux nuits — décourageants, même si l’obscurité semble parfois donner l’impression que l’aube est encore lointaine.
Ensuite, le travail : il y a beaucoup de genres de travail, mais il n ’y a guère de bonheur possible sans un travail ayant un but, et accompli avec la volonté de bien faire.
Et quant à l’amour : Il est l’un des principaux attributs de Dieu, et l’un des plus grands attributs de Ses enfants. Sans amour, la vie n ’a guère de sens : l’amour de la famille et des amis — dont certains nous sont très proches — et aussi l’amour des autres, qui sont tous enfants de notre Père. L’amour est un des ingrédients les plus importants.
Ensuite, naturellement, une conscience tranquille, libre de toute sensation d’impureté, libre de toute sensation de malhonnêteté ou de jugement injuste — et avec la volonté d’admettre nos erreurs et de les réparer.
Il est difficile de définir le bonheur ; mais nous savons quand nous le trouvons ; et nous savons quand nous le perdons ; et nous savons que tous les hommes le recherchent.
Les autres peuvent nous aider à le faire. Les autres nous empêchent souvent de l’atteindre. Mais ce n’est pas quelque chose que nous puissions garantir à quelqu’un d’autre.
C’est quelque chose qui grandit au-dedans de nous-mêmes — par la foi, par le travail, par l’amour, et une conscience tranquille — avec la paix, et un but à atteindre, et le sentiment de la justice. Le bonheur est vraiment un devoir, car
« Les hommes sont pour prendre part à la joie.»
*-*-*-*-*-*-*-*-*
"Un homme entre dans un salon de coiffure pour hommes pour se faire couper les cheveux et tailler sa barbe comme il le fait régulièrement. Il entame la conversation avec le barbier et ils discutent de sujets nombreux et variés.
Soudain, ils abordent le sujet de Dieu et le barbier dit : "Moi, je ne crois pas que Dieu existe comme tu le dis."
"Pourquoi? " répondit le client.
"Facile, tu n'as qu'à sortir dans la rue pour comprendre que Dieu n'existe pas. Si Dieu existait, y aurait-il tant de gens malades et tant d'enfants abandonnés? Si Dieu existait, il n'y aurait pas tant de souffrance ni de peine. Je ne peux pas penser à un Dieu qui permet toutes ces choses. "
Le barbier termine son travail. Le client sort du salon et voit dans la rue un homme hirsute, avec de longs cheveux et une grande barbe. Il a l'air vraiment négligé et ne semble pas prendre soin de lui.
Le client retourne dans le salon et dit au barbier:
" Tu sais quoi? Les barbiers n'existent pas. "
" Comment ça, les barbiers n'existent pas? " dit le barbier. " Je suis bien là, devant toi, et ne suis-je pas barbier moi-même?
" Non, non, non! Les barbiers n'existent pas! " S’écria le client. "Parce que s'ils existaient, il n'y aurait personne avec de longs cheveux et une barbe comme cet homme qui est dans la rue ".
"Ah, mais bien sûr que les barbiers existent mais le problème, c'est que ces gens ne viennent pas vers moi!"
" Exactement! Tu vois? C'est comme Dieu, Il existe vraiment mais le problème c'est que les gens ne vont pas à Lui et ne Le cherchent pas et c'est pourquoi il y a tant de souffrance dans le monde "
QU'ATTENDONS NOUS ?
RICHARD EVANS
On dirait parfois que nous vivons comme si nous nous demandions quand la vie va commencer.
Nous ne savons pas toujours clairement ce que nous attendons au juste, mais parfois, il en est parmi nous qui persistent à attendre si longtemps que la vie passe et on se retrouve finalement à attendre quelque chose qui était là tout le temps.
Il y a des pères qui attendent le moment propice de faire la connaissance de leurs fils, qui attendent peut-être que d'autres obligations soient moins exigeantes. Mais un de ces jours, ces fils seront devenus adultes et partis, et les meilleures années pour les connaître, profiter de leur présence, les enseigner et les comprendre peuvent également être parties.
Il est des mères qui ont sincèrement l'intention d'être plus attentives, à la première occasion, aux plans et aux problèmes, aux allées et venues de leurs filles, et qui vont se rapprocher d'elles. Mais le temps passe, les écarts augmentent, et les enfants grandissent et s'en vont.
Il y a des vieux amis qui vont profiter un peu plus de la compagnie des uns des autres, mais les années passent.
Il y a des maris et des femmes qui vont être plus compréhensifs, avoir plus de considération. Mais le temps seul ne rapproche pas les gens.
Il y a des hommes qui vont abandonner de mauvaises habitudes; il y a des gens qui vont manger avec plus de sagesse; il en est qui vont vivre selon leurs moyens - bientôt, un de ces jours.
Il en est qui vont s'intéresser davantage à leur gouvernement. Mais quand ?
Il n'y a pas de raison de mettre en doute toutes ces bonnes intentions, mais quand donc allons-nous commencer à vivre comme si nous comprenions que c'est ceci la vie ?
C'est maintenant le moment, le jour, la génération.
Le ciel et l'au-delà auront leurs possibilités et leurs obligations.
C'est dans cette vie que nous devons faire l'œuvre· de cette vie.
Le jour d'aujourd'hui fait tout autant partie de l'éternité qu'un jour quelconque il y a mille ans ou un jour quelconque dans mille ans.
C'est cela, que cela nous passionne ou nous déçoive, que nous soyons occupés ou que nous nous ennuyions !
La vie, c'est maintenant, et elle passe.
Qu'attendons nous?
l'expression de la charité
"je considère que la charité, ou l'amour pur du Christ, est l'opposé de la critique et du jugement.
En parlant de charité, je ne pense pas actuellement au soulagement des souffrances par le don de nos biens. C'est bien sûr nécessaire et bon. Non, ce soir je pense à la charité qui se manifeste quand nous sommes tolérants envers autrui, indulgent à l'égard de leurs actes ; au genre de charité qui pardonne et qui est patiente.
Je pense à la charité qui nous pousse à avoir de l'empathie, à être compatissants et miséricordieux, non seulement lors de maladies, d'afflictions et de détresses mais également quand les autres montrent des faiblesses ou commettent des fautes.
Il y a un grand besoin de la charité qui manifeste de l'attention aux personnes qui passent inaperçues, qui donne de l'espoir à celles qui sont découragées et qui apporte de l'aide à celles qui sont affligées.
La véritable charité est l'amour en action.
On a besoin de charité qui refuse de trouver de la satisfaction à écouter ou à répéter des récits de malheurs arrivés aux autres, à moins que cela profite aux malheureux...
La charité, c'est être patient avec quelqu'un qui nous a déçus ; c'est résister à la tendance à s'offenser facilement. C'est accepter les gens comme ils sont vraiment. C'est voir au delà de l'apparence physique les qualités qui ne s'estomperont pas avec le temps. C'est résister à l'envie de mettre les autres dans des catégories.
La charité, cet amour pur du Christ, se manifeste quand un groupe de jeunes femmes d'une paroisse d'adultes seuls fait des centaines de kilomètres pour assister au service funèbre de la mère de l'une de leurs sœurs de la Société de Secours.
La charité se manifeste quand des instructrices visiteuses dévouées retournent mois après mois, année après années, chez la même sœur indifférente et assez critique. Elle se voit lorsqu'on se souvient d'une veuve âgée et qu'on l'emmène aux réunions de la paroisse et aux activités de la Société de Secours. On la ressent quand une sœur assise seule à la Société de Secours reçoit l'invitation : "Viens t’asseoir avec nous".
De centaines de petites façons, vous portez toutes le manteau de la charité. La vie n'est parfaite pour aucun de nous. Au lieu de nous juger et de nous critiquer mutuellement, puissions nous avoir l'amour du Christ pour nos compagnons de route dans ce voyage de la vie.
Puissions nous prendre conscience que chacune fait de son mieux pour faire face aux difficultés qu'elle rencontre et puissions nous faire nous mêmes de notre mieux pour "aider".
Le charité est l'amour pur du Christ.... et tout ira bien pour quiconque sera trouvé la possédant au dernier jour.
Thomas S. MONSON
LA QUESTION DU PARDON
SI nous nous repentons sincèrement après avoir commis une erreur, nous pouvons espérer être pardonnes maintes et maintes fois, simplement en
disant : Je regrette.
Il y a des gens qui comptent sur le pardon de leurs fautes, quelles qu’elles soient, simplement en exprimant un regret. Il y en a qui se repentent parce qu’ils craignent les conséquences de la faute, mais qui sont prêts à retomber dans leurs errements.
Se repentir c’est plus que dire « : Je regrette. » C’est plus que craindre les conséquences de la faute, c’est plus que l’effort superficiel pour éviter les responsabilités de la faute. C’est plus que d’être circonspect parce qu’on se sent surveillé.
Le repentir suppose un changement intérieur, la résolution de ne plus retomber dans les anciennes erreurs. C’est seulement dans ces conditions que nous pouvons espérer voir fonctionner pour nous la loi de pardon.
Le cultivateur qui demande à la terre et au climat de lui pardonner et de lui donner une abondante récolte, bien qu’il ait mal labouré et ensemencé ses champs, éprouvera une profonde déception.
La nature ne pardonne que si on se repent sincèrement.
Le commerçant qui persiste dans ses erreurs ne peut pas espérer des pardons répétés. Ses créanciers se fatiguent vite de lui pardonner ; ce qui attend un commerçant incapable de pratiquer à fond le repentir, c’est la faillite.
Celui qui désire le pardon de ses amis, de la justice, des membres de la même profession, de la nature ou de Dieu, doit se repentir profondément, comme lorsque le Seigneur dit : « Allez, et ne commettez plus de péché. » « Alors Pierre vint à lui et dit : Seigneur, combien de fois mon frère péchera-t-il à mon détriment, et combien de fois lui pardonnerai-je ? Sera-ce sept fois ? Jésus lui dit : Je ne te dis pas sept fois, mais soixante-dix fois sept fois. »
Donc, il n ’y a en fait pas de limite au nombre de fois que nous devrons pardonner aux autres. Mais cela ne justifie pas celui qui retombe dans sa faute.
La répétition de l’erreur est le signe même que le repentir n’était pas sincère. Et bien que nous devions être prêts à pardonner soixante-dix fois sept fois, il sera prudent pour le pécheur de ne pas s’attendre à être pardonné soixante-dix fois sept fois.
UN VOYAGE DANGEREUX
Richard L. E vans.
Si nous nous laissions décourager par les difficultés que nous rencontrons à chaque pas dans la vie et les déceptions que nous sommes obligés de subir, nous serions bientôt submergés et nous perdrions de vue le but ultime.
Si nous laissions les troubles réels ou possibles prendre le dessus dans nos pensées et dans nos actions, nous deviendrions incapables d’agir, et nous serions paralysés par la menace des calamités qui pourraient nous atteindre.
Si nous tremblions à la pensée des catastrophes possibles, si nous en souffrions d’avance, la vie deviendrait une épreuve impossible à supporter.
Si tous les contre courants, tous les remous, tous les brisants devaient nous faire chavirer, nous serions sous l’eau à chaque instant.
Au cours de notre vie, les tempêtes surgissent, plus ou moins souvent et parfois durent longtemps ; mais une foi ferme en le Seigneur et en le but ultime nous donne la force de faire face à la tempête, si furieuse qu’elle soit.
Nous ne pouvons pas échapper dans la vie aux lames de fond, aux grains soudains, aux troubles graves. Mais nous ne devons pas nous laisser dominer par eux au point de perdre nos directives et de naviguer en cercle.
Sachons surmonter les obstacles, les souffrances, les déceptions passagères, les chagrins profonds et amers, dont nous ne pouvons pas espérer être exempts.
Personne n’a jamais évité toutes les peines ou les menaces de peines ; mais il y en a eu, avant nous, qui ne se sont pas laissés abattre, qui ont trouvé la paix et qui ont accompli leur tâche en dépit des déceptions et des confusions.
Dans la vie, il nous faut apprendre cette leçon : D’ un rivage à l’autre, la mer n’est jamais tout à fait calme, des tempêtes surgissent. Qu’on sache qu’au cours d’une traversée on ne peut pas éviter toute tempête.
La vie vous submergera, n’en doutez pas, si vous la laissez faire. Mais vous pourrez vous maintenir à flot où vous ne perdez pas de vue le but ultime. Vous poursuivrez votre route dans la bonne voie si vous ne cessez de faire des plans, de travailler, de tendre à des buts utiles dans le présent, et de conserver la foi pour l’avenir.
« Mon royaume pour un cheval »
par Richard L. EVANS
Les paroles que Shakespeare mit dans la bouche de Richard III : « Mon royaume pour un cheval », ont de grandes applications dans la conduite humaine. Lorsqu'un homme a besoin de quelque chose, ou croit qu’il en a besoin, ou désire cette chose passionnément la possession d’un royaume lui semble indifférente à ce moment-là.
Des besoins immédiats, des ennuis immédiats, des désirs immédiats écartent momentanément de notre pensée des choses beaucoup plus importantes. L’histoire prouve qu’une personne paiera parfois un prix exorbitant pour satisfaire un désir passionné.
Le cas d’Esaü est l’exemple classique de celui qui se dessaisit de beaucoup pour obtenir peu, qui ne sait pas voir à temps les conséquences éloignées de sa décision, et qui sacrifie l’avenir au présent. C’est d’Esaü que Paul a dit qu’il « avait vendu son droit d’aînesse » pour un morceau de pain.
Il y a aussi un autre aspect du même problème. Parce que nous voulons avoir une chose, et pas une autre et immédiatement, nous sommes souvent prêts à accepter des engagements qui dépassent nos moyens ; nous empruntons dans des conditions désastreuses, ou nous remettons à plus tard le paiement de nos dettes, nous figurant que nous pourrons plus facilement les acquitter demain.
Parfois, nous nous engageons à faire des choses que de toute évidence nous ne pourrons pas accomplir ; et, plus tard, nous nous trouvons accablés, pressés de tous côtés et terriblement ennuyés.
Nous nous disons : « Si je puis me tirer de cet embarras, si je puis surmonter la difficulté actuelle, si je puis cette fois éviter les conséquences pénibles de mes engagements inconsidérés, je ne me mettrai plus jamais dans pareille situation».
Il y a toujours grand inconvénient à payer un prix trop élevé pour des besoins immédiats ou à remettre trop facilement des obligations à l’avenir, dont il faudrait s’acquitter immédiatement, parce que l’avenir aura aussi ses problèmes, dont il faudra payer le prix, lequel ne devrait pas être surchargé du prix que nous remettons maintenant à acquitter plus tard.
Pensons à l’avenir avant d’offrir un royaume ou notre droit d’aînesse, ou avant de sacrifier un principe, ou avant de payer un prix exorbitant pour satisfaire un appétit, pour nous procurer un plaisir passager, aux véritables enjeux de notre vie ici bas et plaçons nos priorités dans un ordre éternel.
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MÉFIONS NOUS DE L'ORGUEIL
l'orgueil est le péché universel, le plus grand des vices. Le remède à l'orgueil est l'humilité.
L'orgueil ne se tourne pas vers Dieu pour considérer ce qui est juste, mais il se tourne vers les hommes pour argumenter sur qui a raison... sur ce que je veux dans la vie plutôt que sur ce que Dieu veut que je fasse de ma vie. C'est la crainte de l'homme avant la crainte de Dieu.
L'humilité répond à la volonté de Dieu, à la crainte de ses jugements et aux besoins de ceux qui sont autour de nous.
Pour les orgueilleux, les applaudissements du monde résonnent dans leurs oreilles, pour les humbles, les applaudissements des cieux réchauffent leur cœur.
Dans les écritures, l'orgueil vertueux n'existe pas : l'orgueil est toujours considéré comme un péché.
Pour la plupart d'entre nous, l'orgueil est synonyme d'égotisme, de vanité, de vantardise, d'arrogance ou de morgue. Ce sont tous des éléments du péché mais ils n'en sont pas l'essentiel.
Le trait essentiel de l'orgueil est l'inimitié, inimitié à l'égard de Dieu et de nos semblables. L'inimitié c'est la haine, l'hostilité ou l'opposition.
- les orgueilleux ne peuvent pas accepter que Dieu dirige leur vie.
- les orgueilleux voudraient que Dieu soit d'accord avec eux car ils ne veulent
pas rectifier leur opinion.
- les orgueilleux veulent s'élever au dessus des autres.
- les orgueilleux aime la gloire des hommes pour que la gloire de Dieu.
- les orgueilleux sont satisfaits lorsqu'ils ont plus que les autres.
- les orgueilleux sont égoïstes
- les orgueilleux s'offensent facilement et gardent rancœur.
- les orgueilleux refusent de pardonner pour justifier leur ressentiment.
- les orgueilleux ont besoin de l'opinion des autres pour savoir s'ils ont ou non
de la valeur.
L'orgueil c'est aussi les critiques, le commérage, les plaintes, les dépenses excessives, l'envie, la convoitise, le refus de communiquer de la reconnaissance envers Dieu et c'est refuser des compliments aux autres qui pourraient les édifier, c'est refuser de pardonner et d'être jaloux.
Un autre aspect de l'orgueil est la querelle, les disputes, les conflits, les dominations injustes, les fossés entre générations, les mauvais traitements aux conjoints, les émeutes et les soulèvements sont liés à l'orgueil.
Nous pouvons choisir de nous humilier en surmontant l'inimitié à l'égard de nos frères et sœurs, en acceptant les conseils et les réprimandes, en pardonnant à ceux qui nous ont offensés, en rendant des services désintéressés, en partant en mission, en nous rendant au temple aussi souvent que possible, en confessant et en abandonnant nos péchés et surtout :
en nous soumettant à la volonté et en lui donnant la première place dans nos vies.
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LE DEVOIR D’ÊTRE HEUREUX*-*-*-*-*-*-*-*-*
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RECOMMENCER
Nous entendons parfois quelqu’un dire : « Je voudrais bien pouvoir recommencer ; je voudrais bien vivre de nouveau ma vie avec ce que je sais maintenant ».
C’est un désir qu’on exprime souvent ; mais il est impossible de remonter le temps; dans la vie, on ne peut pas repasser par le chemin qu’on a déjà parcouru. Impossible de recommencer ce qui a déjà été accompli.
Mais nous pouvons commencer maintenant en prenant le moment présent comme point de départ, et cela dans une éternité d’existence.Voilà qui est rassurant.
Il n ’y a virtuellement rien dont nous ne puissions nous détourner si nous en avons la ferme volonté. Il n ’y a virtuellement rien que nous ne puissions améliorer. Il n ’y a virtuellement aucune habitude dont nous ne puissions nous débarrasser, si nous nous y employons avec énergie et si nous acceptons sincèrement l’aide qui est à notre portée, venant des autres et de notre Père qui est aux deux.
Mais l’intention de devenir meilleur, de faire mieux que dans le passé, de nous engager dans des voies nouvelles, de rompre avec certaines habitudes, n ’est souvent qu’une velléité, un vague désir, un désir neutralisé par l’idée que tout ce que nous pouvons faire c’est désirer de retourner en arrière.
Mais il n ’y a personne qui ne puisse faire mieux qu’il n’a fait en s’engageant résolument dans une voie nouvelle, si ce n’est avant qu’il s’avance sur le mauvais chemin.
Sans le principe fécond et la possibilité du repentir, il ne nous resterait guère d’encouragement à faire mieux, car nous avons tous besoin de nous repentir, même si nous n’en avons pas conscience.
Et, bien qu’il nous soit impossible de retourner où nous étions, nous pouvons commencer où nous sommes, quel que soit ce point de départ. Personne n’a le droit de penser qu ’il ne peut pas se débarrasser d ’une habitude s’il le veut, ou qu’il ne peut pas faire mieux qu’il n ’a fait dans le passé.
Il est inutile et vain de désirer de recommencer sa vie avec des connaissances accrues. Il ne nous est pas donné de revenir à une phase de notre vie que nous avons dépassée.
Mais mettons-nous bien dans la tête qu’on peut commencer à partir du point où on est, et que le souvenir d’une fausse direction dans le passé s’efface devant la conviction ferme que maintenant on est dans la bonne voie.
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
PAIS MES BREBIS
Parfois, nous perdons simplement de vue notre objectif et nous nous laissons aller à la dérive. Parfois, quelqu'un nous blesse ou il y a un autre problème.
Le résultat est le même, et nous ne nous
qualifions par pour les bénédictions qui peuvent être les nôtres. L’orgueil, la méfiance, la tromperie, le découragement et toutes sortes de péchés peuvent être chassés en opérant un changement dans notre cœur et en suivant le chemin que le Sauveur nous a montré.
Il dit : « Apprends de moi et écoute mes paroles ; marche dans l’humilité de mon Esprit, et tu auras la paix en moi » (D&A 19:23).
Le Sauveur a payé notre rançon. Il aime chacun de nous et il tend la main à tous ceux qui veulent aller à lui et le suivre.
Au fond de chacun de nous, brûle le désir de ce qui est bon.
Lorsque cette flamme est nourrie par les vérités éternelles de l’Évangile et par le témoignage de l’Esprit, elle réagit et devient plus forte et plus brillante jusqu'à nous amener à la plénitude de la vérité.
Cette flamme doit être allumée par l’amour et par de tendres soins, puis nourrie constamment.
C’est comme un jardinier qui cultive de belles fleurs. Avec le temps, les tendres soins constants et la nourriture produisent de belles fleurs qui font la joie de tous ceux qui les voient.
Nous sommes tous frères et sœurs, enfants de notre Père céleste. Nous devons nous tourner vers les personnes qui, pour une raison ou une autre, ont oublié le chemin.
Nous vous aimons et vous invitons à venir à la table et à partager le banquet spirituel que le Seigneur a préparé pour votre joie et votre bonheur.
Vous connaîtrez l’amour de notre Père céleste en venant, le cœur plein de bonne volonté, obéissant et prêt à participer et à servir.
Il vous connaît, il connaît vos besoins et ce qui vous attend dans l’avenir. Il comprend parfaitement les sentiments, les souffrances et les épreuves de chacun de nous.
De ce fait et du fait de l’Expiation infinie de son Fils Jésus-Christ, vous serez en mesure de surmonter toute difficulté qui se présentera à vous pendant votre séjour ici-bas.
Nous avons tous une grande responsabilité que le Sauveur a placée sur nos épaules. Il a dit : « Pais mes brebis » (Jean 21:17).
Cela comprend trouver les personnes qui ne sont pas avec nous et leur offrir notre amour et notre amitié.
Elles étaient avec nous dans notre premier état. Elles ont contracté des alliances sacrées, au moment du baptême et peut-être même dans le temple. Maintenant, elles ont besoin de notre aide.
Ned B. Roueché Des soixante dix - Novembre 2004
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Pour les leçons que nous refusons d'apprendre
PAR RICHARD L. EVANS
La vie est bonne, si nous la façonnons pour qu’elle le soit. Parfois elle est difficile aussi. Personne n'a dit que ce ne le serait pas.
Il est certain que notre Père à tous n'a jamais dit que ce ne le serait pas. Mais, étant un Père aimant, il nous a donné des conseils et des précautions, et nous a «avertis et mis en garde», pour employer ses propres termes.
Dans un sens, il nous dit: N'encombrez pas votre vie de choses qui feront certainement du tort à l'intelligence, seront une détresse pour l'esprit, détruiront certainement la santé et la paix et embarrasseront, inquiéteront la conscience et produiront des problèmes personnels complexes.
Il y a des choses qui sont bonnes pour l'homme.
Il y en a qui ne sont pas bonnes pour lui. C'est vrai moralement, physiquement, spirituellement. Et cependant, en dépit de l'expérience des siècles, et de tous les conseils que Dieu a donnés, nous continuons à répéter un grand nombre de ces mêmes erreurs, nous cognant, dans un certain sens, la tête au mur, demandant peut-être pourquoi le mur reste tandis que notre tête nous fait mal.
Tout cela revient à une affaire de respect des conseils donnés, d'étude et d'application des commandements. « ... C'est une heure précieuse, écrivait Linda Churchill, que celle où on affronte la vérité, car c'est une vérité, et une vérité capitale, que nul n'est libre dans le sens où l'esprit réfléchi considère la liberté.»
Il est vrai que nous avons la liberté de choisir, mais nous ne sommes pas libres des conséquences qui découlent du choix.
Nous ne sommes pas exempts du fonctionnement de la loi. «II est insupportable d'être trompés par nos ennemis ou trahis par nos ennemis», disait un philosophe français; «cependant être trompés par nous-mêmes c'est pire encore» ...
Le Créateur sait ce qui apportera le bonheur et le malheur à l'homme, et nous ne devons pas nous faire accroire que nous pouvons faire tout ce qui n'est pas bon pour les hommes ou pour nous personnellement, sans en payer le prix. «II y a une loi ... » - une loi de santé, une loi de bonheur, une loi de paix et de progression - «sur laquelle reposent toutes les bénédictions» (D. & A. 130:20) et nous ne pouvons sans crainte mettre au rancart ce qui a été essayé et a fait ses preuves maintes et maintes fois dans le passé, sans payer personnellement le prix de chaque leçon que nous refusons d'apprendre.
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RECOMMENCER
Nous entendons parfois quelqu’un dire : « Je voudrais bien pouvoir recommencer ; je voudrais bien vivre de nouveau ma vie avec ce que je sais maintenant ».
C’est un désir qu’on exprime souvent ; mais il est impossible de remonter le temps; dans la vie, on ne peut pas repasser par le chemin qu’on a déjà parcouru. Impossible de recommencer ce qui a déjà été accompli.
Mais nous pouvons commencer maintenant en prenant le moment présent comme point de départ, et cela dans une éternité d’existence.Voilà qui est rassurant.
Il n ’y a virtuellement rien dont nous ne puissions nous détourner si nous en avons la ferme volonté. Il n ’y a virtuellement rien que nous ne puissions améliorer. Il n ’y a virtuellement aucune habitude dont nous ne puissions nous débarrasser, si nous nous y employons avec énergie et si nous acceptons sincèrement l’aide qui est à notre portée, venant des autres et de notre Père qui est aux deux.
Mais l’intention de devenir meilleur, de faire mieux que dans le passé, de nous engager dans des voies nouvelles, de rompre avec certaines habitudes, n ’est souvent qu’une velléité, un vague désir, un désir neutralisé par l’idée que tout ce que nous pouvons faire c’est désirer de retourner en arrière.
Mais il n ’y a personne qui ne puisse faire mieux qu’il n’a fait en s’engageant résolument dans une voie nouvelle, si ce n’est avant qu’il s’avance sur le mauvais chemin.
Sans le principe fécond et la possibilité du repentir, il ne nous resterait guère d’encouragement à faire mieux, car nous avons tous besoin de nous repentir, même si nous n’en avons pas conscience.
Et, bien qu’il nous soit impossible de retourner où nous étions, nous pouvons commencer où nous sommes, quel que soit ce point de départ. Personne n’a le droit de penser qu ’il ne peut pas se débarrasser d ’une habitude s’il le veut, ou qu’il ne peut pas faire mieux qu’il n ’a fait dans le passé.
Il est inutile et vain de désirer de recommencer sa vie avec des connaissances accrues. Il ne nous est pas donné de revenir à une phase de notre vie que nous avons dépassée.
Mais mettons-nous bien dans la tête qu’on peut commencer à partir du point où on est, et que le souvenir d’une fausse direction dans le passé s’efface devant la conviction ferme que maintenant on est dans la bonne voie.
PAIS MES BREBIS
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Parfois, nous perdons simplement de vue notre objectif et nous nous laissons aller à la dérive. Parfois, quelqu'un nous blesse ou il y a un autre problème.
Le résultat est le même, et nous ne nous
qualifions par pour les bénédictions qui peuvent être les nôtres. L’orgueil, la méfiance, la tromperie, le découragement et toutes sortes de péchés peuvent être chassés en opérant un changement dans notre cœur et en suivant le chemin que le Sauveur nous a montré.
Il dit : « Apprends de moi et écoute mes paroles ; marche dans l’humilité de mon Esprit, et tu auras la paix en moi » (D&A 19:23).
Le Sauveur a payé notre rançon. Il aime chacun de nous et il tend la main à tous ceux qui veulent aller à lui et le suivre.
Au fond de chacun de nous, brûle le désir de ce qui est bon.
Lorsque cette flamme est nourrie par les vérités éternelles de l’Évangile et par le témoignage de l’Esprit, elle réagit et devient plus forte et plus brillante jusqu'à nous amener à la plénitude de la vérité.
Cette flamme doit être allumée par l’amour et par de tendres soins, puis nourrie constamment.
C’est comme un jardinier qui cultive de belles fleurs. Avec le temps, les tendres soins constants et la nourriture produisent de belles fleurs qui font la joie de tous ceux qui les voient.
Nous sommes tous frères et sœurs, enfants de notre Père céleste. Nous devons nous tourner vers les personnes qui, pour une raison ou une autre, ont oublié le chemin.
Nous vous aimons et vous invitons à venir à la table et à partager le banquet spirituel que le Seigneur a préparé pour votre joie et votre bonheur.
Vous connaîtrez l’amour de notre Père céleste en venant, le cœur plein de bonne volonté, obéissant et prêt à participer et à servir.
Il vous connaît, il connaît vos besoins et ce qui vous attend dans l’avenir. Il comprend parfaitement les sentiments, les souffrances et les épreuves de chacun de nous.
De ce fait et du fait de l’Expiation infinie de son Fils Jésus-Christ, vous serez en mesure de surmonter toute difficulté qui se présentera à vous pendant votre séjour ici-bas.
Nous avons tous une grande responsabilité que le Sauveur a placée sur nos épaules. Il a dit : « Pais mes brebis » (Jean 21:17).
Cela comprend trouver les personnes qui ne sont pas avec nous et leur offrir notre amour et notre amitié.
Elles étaient avec nous dans notre premier état. Elles ont contracté des alliances sacrées, au moment du baptême et peut-être même dans le temple. Maintenant, elles ont besoin de notre aide.
Ned B. Roueché Des soixante dix - Novembre 2004
Pour les leçons que nous refusons d'apprendre
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Faire la distinction entre le péché et la faiblesse
Nous avons coutume de penser que le péché et la faiblesse ne sont que des taches noires de tailles différentes sur le tissu de notre âme, des transgressions de gravité différente. Mais les Écritures indiquent qu’un péché et une faiblesse sont intrinsèquement différents, qu’ils nécessitent des remèdes distincts et qu’ils ont le potentiel de produire des résultats différents.
La plupart d’entre nous connaissent mieux le péché qu’ils ne veulent l’admettre mais rappelons certains points : pécher, c’est choisir de désobéir aux commandements de Dieu ou se rebeller contre la lumière du Christ qui est en nous. Pécher, c’est choisir de faire confiance à Satan plutôt qu’à Dieu, faisant de nous un ennemi de notre Père. Contrairement à nous, Jésus-Christ était absolument sans péché et pouvait expier les nôtres. Lorsque nous nous repentons sincèrement, notamment en changeant notre esprit, notre cœur et notre comportement, en présentant des excuses ou en nous confessant sincèrement, en restituant lorsque c’est possible et en ne commettant pas de nouveau le péché en question, nous pouvons accéder à l’expiation de Jésus-Christ, recevoir le pardon de Dieu et redevenir pur.
Il est essentiel de devenir pur parce que rien d’impur ne peut demeurer en présence de Dieu. Mais si notre seul but était d’être aussi innocents que nous étions lorsque nous avons quitté la présence de Dieu, il vaudrait bien mieux que nous restions bien au chaud dans notre berceau pour le restant de notre vie. En fait, nous sommes venus sur terre pour apprendre par expérience à distinguer le bien du mal, à progresser en sagesse et en talents, à vivre selon les principes qui nous sont chers et à acquérir les caractéristiques de la divinité, progression que nous ne pouvons pas obtenir dans les limites sécurisantes d’un couffin.
La faiblesse humaine joue un rôle important dans les objectifs essentiels de la condition mortelle. Lorsque Moroni s’est inquiété que les Gentils se moquent de choses sacrées à cause de sa faiblesse en rédaction, le Seigneur l’a rassuré en ces termes :
Nous pourrions définir la faiblesse comme la limitation de notre sagesse, de notre pouvoir et de notre sainteté due à la condition humaine. Nous, les mortels, naissons impuissants et dépendants, avec diverses imperfections et prédispositions physiques. Nous grandissons entourés d’autres mortels faibles et leurs enseignements, leur exemple et leur façon de nous traiter ont des défauts et sont préjudiciables. De par notre condition mortelle et faible, nous sommes sujets à des maladies, à la faim et à la fatigue physique et émotionnelle. Nous éprouvons des émotions humaines comme la colère, le chagrin et la peur. Nous manquons de sagesse, de talents, d’endurance et de force. Et nous sommes sujets à des tentations de toutes sortes.
Nous ne pouvons tout simplement pas nous repentir de notre faiblesse, pas plus que la faiblesse ne nous rend impur. Nous ne pouvons pas progresser spirituellement sans rejeter le péché ni sans accepter les faiblesses dues à notre condition humaine, sans y réagir avec humilité et foi, et sans apprendre à avoir confiance en Dieu à travers elles. Quand Moroni s’est inquiété de sa faiblesse en rédaction, Dieu ne lui a pas dit de se repentir. Au contraire, Le Seigneur lui a enseigné à être humble et à avoir foi au Christ. Si nous sommes humbles et fidèles, Dieu nous offre sa grâce, pas son pardon, comme remède à la faiblesse.
Bien que Satan n’aie de cesse d’utiliser notre faiblesse pour nous pousser au péché, Dieu peut se servir de la faiblesse humaine pour nous instruire, nous fortifier et nous bénir. Cependant, contrairement à ce que nous pourrions penser ou espérer, Dieu ne rend pas toujours « fortes pour nous les choses qui sont faibles » en éliminant notre faiblesse.
Nous avons coutume de penser que le péché et la faiblesse ne sont que des taches noires de tailles différentes sur le tissu de notre âme, des transgressions de gravité différente. Mais les Écritures indiquent qu’un péché et une faiblesse sont intrinsèquement différents, qu’ils nécessitent des remèdes distincts et qu’ils ont le potentiel de produire des résultats différents.
La plupart d’entre nous connaissent mieux le péché qu’ils ne veulent l’admettre mais rappelons certains points : pécher, c’est choisir de désobéir aux commandements de Dieu ou se rebeller contre la lumière du Christ qui est en nous. Pécher, c’est choisir de faire confiance à Satan plutôt qu’à Dieu, faisant de nous un ennemi de notre Père. Contrairement à nous, Jésus-Christ était absolument sans péché et pouvait expier les nôtres. Lorsque nous nous repentons sincèrement, notamment en changeant notre esprit, notre cœur et notre comportement, en présentant des excuses ou en nous confessant sincèrement, en restituant lorsque c’est possible et en ne commettant pas de nouveau le péché en question, nous pouvons accéder à l’expiation de Jésus-Christ, recevoir le pardon de Dieu et redevenir pur.
Il est essentiel de devenir pur parce que rien d’impur ne peut demeurer en présence de Dieu. Mais si notre seul but était d’être aussi innocents que nous étions lorsque nous avons quitté la présence de Dieu, il vaudrait bien mieux que nous restions bien au chaud dans notre berceau pour le restant de notre vie. En fait, nous sommes venus sur terre pour apprendre par expérience à distinguer le bien du mal, à progresser en sagesse et en talents, à vivre selon les principes qui nous sont chers et à acquérir les caractéristiques de la divinité, progression que nous ne pouvons pas obtenir dans les limites sécurisantes d’un couffin.
La faiblesse humaine joue un rôle important dans les objectifs essentiels de la condition mortelle. Lorsque Moroni s’est inquiété que les Gentils se moquent de choses sacrées à cause de sa faiblesse en rédaction, le Seigneur l’a rassuré en ces termes :
Nous pourrions définir la faiblesse comme la limitation de notre sagesse, de notre pouvoir et de notre sainteté due à la condition humaine. Nous, les mortels, naissons impuissants et dépendants, avec diverses imperfections et prédispositions physiques. Nous grandissons entourés d’autres mortels faibles et leurs enseignements, leur exemple et leur façon de nous traiter ont des défauts et sont préjudiciables. De par notre condition mortelle et faible, nous sommes sujets à des maladies, à la faim et à la fatigue physique et émotionnelle. Nous éprouvons des émotions humaines comme la colère, le chagrin et la peur. Nous manquons de sagesse, de talents, d’endurance et de force. Et nous sommes sujets à des tentations de toutes sortes.
Nous ne pouvons tout simplement pas nous repentir de notre faiblesse, pas plus que la faiblesse ne nous rend impur. Nous ne pouvons pas progresser spirituellement sans rejeter le péché ni sans accepter les faiblesses dues à notre condition humaine, sans y réagir avec humilité et foi, et sans apprendre à avoir confiance en Dieu à travers elles. Quand Moroni s’est inquiété de sa faiblesse en rédaction, Dieu ne lui a pas dit de se repentir. Au contraire, Le Seigneur lui a enseigné à être humble et à avoir foi au Christ. Si nous sommes humbles et fidèles, Dieu nous offre sa grâce, pas son pardon, comme remède à la faiblesse.
Bien que Satan n’aie de cesse d’utiliser notre faiblesse pour nous pousser au péché, Dieu peut se servir de la faiblesse humaine pour nous instruire, nous fortifier et nous bénir. Cependant, contrairement à ce que nous pourrions penser ou espérer, Dieu ne rend pas toujours « fortes pour nous les choses qui sont faibles » en éliminant notre faiblesse.
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APATHIE SPIRITUELLE
(texte tiré du livre du Pardon de Spencer W. Kimball
Etre passif est mortel ; cesser d'agir, c'est mourir. Il y a un autre parallèle intime avec la vie physique.
Si on ne mange et ne boit pas, le corps s'émacie. De même, si on ne nourrit pas son esprit, celui-ci se rabougrit et s'enténèbre. Charles Streisle l'a montré en termes frappants :
"Que dois-je faire pour être damné ? RIEN. C'est tout. Vous êtes damnés------condamnés ------si vous restez simplement immobiles. Telle est la loi de ce monde physique .Si vous restez suffisamment longtemps, vous ne vous lèverez plus jamais. Si vous ne levez jamais le bras, vous serez bientôt incapable de le soulever si peu que ce soit. Si vous restez dans le noir et que vous n'utilisez jamais vos yeux, vous deviendrez bientôt aveugle. C'est la loi du monde mental. Si vous n'exercez jamais votre cerveau, ne lisez et n'étudiez jamais, ni ne parlez à quiconque, si vous ne permettez jamais à quelqu'un de vous parler, votre esprit deviendra vide, peut-être deviendrez-vous fous ? Le châtiment le plus horrible que l'on pourrait vous infliger, ce n'est pas vingt ans de travaux forcés mais vingt ans de réclusion solitaire. C'est la loi du monde spirituel. Fermez simplement le cœur à toute Vérité et au bout d'un certain temps, vous ne serez plus à même de croire quoi que ce soit : c'est le châtiment le plus grave que l'on puisse subir pour n'avoir pas accepté la vérité. Le processus de désintégration et de mort commence dés l'instant où l'homme s'exclut des forces qui contribuent à la vie. Le corps et l'esprit sont maintenus en vie par un usage constructif constant."
Le Président David O. McKay a dit ce qui suit :
"Le danger de ce siècle, c'est l'apathie spirituelle. De même que le corps a besoin de sommeil de bonne nourriture, d'exercice suffisant et de repos, de même l'esprit de l'homme a besoin du soleil du Saint-Esprit de l'exercice correct des fonctions spirituelles, d'éviter les maux qui affectent la santé spirituelle et dont les effets sont plus ravageurs que le typhus, la pneumonie ou les autres maladies qui attaquent le corps".
*-*-*-*-*-*-*-*
APATHIE SPIRITUELLE
*-*-*-*-*-*-*
PAIS MES BREBIS
Nous, membres de la présidence de la Société de
Secours, avons étudié l’histoire et l’objectif de la Société de Secours et
médité à ce sujet ; cette institution unique a été organisée divinement
par un prophète de Dieu pour servir les femmes de l’Église et être une
bénédiction pour elles. Cette origine inspirée a été la réponse aux tendres
aspirations des femmes d’alors.
La Société de Secours a été organisée avec deux
objectifs très clairs : « soulager les pauvres et sauver les
âmes. »
Sœur Beck a mentionné que l’une des
choses que les femmes de l’Église peuvent et devraient bien faire est de porter
secours.
Prenez le principe enseigné dans Jean
21:15-17. Le Seigneur a demandé à Pierre : « M’aimes-tu ? »
Pierre a répondu : « Tu sais que je t’aime. » Et le Seigneur a
répondu : « Pais mes brebis. » Le Seigneur lui a demandé une
deuxième fois : « M’aimes-tu ? » Pierre a répondu de
nouveau : « Tu sais que je t’aime. » Le Seigneur a déclaré à
Pierre : « Pais mes brebis. » Le Seigneur lui a demandé une
troisième fois : « M’aimes-tu ? » Pierre a répondu :
Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t’aime. » Jésus lui a
dit : « Pais mes brebis. »
En disciples du Christ, nous
déclarons nous aussi que nous l’aimons. Alors, comment paissons-nous ses
brebis ?
Les visites d’enseignement sont l’un des moyens par
lesquels les sœurs de la Société de Secours peuvent paître ses brebis. Leurs
objectifs sont de nouer des relations d’amour avec chaque sœur et de lui
apporter soutien, réconfort et amitié. Les visites d’enseignement sont une
mission que le Seigneur a donnée d’aimer les sœurs et d’aider à s’occuper
d’elles. Pour atteindre ces objectifs, les instructrices visiteuses
doivent :
1 Rendre régulièrement visite à chaque sœur qui leur
est affectée, si possible chez elle, chaque mois.
2 S’informer des besoins spirituels et temporels de
la sœur et de sa famille.
3 Apporter l’aide qui convient.
4 L’instruire
spirituellement par un message mensuel
Le
Seigneur a accordé aux femmes les attributs divins de l’amour, de la
compassion, de la bonté et de la charité. Par nos visites mensuelles
d’instructrices visiteuses, nous avons le pouvoir d’apporter des bénédictions à
chaque sœur en tendant la main et en faisant montre de compassion et de
charité.
Quelle
que soit notre situation personnelle, nous avons toutes la possibilités
d’édifier les autres.
En
faisant régulièrement nos visites d’enseignement mensuelles, nous pouvons
tisser des liens d’amour, d’amitié et de confiance. En écoutant les murmures de
l’Esprit, nous serons plus conscientes des besoins des autres.
Si
nous agissons en fonction de ces murmures divins, nous pourrons être une
bénédiction pour les personnes dans le besoin. Mais nous devons être disposées
à donner de nous-même et de notre temps. La vraie valeur de notre vie se mesure
plus à ce que nous donnons qu’à ce que nous recevons. Les visites
d’enseignement donnent l’occasion de donner en veillant aux besoins physiques,
spirituels et émotionnels les unes des autres.
Boyd
K. PACKER a
dit que le service à la Société de Secours magnifie et sanctifie chaque sœur et
il nous a conseillé de donner au service dans la Société de Secours la
préséance sur toutes les autres activités de société, tous les autres clubs et
sociétés du même genre.
Une
bénédiction supplémentaire est l’amitié étroite et l’édification qui unissent
les deux sœurs qui s’acquittent ensemble de cette mission. Nous apprenons l’une
de l’autre et nous nous aimons en servant ensemble.
*-*-*-*-*-*-*-*-*
Bâtissons sur le roc
Nous vivons à une époque
où on m et en doute toutes les normes de valeur et où la foi même à l’Evangile
est mise en doute.
Cela vient peut-être de ce
que les hommes attendent trop de la religion et pas assez d’eux-mêmes.
Certains croient qu’une
croyance, un code de morale ou un ensemble de doctrines et de dogmes peuvent
remplacer l’effort personnel et la discipline imposée à soi-même.
D’autres connaissent sans
doute la loi, mais ne l’observent pas.
D’autres encore ne se sont
même pas souciés de s’informer de tout cela.
Il sera donc utile de nous
demander ce qu’on peut attendre des principes, de la force et du but de la
religion, et de juger de son efficacité ou de son inefficacité, à la lumière de
cette enquête.
N’attendons pas de la
religion qu’elle nous procure la paix de l’âme sans effort, la connaissance
sans étude et la vérité sans réflexion.
Elle ne nous donnera pas
de récompense sans peine, de joie sans repentir, de bénédictions sans obédience,
de béatitude dans l’au-delà sans conduite droite ici-bas.
Le Sauveur du monde nous a
suggéré ce que nous devons attendre de la foi sincère lorsqu’il a parlé du «
sage », qui « construit sa maison sur un roc.
Et la pluie tomba, et des
inondations vinrent, et les vents soufflèrent et
Battirent les murs de sa
maison : mais elle ne s’écroula Par
contre, la maison du fou était bâtie sur le sable, « et elle s’écroula : et
retentissante fut sa chute ».
Il est facile de voir ce
que signifie ce passage. Les inondations et les vents vinrent aussi bien pour
le sage que pour le fol. Mais la maison de celui-là résista, et la maison de
celui-ci s’écroula.
Dans une certaine mesure
et dans les limites de cette vie, c’est ce que nous devons attendre de la
religion, non pas qu’elle nous épargne les expériences désagréables de la vie,
mais qu’elle nous aide à les surmonter et nous prépare à aller toujours plus
loin et à faire toujours mieux. Personne ne peut échapper aux vicissitudes de
la vie ; chacun de nous a ses difficultés et ses épreuves ; mais celui qui n’a
pas une foi solide ne peut pas aussi bien faire front aux orages ; tandis que celui
qui attache une grande importance à la volonté de Dieu et s’inspire des grandes
vérités spirituelles évite les incertitudes et les vaines tentatives, et ne
connaît pas la défaite. RICHARD L. EVANS
*-*-*-*-*-*-
MOSIAH 4 : 11 - 26
11 Et je vous dis encore, comme je l’ai déjà dit, que de même que vous êtes parvenus à la connaissance de la gloire de Dieu, ou si vous avez connu sa bonté et goûté à son amour, et avez reçu le pardon de vos péchés, ce qui cause une joie aussi extrême dans votre âme, de même je voudrais que vous vous souveniez, et gardiez toujours le souvenir de la grandeur de Dieu, et de votre propre néant, et de sa bonté et de sa longanimité envers vous, créatures indignes, et vous humiliiez dans les profondeurs de l’humilité, invoquant quotidiennement le nom du Seigneur, et demeurant avec constance dans la foi de ce qui est à venir, qui a été dit par la bouche de l’ange.
12 Et voici, je vous dis que si vous faites cela, vous vous réjouirez toujours, et serez remplis de l’amour de Dieu, et conserverez toujours le pardon de vos péchés; et vous progresserez dans la connaissance de la gloire de celui qui vous a créés, ou dans la connaissance de ce qui est juste et vrai.
14 Et vous ne souffrirez pas que vos enfants soient affamés ou nus; et vous ne souffrirez pas non plus qu’ils transgressent les lois de Dieu, et se battent et se querellent, et servent le diable, qui est le maître du péché, ou qui est l’esprit malin dont ont parlé nos pères, l’ennemi de toute justice.
20 Et voici, en ce moment même, vous venez d’invoquer son nom et de mendier le pardon de vos péchés. Et a-t-il souffert que vous mendiiez en vain? Non; il a déversé son Esprit sur vous, et a fait que votre cœur soit rempli de joie, et a fait que votre bouche soit muette, de sorte que vous ne pouviez trouver à vous exprimer, tant votre joie était grande.
22 Et si vous jugez l’homme qui vous adresse sa supplication pour obtenir de vos biens afin de ne pas périr, et le condamnez, à quel point votre condamnation ne sera-t-elle pas plus juste pour avoir refusé vos biens, qui appartiennent non pas à vous mais à Dieu, à qui appartient aussi votre vie; et pourtant vous n’adressez aucune supplication, ni ne vous repentez de ce que vous avez fait.
24 Et encore, je dis aux pauvres, à vous qui n’avez pas et cependant avez suffisamment pour subsister de jour en jour; je veux dire: vous tous qui refusez au mendiant parce que vous n’avez pas; je voudrais que vous disiez dans votre cœur: Je ne donne pas parce que je n’ai pas, mais si j’avais, je donnerais.
26 Et maintenant, pour les choses que je vous ai dites, c’est-à-dire pour conserver de jour en jour le pardon de vos péchés, afin de marcher innocents devant Dieu, je voudrais que vous accordiez de vos biens aux pauvres, chaque homme selon ce qu’il a, comme nourrir les affamés, vêtir les nus, visiter les malades et leur apporter du soulagement, tant spirituellement que temporellement, selon leurs besoins.
Joseph Smith comprenait le pouvoir qui
découlait de l’unité.
*-*-*-*-*-*-*
PAIS MES BREBIS
Nous, membres de la présidence de la Société de
Secours, avons étudié l’histoire et l’objectif de la Société de Secours et
médité à ce sujet ; cette institution unique a été organisée divinement
par un prophète de Dieu pour servir les femmes de l’Église et être une
bénédiction pour elles. Cette origine inspirée a été la réponse aux tendres
aspirations des femmes d’alors.
La Société de Secours a été organisée avec deux
objectifs très clairs : « soulager les pauvres et sauver les
âmes. »
Sœur Beck a mentionné que l’une des
choses que les femmes de l’Église peuvent et devraient bien faire est de porter
secours.
Prenez le principe enseigné dans Jean
21:15-17. Le Seigneur a demandé à Pierre : « M’aimes-tu ? »
Pierre a répondu : « Tu sais que je t’aime. » Et le Seigneur a
répondu : « Pais mes brebis. » Le Seigneur lui a demandé une
deuxième fois : « M’aimes-tu ? » Pierre a répondu de
nouveau : « Tu sais que je t’aime. » Le Seigneur a déclaré à
Pierre : « Pais mes brebis. » Le Seigneur lui a demandé une
troisième fois : « M’aimes-tu ? » Pierre a répondu :
Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t’aime. » Jésus lui a
dit : « Pais mes brebis. »
En disciples du Christ, nous
déclarons nous aussi que nous l’aimons. Alors, comment paissons-nous ses
brebis ?
Les visites d’enseignement sont l’un des moyens par
lesquels les sœurs de la Société de Secours peuvent paître ses brebis. Leurs
objectifs sont de nouer des relations d’amour avec chaque sœur et de lui
apporter soutien, réconfort et amitié. Les visites d’enseignement sont une
mission que le Seigneur a donnée d’aimer les sœurs et d’aider à s’occuper
d’elles. Pour atteindre ces objectifs, les instructrices visiteuses
doivent :
1 Rendre régulièrement visite à chaque sœur qui leur
est affectée, si possible chez elle, chaque mois.
2 S’informer des besoins spirituels et temporels de
la sœur et de sa famille.
3 Apporter l’aide qui convient.
4 L’instruire
spirituellement par un message mensuel
Le
Seigneur a accordé aux femmes les attributs divins de l’amour, de la
compassion, de la bonté et de la charité. Par nos visites mensuelles
d’instructrices visiteuses, nous avons le pouvoir d’apporter des bénédictions à
chaque sœur en tendant la main et en faisant montre de compassion et de
charité.
Quelle
que soit notre situation personnelle, nous avons toutes la possibilités
d’édifier les autres.
En
faisant régulièrement nos visites d’enseignement mensuelles, nous pouvons
tisser des liens d’amour, d’amitié et de confiance. En écoutant les murmures de
l’Esprit, nous serons plus conscientes des besoins des autres.
Si
nous agissons en fonction de ces murmures divins, nous pourrons être une
bénédiction pour les personnes dans le besoin. Mais nous devons être disposées
à donner de nous-même et de notre temps. La vraie valeur de notre vie se mesure
plus à ce que nous donnons qu’à ce que nous recevons. Les visites
d’enseignement donnent l’occasion de donner en veillant aux besoins physiques,
spirituels et émotionnels les unes des autres.
Boyd
K. PACKER a
dit que le service à la Société de Secours magnifie et sanctifie chaque sœur et
il nous a conseillé de donner au service dans la Société de Secours la
préséance sur toutes les autres activités de société, tous les autres clubs et
sociétés du même genre.
Une
bénédiction supplémentaire est l’amitié étroite et l’édification qui unissent
les deux sœurs qui s’acquittent ensemble de cette mission. Nous apprenons l’une
de l’autre et nous nous aimons en servant ensemble.
*-*-*-*-*-*-*-*-*
Bâtissons sur le roc
Nous vivons à une époque
où on m et en doute toutes les normes de valeur et où la foi même à l’Evangile
est mise en doute.
Cela vient peut-être de ce
que les hommes attendent trop de la religion et pas assez d’eux-mêmes.
Certains croient qu’une
croyance, un code de morale ou un ensemble de doctrines et de dogmes peuvent
remplacer l’effort personnel et la discipline imposée à soi-même.
D’autres connaissent sans
doute la loi, mais ne l’observent pas.
D’autres encore ne se sont
même pas souciés de s’informer de tout cela.
Il sera donc utile de nous
demander ce qu’on peut attendre des principes, de la force et du but de la
religion, et de juger de son efficacité ou de son inefficacité, à la lumière de
cette enquête.
N’attendons pas de la
religion qu’elle nous procure la paix de l’âme sans effort, la connaissance
sans étude et la vérité sans réflexion.
Elle ne nous donnera pas
de récompense sans peine, de joie sans repentir, de bénédictions sans obédience,
de béatitude dans l’au-delà sans conduite droite ici-bas.
Le Sauveur du monde nous a
suggéré ce que nous devons attendre de la foi sincère lorsqu’il a parlé du «
sage », qui « construit sa maison sur un roc.
Et la pluie tomba, et des
inondations vinrent, et les vents soufflèrent et
Battirent les murs de sa
maison : mais elle ne s’écroula Par
contre, la maison du fou était bâtie sur le sable, « et elle s’écroula : et
retentissante fut sa chute ».
Il est facile de voir ce
que signifie ce passage. Les inondations et les vents vinrent aussi bien pour
le sage que pour le fol. Mais la maison de celui-là résista, et la maison de
celui-ci s’écroula.
Dans une certaine mesure
et dans les limites de cette vie, c’est ce que nous devons attendre de la
religion, non pas qu’elle nous épargne les expériences désagréables de la vie,
mais qu’elle nous aide à les surmonter et nous prépare à aller toujours plus
loin et à faire toujours mieux. Personne ne peut échapper aux vicissitudes de
la vie ; chacun de nous a ses difficultés et ses épreuves ; mais celui qui n’a
pas une foi solide ne peut pas aussi bien faire front aux orages ; tandis que celui
qui attache une grande importance à la volonté de Dieu et s’inspire des grandes
vérités spirituelles évite les incertitudes et les vaines tentatives, et ne
connaît pas la défaite. RICHARD L. EVANS
*-*-*-*-*-*-
11 Et je vous dis encore, comme je l’ai déjà dit, que de même que vous êtes parvenus à la connaissance de la gloire de Dieu, ou si vous avez connu sa bonté et goûté à son amour, et avez reçu le pardon de vos péchés, ce qui cause une joie aussi extrême dans votre âme, de même je voudrais que vous vous souveniez, et gardiez toujours le souvenir de la grandeur de Dieu, et de votre propre néant, et de sa bonté et de sa longanimité envers vous, créatures indignes, et vous humiliiez dans les profondeurs de l’humilité, invoquant quotidiennement le nom du Seigneur, et demeurant avec constance dans la foi de ce qui est à venir, qui a été dit par la bouche de l’ange.
12 Et voici, je vous dis que si vous faites cela, vous vous réjouirez toujours, et serez remplis de l’amour de Dieu, et conserverez toujours le pardon de vos péchés; et vous progresserez dans la connaissance de la gloire de celui qui vous a créés, ou dans la connaissance de ce qui est juste et vrai.
14 Et vous ne souffrirez pas que vos enfants soient affamés ou nus; et vous ne souffrirez pas non plus qu’ils transgressent les lois de Dieu, et se battent et se querellent, et servent le diable, qui est le maître du péché, ou qui est l’esprit malin dont ont parlé nos pères, l’ennemi de toute justice.
20 Et voici, en ce moment même, vous venez d’invoquer son nom et de mendier le pardon de vos péchés. Et a-t-il souffert que vous mendiiez en vain? Non; il a déversé son Esprit sur vous, et a fait que votre cœur soit rempli de joie, et a fait que votre bouche soit muette, de sorte que vous ne pouviez trouver à vous exprimer, tant votre joie était grande.
22 Et si vous jugez l’homme qui vous adresse sa supplication pour obtenir de vos biens afin de ne pas périr, et le condamnez, à quel point votre condamnation ne sera-t-elle pas plus juste pour avoir refusé vos biens, qui appartiennent non pas à vous mais à Dieu, à qui appartient aussi votre vie; et pourtant vous n’adressez aucune supplication, ni ne vous repentez de ce que vous avez fait.
24 Et encore, je dis aux pauvres, à vous qui n’avez pas et cependant avez suffisamment pour subsister de jour en jour; je veux dire: vous tous qui refusez au mendiant parce que vous n’avez pas; je voudrais que vous disiez dans votre cœur: Je ne donne pas parce que je n’ai pas, mais si j’avais, je donnerais.
26 Et maintenant, pour les choses que je vous ai dites, c’est-à-dire pour conserver de jour en jour le pardon de vos péchés, afin de marcher innocents devant Dieu, je voudrais que vous accordiez de vos biens aux pauvres, chaque homme selon ce qu’il a, comme nourrir les affamés, vêtir les nus, visiter les malades et leur apporter du soulagement, tant spirituellement que temporellement, selon leurs besoins.
Joseph Smith comprenait le pouvoir qui découlait de l’unité.
L’unité
Dans les premiers jours de
l’Église, le Seigneur a commandé aux saints des derniers jours d’être unis
(voir D&A 38:27).
Tout au long de sa vie, Joseph Smith, le prophète, a organisé et unifié les
saints pour accomplir l’œuvre de Dieu. Il les a instruits, il les a dirigés et
il leur a recommandé de consacrer leur temps, leurs talents et leurs biens à la
cause de Sion. Voici quelques-uns de ses enseignements sur l’unité.
Dans les premiers jours de
l’Église, le Seigneur a commandé aux saints des derniers jours d’être unis
(voir D&A 38:27).
Tout au long de sa vie, Joseph Smith, le prophète, a organisé et unifié les
saints pour accomplir l’œuvre de Dieu. Il les a instruits, il les a dirigés et
il leur a recommandé de consacrer leur temps, leurs talents et leurs biens à la
cause de Sion. Voici quelques-uns de ses enseignements sur l’unité.
« Nous
sommes extrêmement contents de savoir qu’il y a un tel esprit d’union dans
toutes les églises de notre pays et à l’étranger… car, par ce principe et en
coordonnant nos efforts, nous pourrons réaliser les desseins de notre
Dieu. »
« L’union
fait la force… « Que les saints du Très-Haut soutiennent toujours ce
principe, et les bénédictions les plus glorieuses doivent en découler, non
seulement pour eux individuellement mais pour l’Église entière. »
« Nous
sommes extrêmement contents de savoir qu’il y a un tel esprit d’union dans
toutes les églises de notre pays et à l’étranger… car, par ce principe et en
coordonnant nos efforts, nous pourrons réaliser les desseins de notre
Dieu. »
« L’union
fait la force… « Que les saints du Très-Haut soutiennent toujours ce
principe, et les bénédictions les plus glorieuses doivent en découler, non
seulement pour eux individuellement mais pour l’Église entière. »
Se débarrasser des sentiments égoïstes
« Que les saints se souviennent que de grandes choses
dépendent de leurs efforts personnels et qu’ils sont appelés à collaborer avec
nous et avec le Saint-Esprit à l’accomplissement de la grande œuvre des
derniers jours ; et… que tout sentiment égoïste soit non seulement enterré
mais annihilé. »
« Rendons-nous compte que nous ne devons pas vivre pour
nous-mêmes, mais pour Dieu ; nous aurons ainsi les plus grandes
bénédictions dans la condition mortelle ainsi que dans la vie éternelle. »
« Que les saints se souviennent que de grandes choses
dépendent de leurs efforts personnels et qu’ils sont appelés à collaborer avec
nous et avec le Saint-Esprit à l’accomplissement de la grande œuvre des
derniers jours ; et… que tout sentiment égoïste soit non seulement enterré
mais annihilé. »
« Rendons-nous compte que nous ne devons pas vivre pour
nous-mêmes, mais pour Dieu ; nous aurons ainsi les plus grandes
bénédictions dans la condition mortelle ainsi que dans la vie éternelle. »
Les bénédictions de l’unité
« Ce n’est que par une action concertée et un effort uni que
nous pouvons accomplir la grande œuvre des derniers jours… alors que nous
recevrons beaucoup plus de récompenses matérielles et spirituelles et que les
bénédictions des cieux se déverseront sur nous sans interruption. »
Henry B. Eyring a dit :
Le Seigneur,
Jéhovah, reviendra vivre avec les gens qui seront devenus son peuple et le
trouvera uni, d’un seul cœur, réuni à lui et à notre Père céleste.
En plus des
ordonnances, les principes que notre peuple suit nous unissent davantage.
Le grand
artisan de la paix, celui qui réunifie, est celui qui trouve le moyen d’aider
les gens à voir la vérité qu’ils ont en commun. Cette vérité commune est
toujours plus grande et plus importante pour eux que leurs points de
divergence. Vous pouvez vous aider vous-même et aider les autres à voir ce
terrain d’entente si vous demandez à Dieu de vous y aider et si vous passez
ensuite à l’action : Il exaucera votre prière de vous aider à rétablir la paix.
Ce même
principe s’applique quand on crée l’unité entre des gens de cultures très
différentes. Les enfants de Dieu ont plus de points communs que de points de
divergence. Et même ces points de divergence peuvent être considérés comme un
moyen. Dieu nous aidera à voir les différences chez autrui non pas comme une
source d’irritation mais comme une solution. Le Seigneur peut vous aider à voir
et à apprécier ce qu’un autre apporte et qui vous manque. Plus d’une fois, le
Seigneur m’a aidé à voir sa bonté en me permettant d’être associé
à quelqu’un dont la différence avec moi était juste ce dont j’avais
besoin. Cela a été la manière dont le Seigneur m’a ajouté quelque chose
qui me manquait pour le servir mieux.
Un autre
principe d’unité, c’est de dire du bien les uns des autres.
Vous
pourriez vous rappeler ce que votre mère dit – la mienne l’a fait :
« Si tu ne peux rien dire de bon sur quelqu’un, alors ne dis rien. »
Je
peux vous promettre que vous ressentirez de la joie et de la paix quand vous
parlerez généreusement des autres dans l’optique du Christ.
Avec l’unité
que je vois grandir, le Seigneur pourra accomplir ce que le monde considérera
comme un miracle. Les saints peuvent accomplir chaque objectif du Seigneur
quand ils sont pleinement unis dans la droiture.
Envenimer ses
blessures
Sans doute, le cours de l’histoire
a-t-il fréquemment changé, parce que l'orgueil de quelqu’un avait été blessé.
Les exemples classiques
viennent aussitôt en mémoire : tel celui
D’ Achille, boudant sous sa
tente, pendant le siège de Troie. Mais, pour un exemple cité publiquement, il
en est des millions d'autres, où des existences ont été gâchées sérieusement ou
passagèrement, à la suite de blessures d’amour-propre.
Il est vrai qu’il y a des
gens irréfléchis, des gens cruels, des gens inconsidérés, d’autres qui sont
brusques, peu diplomates, brutaux, qui agissent souvent autrement qu'ils ne
devraient, ou traitent mal autrui.
Les hommes étant ce qu'ils
sont, imparfaits de nature, aussi longtemps que nous les croiserons, nous
serons parfois blessés, même si les autres ignorent qu’ils nous ont fait mal.
Il n’en est aucun parmi
nous qui n'ait jamais été blessé, intentionnellement ou non. Mais si nous
prenons trop facilement des airs de martyrs et envenimons nos blessures, leur
gravité première, ou leur portée, si nous leur permettons de nous empoisonner
la vie et nous retirons du monde et de son activité, nous portons un tort
sérieux à nous-mêmes, aux nôtres, à nos amis et aux causes que nous aurions pu
servir.
Il est notoire que le
patient se remet bien plus vite de certaines opérations chirurgicales, s’il
reprend son activité en se levant, et peut-être devrions-nous avoir appris de
longue date que nos sentiments blessés guérissent plus rapidement si nous ne nous
apitoyons pas trop longtemps et ne boudons pas sous notre tente.
Nous ne pouvons pas arrêter
le cours de l’existence, simplement parce qu’on nous a blessés.
La vie continue, avec ou
sans nous, et nous isoler dans un silence attristé, alors qu’il faudrait agir,
est une façon regrettable de laisser la vie se gaspiller.
Nous recommandons à tous,
ces lignes d’un auteur non identifié:
« Creusez une tombe dans
les profondeurs de votre âme ; que ce soit un endroit oublié, où ne conduise
nul sentier et, là, dans un éternel silence, enterrez les injustices que vous
avez souffertes.
Votre cœur se sentira
dès lors soulagé d’un grand poids et une paix divine viendra habiter en vous ».
Nous nous causons grand
dommage à nous-mêmes en envenimant indûment nos blessures. Et nous nous
apercevrons que beaucoup
d ’entre elles guérissent bien mieux si nous
continuons notre chemin, à l’air libre, comme guérissent certaines plaies ou
cicatrices chirurgicales, sans languir trop longtemps dans l’inactivité et la
souffrance.
« Ce n’est que par une action concertée et un effort uni que
nous pouvons accomplir la grande œuvre des derniers jours… alors que nous
recevrons beaucoup plus de récompenses matérielles et spirituelles et que les
bénédictions des cieux se déverseront sur nous sans interruption. »
Henry B. Eyring a dit :
Le Seigneur,
Jéhovah, reviendra vivre avec les gens qui seront devenus son peuple et le
trouvera uni, d’un seul cœur, réuni à lui et à notre Père céleste.
En plus des
ordonnances, les principes que notre peuple suit nous unissent davantage.
Le grand
artisan de la paix, celui qui réunifie, est celui qui trouve le moyen d’aider
les gens à voir la vérité qu’ils ont en commun. Cette vérité commune est
toujours plus grande et plus importante pour eux que leurs points de
divergence. Vous pouvez vous aider vous-même et aider les autres à voir ce
terrain d’entente si vous demandez à Dieu de vous y aider et si vous passez
ensuite à l’action : Il exaucera votre prière de vous aider à rétablir la paix.
Ce même
principe s’applique quand on crée l’unité entre des gens de cultures très
différentes. Les enfants de Dieu ont plus de points communs que de points de
divergence. Et même ces points de divergence peuvent être considérés comme un
moyen. Dieu nous aidera à voir les différences chez autrui non pas comme une
source d’irritation mais comme une solution. Le Seigneur peut vous aider à voir
et à apprécier ce qu’un autre apporte et qui vous manque. Plus d’une fois, le
Seigneur m’a aidé à voir sa bonté en me permettant d’être associé
à quelqu’un dont la différence avec moi était juste ce dont j’avais
besoin. Cela a été la manière dont le Seigneur m’a ajouté quelque chose
qui me manquait pour le servir mieux.
Un autre
principe d’unité, c’est de dire du bien les uns des autres.
Vous
pourriez vous rappeler ce que votre mère dit – la mienne l’a fait :
« Si tu ne peux rien dire de bon sur quelqu’un, alors ne dis rien. »
Je
peux vous promettre que vous ressentirez de la joie et de la paix quand vous
parlerez généreusement des autres dans l’optique du Christ.
Avec l’unité
que je vois grandir, le Seigneur pourra accomplir ce que le monde considérera
comme un miracle. Les saints peuvent accomplir chaque objectif du Seigneur
quand ils sont pleinement unis dans la droiture.
VEILLER A COMMENCER QUELQUE CHOSES
PAR RICHARD L. EVANS
«La vie,
disait Benjamin Disraeli, est un tonneau roulant plein de hauts et de bas», ...
«avec sa hâte morbide et ses objectifs contradictoires», ajoutait Matthew
Arnold.
Il y a des
moments où nous nous sentons tous surchargés, écrasés de dettes, d'obligations,
de tant de choses qui ne sont pas faites, de tant de choses défaites à faire, soucis,
problèmes et parfois nous semble-t-il, notre part de chagrins.
Et nous
demandons comment nous pourrions être à tous les endroits où nous devrions
être, faire tout ce que nous devrions faire, affronter les obligations et
porter le poids de nos soucis, paraissant nous écarteler en trop de directions
différentes, trop de manières à la fois, n'ayant pas le sentiment de terminer,
de liquider ou de dominer tout à fait quoi que ce soit, mais simplement de
remuer à nouveau des papiers, de remuer à nouveau des problèmes.
A tout
cela, un bien gentil conseil qui nous vient d'une source anonyme propose la méthode
du «chacun son tour».
«Quand on
regarde de loin les montagnes, dit cette source, elles semblent impossibles à
escalader, mais on peut le faire, et la manière de commencer c'est de faire le
premier pas. Dès lors, les montagnes sont moins élevées. Les pentes qui
paraissent si abruptes de loin semblent se niveler à mesure que nous nous en
approchons.»
Toute
tâche dans la vie est plus facile si nous abordons les choses une à une. Une
étape - un commencement: faire quelque chose pour régler quelque chose, commencer
à mettre quelque chose en route, donne l'assurance que nous sommes en bonne
voie et que la solution des problèmes est possible. Pour citer le proverbe: «Si
on chasse deux lièvres, ils s'échapperont tous les deux.» Personne n'est
capable de tout faire à la fois.
Nous
devons choisir ce qui est important, ce qui est possible, et commencer là où
nous sommes, avec ce que nous avons. Si nous commençons, et si nous continuons,
le poids, le souci, le doute, la dépression, commenceront à se lever et à s'alléger.
Nous ne
pouvons toujours tout faire, mais nous pouvons faire quelque chose maintenant,
et faire quelque chose aidera à alléger le poids et à diminuer le souci.
«Commencer, disait Platon, est ce
qu'il y a de plus important.»
VEILLER A COMMENCER QUELQUE CHOSES
PAR RICHARD L. EVANS
«La vie,
disait Benjamin Disraeli, est un tonneau roulant plein de hauts et de bas», ...
«avec sa hâte morbide et ses objectifs contradictoires», ajoutait Matthew
Arnold.
Il y a des
moments où nous nous sentons tous surchargés, écrasés de dettes, d'obligations,
de tant de choses qui ne sont pas faites, de tant de choses défaites à faire, soucis,
problèmes et parfois nous semble-t-il, notre part de chagrins.
Et nous
demandons comment nous pourrions être à tous les endroits où nous devrions
être, faire tout ce que nous devrions faire, affronter les obligations et
porter le poids de nos soucis, paraissant nous écarteler en trop de directions
différentes, trop de manières à la fois, n'ayant pas le sentiment de terminer,
de liquider ou de dominer tout à fait quoi que ce soit, mais simplement de
remuer à nouveau des papiers, de remuer à nouveau des problèmes.
A tout
cela, un bien gentil conseil qui nous vient d'une source anonyme propose la méthode
du «chacun son tour».
«Quand on
regarde de loin les montagnes, dit cette source, elles semblent impossibles à
escalader, mais on peut le faire, et la manière de commencer c'est de faire le
premier pas. Dès lors, les montagnes sont moins élevées. Les pentes qui
paraissent si abruptes de loin semblent se niveler à mesure que nous nous en
approchons.»
Toute
tâche dans la vie est plus facile si nous abordons les choses une à une. Une
étape - un commencement: faire quelque chose pour régler quelque chose, commencer
à mettre quelque chose en route, donne l'assurance que nous sommes en bonne
voie et que la solution des problèmes est possible. Pour citer le proverbe: «Si
on chasse deux lièvres, ils s'échapperont tous les deux.» Personne n'est
capable de tout faire à la fois.
Nous
devons choisir ce qui est important, ce qui est possible, et commencer là où
nous sommes, avec ce que nous avons. Si nous commençons, et si nous continuons,
le poids, le souci, le doute, la dépression, commenceront à se lever et à s'alléger.
Nous ne
pouvons toujours tout faire, mais nous pouvons faire quelque chose maintenant,
et faire quelque chose aidera à alléger le poids et à diminuer le souci.
«Commencer, disait Platon, est ce
qu'il y a de plus important.»
Travail, foi …. et
frictions
REVENONS de nouveau à cette question de frictions dans la
vie qui finissent par nous user : il y a des situations et des circonstances
qui nous useraient prématurément si nous les laissions faire.
Il y a des expériences rudes et érosives qui laissent, en
certains d’entre nous des blessures profondes et saignantes, mais qui, chez d’autres,
semblent se refermer plus vite ou ne pas blesser si cruellement.
Chez certains, nous voyons parfois une tension si aiguë,
que le processus de l’usure est douloureusement apparent. Et alors, par
contraste, nous voyons parfois quelqu’un qui n’a pas reçu moins d’épreuves,
mais qui a, d’une manière ou d’une autre, appris à se libérer des effets des
nombreux heurts que nous apporte la vie.
Nous recevons tous des coups ; certains d’entre nous les
gardent en eux-mêmes. Nous souffrons tous de malentendus ; certains les
amplifient. Nous devons tous, à certains moments, compter avec des gens
difficiles, irritants, déraisonnables, déplaisants ; certains d’entre nous
ressentent trop vivement leurs défauts et n’ont pas assez d’indulgence.
Nous avons tous des ennuis, des frustrations, des
déceptions.
Nous sommes tous sujets à la tristesse, à la maladie,
parfois à la perte d’êtres aimés, aux commentaires désobligeants, au tranchant
des critiques.
La vie de personne n’est totalement exempte de frictions
érosives. Nous avons tous à faire des réajustements. Mais par la foi et l’indulgence,
par la patiente retenue de notre jugement, et en étant si absorbé par un travail
utile qu’il laisse peu de temps à la rumination de nos griefs, nous pouvons
souvent éviter les effets érosifs de l’amertume et du ressentiment, et nous
pouvons nous libérer des conséquences des heurts, et vivre ainsi plus longtemps
que nous ne le ferions autrement, et vivre en meilleure santé et plus heureux
durant que nous vivons.
De nouveau, il doit être dit que le souci, une mauvaise
conscience, la pression des événements extérieurs, l’impatience, le ressentiment
et une tristesse irréconciliable produisent des frictions qui parfois rendent
la vie rude et amère.
Mais la foi, l’indulgence et le travail font partie de la
formule qui nous libèrent de ces frictions, la foi dans le but de la vie, dans
la miséricorde, l’amour et la justice de notre Père Éternel, la foi dans une
compréhension ultime et une complète compensation.
La foi, l’indulgence et un travail utile et volontairement
consenti peuvent nous libérer de presque tous les effets des frictions qui
autrement nous useraient à la longue, pour notre malheur. *
*-*-*-*-*-*-*-*-*-
SACRIFICE EXPIATOIRE
il était une fois un home nommé Georges THOMAS, pasteur d'une petite ville de Nouvelle Angleterre. Un dimanche matin, il vint à l'église en portant une vieille cage à oiseaux, rouillé et tordue, et la posa près du pupitre. Plusieurs sourcils étaient levés et, comme pour leur répondre, le pasteur commença à parler :
"Je marchais dans la ville hier quand j'ai vu un jeune garçon venant dans ma direction, en balançant cette cage à oiseaux. Au fond de la cage, il y avait trois petits oiseaux sauvages, frissonnants de froid et de peur.
J'ai arrêté le garçon et lui ai demandé :
- Qu'est ce que tu fais là fils ?
- Rien que de vieux oiseaux, fut la réponse
- Qu'est ce que tu vas en faire ? ais je demandé
- Les emmener chez moi et m'amuser avec. Je vais les embêter et leur arracher les plumes pour qu'ils se battent. Je vais vraiment me payer du bon temps.
- Mais tu te fatigueras de ces oiseaux tôt ou tard. Qu'est ce que tu feras alors ?
- Oh j'ai des chats, ils aiment les oiseaux alors je les leur donnerai.
Le pasteur fut silencieux un moment.
- Combien veux tu pour ces oiseaux fils ?
- Hein !! ?? Mais vous ne pouvez pas vouloir de ces oiseaux Monsieur. C'est juste de simples vieux oiseaux des champs. Ils ne chantent pas et ils ne son même pas jolis !
- Combien ?
Le garçon considéra le pasteur comme si il était fou et dit :
- 10 dollars
Le pasteur mit la main dans sa poche et en sortit un billet de dix dollars. Il le mit dans la main du garçon et en un éclair le garçon était parti.
Le pasteur ramassa la cage et doucement la transporta jusqu'au bout de l'allée où il y avait un arbre et un coin d'herbe. Ayant posé la cage, il ouvrit la porte et par tapes délicates sur les barreaux, il persuada les oiseaux de sortir et ainsi les libérer.
Bien, cela expliquait la cage à oiseaux vide sur le pupitre et le pasteur commença à raconter une autre histoire :
Un jour, Satan et Jésus bavardaient. Satan sortait juste du Jardin d'Eden et il était là, exultant et vantard.
-Oui, Monsieur, je viens d'attraper un monde plein de gens là-bas. Je me suis fait un piège, un vieil appât auquel je savais qu'ils ne pourraient pas résister. Je les ai eus tous !
- Qu'est ce que tu vas faire avec eux ? demanda Jésus
- Oh je vais m'amuser ! Je vais leur apprendre à se marier puis à divorcer, à se haïr et à se maltraiter les uns les autres, à inventer des fusils et des bombes et à se tuer les uns les autres. Je vais vraiment me payer du bon temps.
- Qu'est ce que tu vas faire d'eux quand tu te lasseras de tout ça ?
- Oh je les tuerai, je les damnerai
- Combien veux tu pour eux ?
- Oh tu ne peux pas vouloir ces gens là. Ils ne valent rien. Allez, tu vas les prendre et ils ne feront que te haïr, ils te cracheront dessus, te maudiront et te tueront ! Tu ne peux pas vouloir de ces gens là !!
- Combien ?
Satan regarda Jésus et ricana :
- Toutes les larmes, et tout ton sang
Jésus paya le prix
Il ramassa la cage et ouvrit la porte.
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
CONTINUEZ A VOUS INSTRUIRE
Gordon B. HINCKLEY : « Vous appartenez à une Église
qui encourage l’instruction… Il y a quelque chose de divin dans le
développement de l’esprit. ‹La gloire de Dieu c’est l’intelligence ou, en
d’autres termes, la lumière et la vérité› (D&A 93:36). ‹Quel que soit le
principe que nous atteignions dans cette vie, il se lèvera avec nous dans la
résurrection› (D&A 130:18)… L’instruction est un investissement qui ne
cesse jamais d’être profitable, d’une manière ou d’une autre »
D&A 88:118 : « Comme tous n’ont pas la foi,
cherchez diligemment et enseignez-vous les uns aux autres des paroles de
sagesse ; oui, cherchez des paroles de sagesse dans les meilleurs livres ;
cherchez la connaissance par l’étude et aussi par la foi. »
Dallin H. OAKS, du Collège des douze
apôtres : « Nous cherchons la science en
étudiant la sagesse accumulée dans diverses disciplines et en utilisant les
facultés de raisonner que nous a accordées notre Créateur. Nous devrions
également chercher la science par la foi en Dieu, le dispensateur de la
révélation… Les chercheurs qui font de gros efforts voient leurs capacités
amplifiées par l’inspiration. L’acquisition de la connaissance par la révélation
est un avantage supplémentaire accordé aux chercheurs dans le domaine des
sciences et des arts, mais elle constitue la méthode fondamentale pour ceux qui
cherchent à connaître Dieu et les enseignements de son Évangile. Dans ce
domaine de connaissance, l’érudition et la raison ne suffisent pas »
D&A 88:77-79 : « Je vous donne le commandement
de vous enseigner les uns aux autres la doctrine du royaume. Enseignez
diligemment, et ma grâce vous accompagnera, afin que vous soyez instruits plus
parfaitement… de tout ce qui a trait au royaume de Dieu, qu’il est opportun que
vous compreniez ; des choses qui se trouvent dans le ciel, sur la terre et
sous la terre ; des choses qui ont été, des choses qui sont, des choses
qui doivent arriver sous peu ; des choses qui se passent au pays, des
choses qui se passent à l’étranger ; des guerres et des perplexités des
nations, et des jugements qui sont sur le pays ; et aussi d’une
connaissance des pays et des royaumes. »
Spencer W. KIMBALL (1895-1985) : « Nous devons apprendre à
éclairer des esprits, à guérir des cœurs brisés, à fonder des foyers… dans
lesquels on peut favoriser la santé mentale et spirituelle… Notre instruction
ne doit pas seulement nous apprendre comment construire un pont sur les gorges
du Niagara, ou la Golden Gate, mais elle doit nous apprendre comment combler le
fossé de l’incompréhension, de la haine et de la discorde, qui sépare les gens
dans le monde »
Brigham YOUNG (1801-1877) : « Je ne cesserai d’apprendre
tant que je vivrai, ni lorsque j’arriverai dans le monde des esprits ;
mais là j’apprendrai avec une plus grande facilité ; et lorsque je
retrouverai mon corps, j’apprendrai mille fois plus en mille fois moins de
temps ; et je n’ai pas l’intention de cesser d’apprendre à ce moment-là »
*-*-*-*-*-*-*
La jalousie
Par Richard L. E vans.
S’il nous fallait dresser une liste des maux qui éprouvent le plus l’humanité,
il nous faudrait mettre en tête la jalousie.
La
jalousie joue un rôle dominant dans beaucoup de souffrances morales, sinon dans
toutes, et s’associe si intimement à d’autres maux qu’il est souvent difficile
de l’en séparer.
C’est
la cousine germaine de l’envie, qui à son tour est proche de la convoitise, et
ces trois mauvais sentiments accompagnent la haine et la hargne.
C’est
souvent la jalousie que les auteurs de romans mettent au centre de l’intrigue.
Elle joue aussi un rôle de premier plan dan s le drame de la vie réelle dont
les romans ne sont que le reflet.
La
jalousie est sans doute aussi ancienne que la nature humaine elle même ; et même
la guerre dans les cieux donne la preuve que Lucifer était jaloux de la puissance
e t de la grandeur d’u n autre.
Cette
situation s’est souvent répétée dans la suite des temps.
Il
y a un certain nombre de choses précises à propos de la jalousie qu’il nous
faut connaître, afin d’éviter de la laisser s’insinuer dans notre esprit. L’une
d’elles est le fait que s’abandonner à la jalousie, c’est virtuellement avouer
son infériorité.
Il
est probable qu’on ne serait pas jaloux d’un autre si on se sentait son égal ;
être jaloux de cette personne, c’est se reconnaître au -dessous d’elle.
La
jalousie est à la fois un symptôme et la cause d’un manque de confiance.
Trop
souvent elle se glisse même dans le cercle de famille ; elle n ’est pas seulement
le fait d ’étrangers.
Une
autre chose que nous ne devons pas oublier, c’est que le jaloux est plus certainement
la victime que celui qui en est l’objet.
Sans
doute, il arrive que des innocents aient à souffrir de la jalousie
d’autres
personnes, mais on ne peut nier non plus que celui qui accueille la jalousie d
ans son cœur n’échappe pas à ses mauvais effets.
La
jalousie d’autres personnes à notre égard, si pénible qu’elle soit, ne cause
pas généralement autant de ravages que celle qui naît en nous et s’adresse à
d’autres.
C’est
une sorte de punition qu’on a à subir, laquelle détruit l’amour et trouble
profondément la paix intérieure.
L’une
des victoires les plus satisfaisantes qu’on puisse remporter dans la vie, c’est
de dominer la jalousie.
Celui
qui la rejette est béni entre les hommes.
*-*-*-*-*-*-*-*
Vous n’avez pas le temps ?
Par Richard L. Evans.
IL
n ’y a peut-être pas de différence plus grande entre les gens que la manière
dont ils s’occupent quand ils n’ont rien à faire. Naturellement, la plus grande
partie de notre temps est prise par des occupations nécessaires, et il nous
faut dormir pendant un certain nombre d’heures. Nous avons tous dû aller à l’école
pendant plusieurs années. Nous avons tous un travail à accomplir qui est la
raison d’être de notre vie.
Mais
nous tous, même ceux qui disent être si affairés qu’ils n’ont pas le temps de
souffler, nous avons un peu de temps de libre.
Il
se peut que ce ne soit que quelques minutes, ou que ce soit un bon moment ;
mais, quel que soit le cas, nous pouvons nous juger nous mêmes par ce que nous
faisons quand nous n’avons plus aucune obligation indispensable et pouvons
choisir la manière de nous occuper.
Le
secret du succès de personnes qui réussissent bien est peut-être le choix
judicieux d’une occupation pour les moments que tant d’autres gaspillent.
Qui
ne passe à s’amuser un quart d’heure par jour ? Et cependant, en un quart
d’heure par jour, nous pourrions lire la Bible d’un bout à l’autre deux fois
par an, ou lire les œuvres complètes de Shakespeare.
Quinze
minutes par jour depuis l’âge de dix ans jusqu ’à soixante cinq ans, cela fait
plus de cinq mille heures, le temps suffisant pour prendre connaissance des
grandes œuvres produites par les grands esprits de tous les temps, ou pour nous
initier aux vérités éternelles.
Si
nous nous servions d’un chronomètre pour mesurer notre temps en une
journée-type, nous serions surpris de voir combien nous perdons de temps.
Même
si nous ne sommes pas à même de faire ce qui est l’objet de nos désirs, il y a
toujours quelque chose à faire. Reconnaissons que nous avons tous plus de temps
libre que nous ne le supposons.
Si
nous réfléchissons bien, nous verrons qu’il en est ainsi. Et si nous prenons la
résolution de faire quelque chose de précis, nous serons étonnés de voir combien
nous accomplissons de choses, combien par exemple nous pouvons acquérir de
notions qui en valent la peine, exécuter des tâches utiles.
Mais
nous perdons tant de temps « entre temps », en futilités, en allées et venues, en
arrêts et en démarrages, en interruptions et en reprises, en remises à plus
tard, en rêveries, en inquiétudes, et à nous dire que nous n’avons pas le temps.
Souvent
nous perdons plus de temps à esquiver une tâche que l’accomplissement de cette
tâche nous prendrait de temps.
Le
temps est l’essence même de la vie et de l’action, et pourtant nous perdons
plus de temps à expliquer que nous ne pouvons pas faire telle ou telle chose
que nous n’en passerions à la faire.
CE SUR QUOI IL FAUT FERMER LES YEUX
Ce
sur quoi il faut fermer les yeux» - et quand «L'art d'avoir de la sagesse"
disait William James, «c'est l'art de savoir ce sur quoi il faut fermer les
yeux".
La vie sans amis, sans êtres chers, sans compagnie, serait beaucoup
trop vide.
Mais
puisque les hommes ne sont pas parfaits, la compagnie n'est jamais parfaite.
Lorsque nous fréquentons les gens, nous les prenons avec leurs imperfections.
Mais mettre exagérément l'accent sur les imperfections conduit à des
désagréments, au malheur et aux désillusions.
Il
en va ainsi dans le mariage, le foyer, la famille, parmi les amis, dans tous
les rapports de la vie. Et une des plus grandes leçons de la vie c'est
apprendre à aider les autres à s'améliorer sans qu'ils en éprouvent du
ressentiment, sans détruire leur confiance, sans détruire notre influence sur
eux.
Corriger
quelqu'un devant les autres est particulièrement embarrassant et, corriger une
personne avec sarcasme est toujours blessant. Aucun de nous ne fait tout ce
qu'il doit aussi bien qu'il le devrait.
Nul ne possède toutes les vertus,
toutes les capacités ou fait tout parfaitement. Il n'y a jamais personne qui
n'oublie jamais rien.
Personne
ne peut toujours suivre un programme, toujours avoir ce repas exactement à
l'heure (ou toujours être là exactement à l'heure), toujours donner à la maison
un air comme si on attendait de la visite d'un moment à l'autre, toujours avoir
tout exactement à sa place.
L'homme
n'est pas simplement une machine - il est beaucoup plus que cela - mais même
les machines ont besoin de compréhension et font des erreurs.
Il y a beaucoup
de choses sur lesquelles il faut fermer les yeux chez nous tous - et beaucoup
de choses sur lesquelles on ne doit pas fermer les yeux.
Mais
même cela peut être fait avec tact et d'une manière serviable, en choisissant
le moment, le lieu, l'humeur, la méthode.
Il
y a des moyens de suggérer, d'être patient, de corriger avec bonté, au lieu de
se livrer à une discipline dure, cruelle, mal avisée qui fait que les gens se
sentent petits, sont blessés et éprouvent de l'antagonisme.
Il
y a des moments pour corriger et des moments pour ne pas le faire. Il y a des
moyens pour corriger et des moyens de ne pas le faire. «L'art d'avoir de la
sagesse c'est l'art de connaître ce sur quoi il faut fermer les yeux» - et
quand.
SACRIFICE EXPIATOIRE
il était une fois un home nommé Georges THOMAS, pasteur d'une petite ville de Nouvelle Angleterre. Un dimanche matin, il vint à l'église en portant une vieille cage à oiseaux, rouillé et tordue, et la posa près du pupitre. Plusieurs sourcils étaient levés et, comme pour leur répondre, le pasteur commença à parler :
"Je marchais dans la ville hier quand j'ai vu un jeune garçon venant dans ma direction, en balançant cette cage à oiseaux. Au fond de la cage, il y avait trois petits oiseaux sauvages, frissonnants de froid et de peur.
J'ai arrêté le garçon et lui ai demandé :
- Qu'est ce que tu fais là fils ?
- Rien que de vieux oiseaux, fut la réponse
- Qu'est ce que tu vas en faire ? ais je demandé
- Les emmener chez moi et m'amuser avec. Je vais les embêter et leur arracher les plumes pour qu'ils se battent. Je vais vraiment me payer du bon temps.
- Mais tu te fatigueras de ces oiseaux tôt ou tard. Qu'est ce que tu feras alors ?
- Oh j'ai des chats, ils aiment les oiseaux alors je les leur donnerai.
Le pasteur fut silencieux un moment.
- Combien veux tu pour ces oiseaux fils ?
- Hein !! ?? Mais vous ne pouvez pas vouloir de ces oiseaux Monsieur. C'est juste de simples vieux oiseaux des champs. Ils ne chantent pas et ils ne son même pas jolis !
- Combien ?
Le garçon considéra le pasteur comme si il était fou et dit :
- 10 dollars
Le pasteur mit la main dans sa poche et en sortit un billet de dix dollars. Il le mit dans la main du garçon et en un éclair le garçon était parti.
Le pasteur ramassa la cage et doucement la transporta jusqu'au bout de l'allée où il y avait un arbre et un coin d'herbe. Ayant posé la cage, il ouvrit la porte et par tapes délicates sur les barreaux, il persuada les oiseaux de sortir et ainsi les libérer.
Bien, cela expliquait la cage à oiseaux vide sur le pupitre et le pasteur commença à raconter une autre histoire :
Un jour, Satan et Jésus bavardaient. Satan sortait juste du Jardin d'Eden et il était là, exultant et vantard.
-Oui, Monsieur, je viens d'attraper un monde plein de gens là-bas. Je me suis fait un piège, un vieil appât auquel je savais qu'ils ne pourraient pas résister. Je les ai eus tous !
- Qu'est ce que tu vas faire avec eux ? demanda Jésus
- Oh je vais m'amuser ! Je vais leur apprendre à se marier puis à divorcer, à se haïr et à se maltraiter les uns les autres, à inventer des fusils et des bombes et à se tuer les uns les autres. Je vais vraiment me payer du bon temps.
- Qu'est ce que tu vas faire d'eux quand tu te lasseras de tout ça ?
- Oh je les tuerai, je les damnerai
- Combien veux tu pour eux ?
- Oh tu ne peux pas vouloir ces gens là. Ils ne valent rien. Allez, tu vas les prendre et ils ne feront que te haïr, ils te cracheront dessus, te maudiront et te tueront ! Tu ne peux pas vouloir de ces gens là !!
- Combien ?
Satan regarda Jésus et ricana :
- Toutes les larmes, et tout ton sang
Jésus paya le prix
Il ramassa la cage et ouvrit la porte.
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
CONTINUEZ A VOUS INSTRUIRE
Gordon B. HINCKLEY : « Vous appartenez à une Église
qui encourage l’instruction… Il y a quelque chose de divin dans le
développement de l’esprit. ‹La gloire de Dieu c’est l’intelligence ou, en
d’autres termes, la lumière et la vérité› (D&A 93:36). ‹Quel que soit le
principe que nous atteignions dans cette vie, il se lèvera avec nous dans la
résurrection› (D&A 130:18)… L’instruction est un investissement qui ne
cesse jamais d’être profitable, d’une manière ou d’une autre »
D&A 88:118 : « Comme tous n’ont pas la foi,
cherchez diligemment et enseignez-vous les uns aux autres des paroles de
sagesse ; oui, cherchez des paroles de sagesse dans les meilleurs livres ;
cherchez la connaissance par l’étude et aussi par la foi. »
Dallin H. OAKS, du Collège des douze
apôtres : « Nous cherchons la science en
étudiant la sagesse accumulée dans diverses disciplines et en utilisant les
facultés de raisonner que nous a accordées notre Créateur. Nous devrions
également chercher la science par la foi en Dieu, le dispensateur de la
révélation… Les chercheurs qui font de gros efforts voient leurs capacités
amplifiées par l’inspiration. L’acquisition de la connaissance par la révélation
est un avantage supplémentaire accordé aux chercheurs dans le domaine des
sciences et des arts, mais elle constitue la méthode fondamentale pour ceux qui
cherchent à connaître Dieu et les enseignements de son Évangile. Dans ce
domaine de connaissance, l’érudition et la raison ne suffisent pas »
D&A 88:77-79 : « Je vous donne le commandement
de vous enseigner les uns aux autres la doctrine du royaume. Enseignez
diligemment, et ma grâce vous accompagnera, afin que vous soyez instruits plus
parfaitement… de tout ce qui a trait au royaume de Dieu, qu’il est opportun que
vous compreniez ; des choses qui se trouvent dans le ciel, sur la terre et
sous la terre ; des choses qui ont été, des choses qui sont, des choses
qui doivent arriver sous peu ; des choses qui se passent au pays, des
choses qui se passent à l’étranger ; des guerres et des perplexités des
nations, et des jugements qui sont sur le pays ; et aussi d’une
connaissance des pays et des royaumes. »
Spencer W. KIMBALL (1895-1985) : « Nous devons apprendre à
éclairer des esprits, à guérir des cœurs brisés, à fonder des foyers… dans
lesquels on peut favoriser la santé mentale et spirituelle… Notre instruction
ne doit pas seulement nous apprendre comment construire un pont sur les gorges
du Niagara, ou la Golden Gate, mais elle doit nous apprendre comment combler le
fossé de l’incompréhension, de la haine et de la discorde, qui sépare les gens
dans le monde »
Brigham YOUNG (1801-1877) : « Je ne cesserai d’apprendre
tant que je vivrai, ni lorsque j’arriverai dans le monde des esprits ;
mais là j’apprendrai avec une plus grande facilité ; et lorsque je
retrouverai mon corps, j’apprendrai mille fois plus en mille fois moins de
temps ; et je n’ai pas l’intention de cesser d’apprendre à ce moment-là »
*-*-*-*-*-*-*
La jalousie
Par Richard L. E vans.
S’il nous fallait dresser une liste des maux qui éprouvent le plus l’humanité,
il nous faudrait mettre en tête la jalousie.
La
jalousie joue un rôle dominant dans beaucoup de souffrances morales, sinon dans
toutes, et s’associe si intimement à d’autres maux qu’il est souvent difficile
de l’en séparer.
C’est
la cousine germaine de l’envie, qui à son tour est proche de la convoitise, et
ces trois mauvais sentiments accompagnent la haine et la hargne.
C’est
souvent la jalousie que les auteurs de romans mettent au centre de l’intrigue.
Elle joue aussi un rôle de premier plan dan s le drame de la vie réelle dont
les romans ne sont que le reflet.
La
jalousie est sans doute aussi ancienne que la nature humaine elle même ; et même
la guerre dans les cieux donne la preuve que Lucifer était jaloux de la puissance
e t de la grandeur d’u n autre.
Cette
situation s’est souvent répétée dans la suite des temps.
Il
y a un certain nombre de choses précises à propos de la jalousie qu’il nous
faut connaître, afin d’éviter de la laisser s’insinuer dans notre esprit. L’une
d’elles est le fait que s’abandonner à la jalousie, c’est virtuellement avouer
son infériorité.
Il
est probable qu’on ne serait pas jaloux d’un autre si on se sentait son égal ;
être jaloux de cette personne, c’est se reconnaître au -dessous d’elle.
La
jalousie est à la fois un symptôme et la cause d’un manque de confiance.
Trop
souvent elle se glisse même dans le cercle de famille ; elle n ’est pas seulement
le fait d ’étrangers.
Une
autre chose que nous ne devons pas oublier, c’est que le jaloux est plus certainement
la victime que celui qui en est l’objet.
Sans
doute, il arrive que des innocents aient à souffrir de la jalousie
d’autres
personnes, mais on ne peut nier non plus que celui qui accueille la jalousie d
ans son cœur n’échappe pas à ses mauvais effets.
La
jalousie d’autres personnes à notre égard, si pénible qu’elle soit, ne cause
pas généralement autant de ravages que celle qui naît en nous et s’adresse à
d’autres.
C’est
une sorte de punition qu’on a à subir, laquelle détruit l’amour et trouble
profondément la paix intérieure.
L’une
des victoires les plus satisfaisantes qu’on puisse remporter dans la vie, c’est
de dominer la jalousie.
Celui
qui la rejette est béni entre les hommes.
*-*-*-*-*-*-*-*
Vous n’avez pas le temps ?
Par Richard L. Evans.
IL
n ’y a peut-être pas de différence plus grande entre les gens que la manière
dont ils s’occupent quand ils n’ont rien à faire. Naturellement, la plus grande
partie de notre temps est prise par des occupations nécessaires, et il nous
faut dormir pendant un certain nombre d’heures. Nous avons tous dû aller à l’école
pendant plusieurs années. Nous avons tous un travail à accomplir qui est la
raison d’être de notre vie.
Mais
nous tous, même ceux qui disent être si affairés qu’ils n’ont pas le temps de
souffler, nous avons un peu de temps de libre.
Il
se peut que ce ne soit que quelques minutes, ou que ce soit un bon moment ;
mais, quel que soit le cas, nous pouvons nous juger nous mêmes par ce que nous
faisons quand nous n’avons plus aucune obligation indispensable et pouvons
choisir la manière de nous occuper.
Le
secret du succès de personnes qui réussissent bien est peut-être le choix
judicieux d’une occupation pour les moments que tant d’autres gaspillent.
Qui
ne passe à s’amuser un quart d’heure par jour ? Et cependant, en un quart
d’heure par jour, nous pourrions lire la Bible d’un bout à l’autre deux fois
par an, ou lire les œuvres complètes de Shakespeare.
Quinze
minutes par jour depuis l’âge de dix ans jusqu ’à soixante cinq ans, cela fait
plus de cinq mille heures, le temps suffisant pour prendre connaissance des
grandes œuvres produites par les grands esprits de tous les temps, ou pour nous
initier aux vérités éternelles.
Si
nous nous servions d’un chronomètre pour mesurer notre temps en une
journée-type, nous serions surpris de voir combien nous perdons de temps.
Même
si nous ne sommes pas à même de faire ce qui est l’objet de nos désirs, il y a
toujours quelque chose à faire. Reconnaissons que nous avons tous plus de temps
libre que nous ne le supposons.
Si
nous réfléchissons bien, nous verrons qu’il en est ainsi. Et si nous prenons la
résolution de faire quelque chose de précis, nous serons étonnés de voir combien
nous accomplissons de choses, combien par exemple nous pouvons acquérir de
notions qui en valent la peine, exécuter des tâches utiles.
Mais
nous perdons tant de temps « entre temps », en futilités, en allées et venues, en
arrêts et en démarrages, en interruptions et en reprises, en remises à plus
tard, en rêveries, en inquiétudes, et à nous dire que nous n’avons pas le temps.
Souvent
nous perdons plus de temps à esquiver une tâche que l’accomplissement de cette
tâche nous prendrait de temps.
Le
temps est l’essence même de la vie et de l’action, et pourtant nous perdons
plus de temps à expliquer que nous ne pouvons pas faire telle ou telle chose
que nous n’en passerions à la faire.
CONTINUEZ A VOUS INSTRUIRE
Gordon B. HINCKLEY : « Vous appartenez à une Église
qui encourage l’instruction… Il y a quelque chose de divin dans le
développement de l’esprit. ‹La gloire de Dieu c’est l’intelligence ou, en
d’autres termes, la lumière et la vérité› (D&A 93:36). ‹Quel que soit le
principe que nous atteignions dans cette vie, il se lèvera avec nous dans la
résurrection› (D&A 130:18)… L’instruction est un investissement qui ne
cesse jamais d’être profitable, d’une manière ou d’une autre »
D&A 88:118 : « Comme tous n’ont pas la foi,
cherchez diligemment et enseignez-vous les uns aux autres des paroles de
sagesse ; oui, cherchez des paroles de sagesse dans les meilleurs livres ;
cherchez la connaissance par l’étude et aussi par la foi. »
Dallin H. OAKS, du Collège des douze
apôtres : « Nous cherchons la science en
étudiant la sagesse accumulée dans diverses disciplines et en utilisant les
facultés de raisonner que nous a accordées notre Créateur. Nous devrions
également chercher la science par la foi en Dieu, le dispensateur de la
révélation… Les chercheurs qui font de gros efforts voient leurs capacités
amplifiées par l’inspiration. L’acquisition de la connaissance par la révélation
est un avantage supplémentaire accordé aux chercheurs dans le domaine des
sciences et des arts, mais elle constitue la méthode fondamentale pour ceux qui
cherchent à connaître Dieu et les enseignements de son Évangile. Dans ce
domaine de connaissance, l’érudition et la raison ne suffisent pas »
D&A 88:77-79 : « Je vous donne le commandement
de vous enseigner les uns aux autres la doctrine du royaume. Enseignez
diligemment, et ma grâce vous accompagnera, afin que vous soyez instruits plus
parfaitement… de tout ce qui a trait au royaume de Dieu, qu’il est opportun que
vous compreniez ; des choses qui se trouvent dans le ciel, sur la terre et
sous la terre ; des choses qui ont été, des choses qui sont, des choses
qui doivent arriver sous peu ; des choses qui se passent au pays, des
choses qui se passent à l’étranger ; des guerres et des perplexités des
nations, et des jugements qui sont sur le pays ; et aussi d’une
connaissance des pays et des royaumes. »
Spencer W. KIMBALL (1895-1985) : « Nous devons apprendre à
éclairer des esprits, à guérir des cœurs brisés, à fonder des foyers… dans
lesquels on peut favoriser la santé mentale et spirituelle… Notre instruction
ne doit pas seulement nous apprendre comment construire un pont sur les gorges
du Niagara, ou la Golden Gate, mais elle doit nous apprendre comment combler le
fossé de l’incompréhension, de la haine et de la discorde, qui sépare les gens
dans le monde »
Brigham YOUNG (1801-1877) : « Je ne cesserai d’apprendre
tant que je vivrai, ni lorsque j’arriverai dans le monde des esprits ;
mais là j’apprendrai avec une plus grande facilité ; et lorsque je
retrouverai mon corps, j’apprendrai mille fois plus en mille fois moins de
temps ; et je n’ai pas l’intention de cesser d’apprendre à ce moment-là »
*-*-*-*-*-*-*
Par Richard L. E vans.
S’il nous fallait dresser une liste des maux qui éprouvent le plus l’humanité,
il nous faudrait mettre en tête la jalousie.
La
jalousie joue un rôle dominant dans beaucoup de souffrances morales, sinon dans
toutes, et s’associe si intimement à d’autres maux qu’il est souvent difficile
de l’en séparer.
C’est
la cousine germaine de l’envie, qui à son tour est proche de la convoitise, et
ces trois mauvais sentiments accompagnent la haine et la hargne.
C’est
souvent la jalousie que les auteurs de romans mettent au centre de l’intrigue.
Elle joue aussi un rôle de premier plan dan s le drame de la vie réelle dont
les romans ne sont que le reflet.
La
jalousie est sans doute aussi ancienne que la nature humaine elle même ; et même
la guerre dans les cieux donne la preuve que Lucifer était jaloux de la puissance
e t de la grandeur d’u n autre.
Cette
situation s’est souvent répétée dans la suite des temps.
Il
y a un certain nombre de choses précises à propos de la jalousie qu’il nous
faut connaître, afin d’éviter de la laisser s’insinuer dans notre esprit. L’une
d’elles est le fait que s’abandonner à la jalousie, c’est virtuellement avouer
son infériorité.
Il
est probable qu’on ne serait pas jaloux d’un autre si on se sentait son égal ;
être jaloux de cette personne, c’est se reconnaître au -dessous d’elle.
La
jalousie est à la fois un symptôme et la cause d’un manque de confiance.
Trop
souvent elle se glisse même dans le cercle de famille ; elle n ’est pas seulement
le fait d ’étrangers.
Une
autre chose que nous ne devons pas oublier, c’est que le jaloux est plus certainement
la victime que celui qui en est l’objet.
Sans
doute, il arrive que des innocents aient à souffrir de la jalousie
d’autres
personnes, mais on ne peut nier non plus que celui qui accueille la jalousie d
ans son cœur n’échappe pas à ses mauvais effets.
La
jalousie d’autres personnes à notre égard, si pénible qu’elle soit, ne cause
pas généralement autant de ravages que celle qui naît en nous et s’adresse à
d’autres.
C’est
une sorte de punition qu’on a à subir, laquelle détruit l’amour et trouble
profondément la paix intérieure.
L’une
des victoires les plus satisfaisantes qu’on puisse remporter dans la vie, c’est
de dominer la jalousie.
Celui
qui la rejette est béni entre les hommes.
*-*-*-*-*-*-*-*
CE SUR QUOI IL FAUT FERMER LES YEUX
Ce
sur quoi il faut fermer les yeux» - et quand «L'art d'avoir de la sagesse"
disait William James, «c'est l'art de savoir ce sur quoi il faut fermer les
yeux".
La vie sans amis, sans êtres chers, sans compagnie, serait beaucoup
trop vide.
Mais
puisque les hommes ne sont pas parfaits, la compagnie n'est jamais parfaite.
Lorsque nous fréquentons les gens, nous les prenons avec leurs imperfections.
Mais mettre exagérément l'accent sur les imperfections conduit à des
désagréments, au malheur et aux désillusions.
Il
en va ainsi dans le mariage, le foyer, la famille, parmi les amis, dans tous
les rapports de la vie. Et une des plus grandes leçons de la vie c'est
apprendre à aider les autres à s'améliorer sans qu'ils en éprouvent du
ressentiment, sans détruire leur confiance, sans détruire notre influence sur
eux.
Corriger
quelqu'un devant les autres est particulièrement embarrassant et, corriger une
personne avec sarcasme est toujours blessant. Aucun de nous ne fait tout ce
qu'il doit aussi bien qu'il le devrait.
Nul ne possède toutes les vertus,
toutes les capacités ou fait tout parfaitement. Il n'y a jamais personne qui
n'oublie jamais rien.
Personne
ne peut toujours suivre un programme, toujours avoir ce repas exactement à
l'heure (ou toujours être là exactement à l'heure), toujours donner à la maison
un air comme si on attendait de la visite d'un moment à l'autre, toujours avoir
tout exactement à sa place.
L'homme
n'est pas simplement une machine - il est beaucoup plus que cela - mais même
les machines ont besoin de compréhension et font des erreurs.
Il y a beaucoup
de choses sur lesquelles il faut fermer les yeux chez nous tous - et beaucoup
de choses sur lesquelles on ne doit pas fermer les yeux.
Mais
même cela peut être fait avec tact et d'une manière serviable, en choisissant
le moment, le lieu, l'humeur, la méthode.
Il
y a des moyens de suggérer, d'être patient, de corriger avec bonté, au lieu de
se livrer à une discipline dure, cruelle, mal avisée qui fait que les gens se
sentent petits, sont blessés et éprouvent de l'antagonisme.
Il
y a des moments pour corriger et des moments pour ne pas le faire. Il y a des
moyens pour corriger et des moyens de ne pas le faire. «L'art d'avoir de la
sagesse c'est l'art de connaître ce sur quoi il faut fermer les yeux» - et
quand.
EXTRAIT D'UN DISCOURS
DE BRIGHAM YOUNG
Un événement intéressant fut relaté dans un sermon récent fait pas feu le président Brigham Young le 17 juin 1877 :
"je crois que je vais prendre la liberté de vous parler d'un événement qui sera aussi merveilleux que possible.
Il s'agit d'un incident survenu dans la vie d'Oliver COWDERY, mais celui ci ne prit pas, comme moi, la liberté d'en parler lors d'une réunion. Si je vous parle de ces choses, c'est que j'ai un motif de le faire. Je désire que vous les communiquiez à mes frères et sœurs, ainsi qu'aux enfants, afin qu'en grandissant, ils parviennent à comprendre certaines choses qui semblent être entièrement cachées à la famille humaine.
Oliver COWDERY accompagna le prophète Joseph lorsqu'il déposa les plaques du Livre de Mormon. Joseph ne traduisit pas toutes les plaques; certaines d'entre elles étaient scellées, comme l'indique les Doctrines et Alliances.
Lorsque Joseph obtint les plaques, l'ange lui dit de les rapporter à la colline Cumorah, ce qu'il fit. Oliver dit que, lorsqu'il s'y rendit avec Joseph, la colline s'ouvrit et ils entrèrent dans une grotte qui contenait une grande salle spacieuse.
Il dit qu'il ne se demanda pas alors s'ils avaient la lumière du soleil ou une autre lumière artificielle, mais qu'il faisait aussi clair qu'en plein jour.
Ils posèrent les plaques sur une table; c'était une grande table qui se trouvait dans la salle. Sous la table se trouvait une pile de plaques d'environ soixante centimètres de haut, et il y avait probablement dans cette salle davantage de plaques que n'en contiennent de nombreuses charretées; elles étaient empilées dans les coins et le long des murs.
La première fois qu'ils entrèrent dans cette salle, l'épée de Laban était suspendue au mur, mais la deuxième fois qu'ils y entrèrent, elle avait été enlevée et posée sur la table, en travers des plaques d'or, elle était dégainée et ces mots étaient écrits dessus : "Cette épée ne sera jamais rengainée jusqu'à, ce que les royaumes de ce monde deviennent le royaume de notre Dieu et de son Christ"
Je vous dis ceci comme venant non seulement d'Oliver COWDERY, mais aussi de ceux qui en étaient informés et qui le comprenaient comme nous comprenons pourquoi nous venons à cette réunion, appréciant la journée, avant de nous séparer peu à peu, oubliant la plupart des choses qui furent dites mais conservant le souvenir de certaines.
Il en est de même dans les autres circonstances de la vie. Je désire que vous compreniez ce que je vous raconte. Je prends la liberté de faire allusion à ces choses afin qu'elles ne soient pas oubliées ni perdues.
Les querelles et le bonheur au
foyer
PAR RICHARD L. EVANS
L'élément
essentiel par excellence dans la joie de vivre est l'entente et le bonheur au
foyer. Et ceci dépend après tout de la personnalité et de la courtoisie ... et
du gros bon sens.
Pourquoi,
oh! Pourquoi les gens qui vivent dans ces relations qui sont les plus intimes
de la vie permettent-ils aux querelles et aux malentendus de ruiner la paix et
le bonheur du foyer?
«II
y a une espèce de querelle qui purifie l'air, comme un bon et violent orage, écrivait
Dorothy Walworth.
L'autre
sorte de querelle ... laisse de vilaines cicatrices et de la rancune, ce qui
peut en fin de compte ruiner un mariage ...
Si,
dans une querelle, vous injuriez ... et manifestez une capacité diabolique à
utiliser les mots mêmes qui feront le plus de mal, si vous faites
impitoyablement l'inventaire de tous les manquements du passé et détruisez
d'une manière irréfléchie même vos souvenirs les plus heureux ... vous ne
pourrez revenir sur vos pas et faire que votre mariage soit exactement ce qu'il
était avant.
Une
femme ou un mari ne doivent jamais prendre trop au sérieux ce que dit l'autre à
la fin d'une journée épuisante ... lorsque on est las ou tendu ou que l'on
n'est pas bien ... Soyez doux.
A
notre époque, nous avons un meilleur usage à faire de notre énergie que de la
dépenser à nous battre avec ceux que nous aimons ...
N'essayez
pas d'avoir raison dans une discussion pour le simple plaisir d'avoir raison.
Votre
mari ou votre femme n'est pas votre rival, ni quelqu'un sur qui vous devez
jouir d'un triomphe mesquin ... Une querelle doit toujours être réglée. Elle ne
doit pas finir ... par des bouderies mutuelles pendant plusieurs jours...
Quelqu'un
doit dire: « Pardon ». Ne soyez pas trop fier pour demander pardon
... L'orgueil coûte trop cher ...
Ne
tenez pas toujours à avoir raison ...
Dernier
avertissement: que vos querelles restent privées. Les éclats publics sont du
plus mauvais goût. Il n'y a qu'un seul remède à leur apporter: Taisez vous!»
Le
tout revient à une simple question de personnalité, de courtoisie et de bon
sens. N'ayez pas peur de dire que vous regrettez. Et quand quelqu'un le dit
sincèrement, acceptez-le. Ne laissez pas l'orgueil, l'entêtement ou la
bêtise gâcher la paix et le bonheur d'un foyer.
LES EXCUSES
Richard
L. E v a n s.
L’une des
preuves les plus frappantes de la mauvaise foi humaine est le grand nombre d’excuses
que l’homme se donne.
La
variété et la plausibilité des explications que nous nous donnons à nous-mêmes
ou que nous donnons aux autres pour dissimuler nos faillites d’agir semblent
parfois dépasser les inventions des romans.
Nous expliquons pourquoi nous nous
sommes détournés d’une certaine ligne
d’action, pourquoi nous avons interrompu
nos classes, pourquoi nous ne payons pas une dette, pourquoi nous ne nous
corrigeons pas d ’une mauvaise habitude, pourquoi nous n’avons pas joué le
rôle qui nous était assigné au football, pourquoi nous étions en retard,
pourquoi nous nous sommes dérobés à un rendez-vous ou à un engagement, pourquoi
nous nous sommes mal mariés, pourquoi nous n’avons pas tenu notre parole,
pourquoi nous avons désobéi à un commandement, pourquoi nous avons violé une
règle, pourquoi nous n’avons pas été ponctuels à une date donnée. Sans doute,
il y a des excuses qui sont valables, si elles sont présentées sincèrement, et
acceptables.
Les
tribunaux reconnaissent qu’on a pu avoir de bonnes raisons pour ne pas agir
comme il aurait fallu.
Il y a des
actes qui sont de Dieu, et d’autres qui sont de l’homme ; il y a des
circonstances et des situations qui nous mettent dans l’impossibilité physique
de faire certaines choses dont nous avions assumé l’obligation.
La loi
humaine décharge de responsabilité ceux qui ont fait de leur mieux et n’ont pas
pu aller au-delà; et nous ne devons avoir aucune crainte de paraître en fin de
compte devant le grand Juge si nous
avons, au cours de notre vie, agi au mieux de nos facultés d’intelligence et des chances que
nous ont données les circonstances.
Mais il n ’en est pas de même de ceux qui se
présentent devant leurs amis et leurs
semblables, ou devant leur Père Éternel, avec des excuses mauvaises, fragiles
ou superficielles pour leurs manquements.
Souvenons-nous
de ceci : Quelque excuse que nous mettions en avant, il n’y a d’autre moyen de
justifier nos actes à nos propres yeux et aux yeux des autres que de faire ce
que nous nous sommes engagés à faire, et à la date promise.
Les
excuses ne sont que des pis-aller. On ne traverse la vie la tête haute que si on
fait son devoir, si on tient ses
engagements, si on obéit aux commandements.
Si
ingénieuses que soient les excuses, elles ne nous déchargent pas de nos
engagements, elles ne redressent pas nos manquements, elles ne justifient pas
que nous nous soyons dérobés à une obligation, et elles ne nous blanchissent
pas devant le tribunal suprême —• à moins d’être fondées sur des raisons
sérieuses et non pas seulement sur nos préférences et nos convenances.
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
D. Todd CHRISTOFFENSON, du Collège des douze apôtres,
répond à quatre questions sur la prière :
1)Comment puis je rendre mes prières quotidiennes plus
efficaces ?
2)Comment avoir la compagnie du Saint Esprit quand je prie ?
3)Quelle doit être la fréquence de mes prières ?
4)Que
faire si je ne reçois pas de réponse à mes prières quand je le veux ou quand j'en ai besoin
EXTRAIT D'UN DISCOURS
DE BRIGHAM YOUNG
Un événement intéressant fut relaté dans un sermon récent fait pas feu le président Brigham Young le 17 juin 1877 :
"je crois que je vais prendre la liberté de vous parler d'un événement qui sera aussi merveilleux que possible.
Il s'agit d'un incident survenu dans la vie d'Oliver COWDERY, mais celui ci ne prit pas, comme moi, la liberté d'en parler lors d'une réunion. Si je vous parle de ces choses, c'est que j'ai un motif de le faire. Je désire que vous les communiquiez à mes frères et sœurs, ainsi qu'aux enfants, afin qu'en grandissant, ils parviennent à comprendre certaines choses qui semblent être entièrement cachées à la famille humaine.
Oliver COWDERY accompagna le prophète Joseph lorsqu'il déposa les plaques du Livre de Mormon. Joseph ne traduisit pas toutes les plaques; certaines d'entre elles étaient scellées, comme l'indique les Doctrines et Alliances.
Lorsque Joseph obtint les plaques, l'ange lui dit de les rapporter à la colline Cumorah, ce qu'il fit. Oliver dit que, lorsqu'il s'y rendit avec Joseph, la colline s'ouvrit et ils entrèrent dans une grotte qui contenait une grande salle spacieuse.
Il dit qu'il ne se demanda pas alors s'ils avaient la lumière du soleil ou une autre lumière artificielle, mais qu'il faisait aussi clair qu'en plein jour.
Ils posèrent les plaques sur une table; c'était une grande table qui se trouvait dans la salle. Sous la table se trouvait une pile de plaques d'environ soixante centimètres de haut, et il y avait probablement dans cette salle davantage de plaques que n'en contiennent de nombreuses charretées; elles étaient empilées dans les coins et le long des murs.
La première fois qu'ils entrèrent dans cette salle, l'épée de Laban était suspendue au mur, mais la deuxième fois qu'ils y entrèrent, elle avait été enlevée et posée sur la table, en travers des plaques d'or, elle était dégainée et ces mots étaient écrits dessus : "Cette épée ne sera jamais rengainée jusqu'à, ce que les royaumes de ce monde deviennent le royaume de notre Dieu et de son Christ"
Je vous dis ceci comme venant non seulement d'Oliver COWDERY, mais aussi de ceux qui en étaient informés et qui le comprenaient comme nous comprenons pourquoi nous venons à cette réunion, appréciant la journée, avant de nous séparer peu à peu, oubliant la plupart des choses qui furent dites mais conservant le souvenir de certaines.
Il en est de même dans les autres circonstances de la vie. Je désire que vous compreniez ce que je vous raconte. Je prends la liberté de faire allusion à ces choses afin qu'elles ne soient pas oubliées ni perdues.
Les querelles et le bonheur au
foyer
PAR RICHARD L. EVANS
L'élément
essentiel par excellence dans la joie de vivre est l'entente et le bonheur au
foyer. Et ceci dépend après tout de la personnalité et de la courtoisie ... et
du gros bon sens.
Pourquoi,
oh! Pourquoi les gens qui vivent dans ces relations qui sont les plus intimes
de la vie permettent-ils aux querelles et aux malentendus de ruiner la paix et
le bonheur du foyer?
«II
y a une espèce de querelle qui purifie l'air, comme un bon et violent orage, écrivait
Dorothy Walworth.
L'autre
sorte de querelle ... laisse de vilaines cicatrices et de la rancune, ce qui
peut en fin de compte ruiner un mariage ...
Si,
dans une querelle, vous injuriez ... et manifestez une capacité diabolique à
utiliser les mots mêmes qui feront le plus de mal, si vous faites
impitoyablement l'inventaire de tous les manquements du passé et détruisez
d'une manière irréfléchie même vos souvenirs les plus heureux ... vous ne
pourrez revenir sur vos pas et faire que votre mariage soit exactement ce qu'il
était avant.
Une
femme ou un mari ne doivent jamais prendre trop au sérieux ce que dit l'autre à
la fin d'une journée épuisante ... lorsque on est las ou tendu ou que l'on
n'est pas bien ... Soyez doux.
A
notre époque, nous avons un meilleur usage à faire de notre énergie que de la
dépenser à nous battre avec ceux que nous aimons ...
N'essayez
pas d'avoir raison dans une discussion pour le simple plaisir d'avoir raison.
Votre
mari ou votre femme n'est pas votre rival, ni quelqu'un sur qui vous devez
jouir d'un triomphe mesquin ... Une querelle doit toujours être réglée. Elle ne
doit pas finir ... par des bouderies mutuelles pendant plusieurs jours...
Quelqu'un
doit dire: « Pardon ». Ne soyez pas trop fier pour demander pardon
... L'orgueil coûte trop cher ...
Ne
tenez pas toujours à avoir raison ...
Dernier
avertissement: que vos querelles restent privées. Les éclats publics sont du
plus mauvais goût. Il n'y a qu'un seul remède à leur apporter: Taisez vous!»
Le
tout revient à une simple question de personnalité, de courtoisie et de bon
sens. N'ayez pas peur de dire que vous regrettez. Et quand quelqu'un le dit
sincèrement, acceptez-le. Ne laissez pas l'orgueil, l'entêtement ou la
bêtise gâcher la paix et le bonheur d'un foyer.
LES EXCUSES
Richard L. E v a n s.
L’une des
preuves les plus frappantes de la mauvaise foi humaine est le grand nombre d’excuses
que l’homme se donne.
La
variété et la plausibilité des explications que nous nous donnons à nous-mêmes
ou que nous donnons aux autres pour dissimuler nos faillites d’agir semblent
parfois dépasser les inventions des romans.
Nous expliquons pourquoi nous nous
sommes détournés d’une certaine ligne
d’action, pourquoi nous avons interrompu
nos classes, pourquoi nous ne payons pas une dette, pourquoi nous ne nous
corrigeons pas d ’une mauvaise habitude, pourquoi nous n’avons pas joué le
rôle qui nous était assigné au football, pourquoi nous étions en retard,
pourquoi nous nous sommes dérobés à un rendez-vous ou à un engagement, pourquoi
nous nous sommes mal mariés, pourquoi nous n’avons pas tenu notre parole,
pourquoi nous avons désobéi à un commandement, pourquoi nous avons violé une
règle, pourquoi nous n’avons pas été ponctuels à une date donnée. Sans doute,
il y a des excuses qui sont valables, si elles sont présentées sincèrement, et
acceptables.
Les
tribunaux reconnaissent qu’on a pu avoir de bonnes raisons pour ne pas agir
comme il aurait fallu.
Il y a des
actes qui sont de Dieu, et d’autres qui sont de l’homme ; il y a des
circonstances et des situations qui nous mettent dans l’impossibilité physique
de faire certaines choses dont nous avions assumé l’obligation.
La loi
humaine décharge de responsabilité ceux qui ont fait de leur mieux et n’ont pas
pu aller au-delà; et nous ne devons avoir aucune crainte de paraître en fin de
compte devant le grand Juge si nous
avons, au cours de notre vie, agi au mieux de nos facultés d’intelligence et des chances que
nous ont données les circonstances.
Mais il n ’en est pas de même de ceux qui se
présentent devant leurs amis et leurs
semblables, ou devant leur Père Éternel, avec des excuses mauvaises, fragiles
ou superficielles pour leurs manquements.
Souvenons-nous
de ceci : Quelque excuse que nous mettions en avant, il n’y a d’autre moyen de
justifier nos actes à nos propres yeux et aux yeux des autres que de faire ce
que nous nous sommes engagés à faire, et à la date promise.
Les
excuses ne sont que des pis-aller. On ne traverse la vie la tête haute que si on
fait son devoir, si on tient ses
engagements, si on obéit aux commandements.
Si
ingénieuses que soient les excuses, elles ne nous déchargent pas de nos
engagements, elles ne redressent pas nos manquements, elles ne justifient pas
que nous nous soyons dérobés à une obligation, et elles ne nous blanchissent
pas devant le tribunal suprême —• à moins d’être fondées sur des raisons
sérieuses et non pas seulement sur nos préférences et nos convenances.
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
D. Todd CHRISTOFFENSON, du Collège des douze apôtres, répond à quatre questions sur la prière :
1)Comment puis je rendre mes prières quotidiennes plus
efficaces ?
2)Comment avoir la compagnie du Saint Esprit quand je prie ?
3)Quelle doit être la fréquence de mes prières ?
4)Que
faire si je ne reçois pas de réponse à mes prières quand je le veux ou quand j'en ai besoin
1.
Comment rendre mes prières quotidiennes plus efficaces ?
Comment rendre mes prières quotidiennes plus efficaces ?
C’est une bonne question, et elle s’applique à nous tous. Le président Hinckley
disait que parfois lorsqu’on prie, cela ressemble à quelque chose comme
décrocher son téléphone ou commander des denrées alimentaires puis raccrocher
ou confirmer sa commande et ne plus y penser. Mais si nous prenons quelques
minutes pour réfléchir à nos besoins particuliers sur le moment, la prière
deviendra alors plus efficace.
Dans 2 Néphi 32:9 il est dit : « Mais voici, je vous dis que vous devez
toujours prier, et ne pas vous relâcher ; que vous ne devez rien faire
pour le Seigneur sans tout d’abord prier le Père, au nom du Christ, qu’il
consacre votre œuvre à vous-même, afin que votre œuvre soit pour le bien-être
de votre âme. »
Tout ce que nous
faisons chaque jour doit être fait l’œil tourné vers la bénédiction de notre
Père céleste et avec l’espoir qu’il consacrera toutes nos actions à notre
avantage. Donc si nous avons conscience de nos besoins et y réfléchissons, la
prière devient plus efficace.
De plus, il est important de se souvenir que nous ne devons pas
simplement prier pour nous-mêmes, parce qu’il y a beaucoup de gens dans notre
entourage qui ont également de grands besoins, nous devons nous souvenir d’eux
et du genre d’aide dont ils ont besoin du Seigneur. Ce sont des prières comme
celles qu’Énos a faites. Il a d’abord prié pour lui-même, puis pour les
Néphites et ensuite pour les Lamanites, même ses ennemis faisaient partie de
ses préoccupations. La prière devient efficace quand on prie pour les autres.
Pour finir, quand on est reconnaissant, quand on remercie
souvent le Seigneur pour nos bénédictions, nos prières deviennent beaucoup plus
efficaces.
Comment rendre mes prières quotidiennes plus efficaces ?
C’est une bonne question, et elle s’applique à nous tous. Le président Hinckley
disait que parfois lorsqu’on prie, cela ressemble à quelque chose comme
décrocher son téléphone ou commander des denrées alimentaires puis raccrocher
ou confirmer sa commande et ne plus y penser. Mais si nous prenons quelques
minutes pour réfléchir à nos besoins particuliers sur le moment, la prière
deviendra alors plus efficace.
Dans 2 Néphi 32:9 il est dit : « Mais voici, je vous dis que vous devez
toujours prier, et ne pas vous relâcher ; que vous ne devez rien faire
pour le Seigneur sans tout d’abord prier le Père, au nom du Christ, qu’il
consacre votre œuvre à vous-même, afin que votre œuvre soit pour le bien-être
de votre âme. »
Tout ce que nous
faisons chaque jour doit être fait l’œil tourné vers la bénédiction de notre
Père céleste et avec l’espoir qu’il consacrera toutes nos actions à notre
avantage. Donc si nous avons conscience de nos besoins et y réfléchissons, la
prière devient plus efficace.
De plus, il est important de se souvenir que nous ne devons pas
simplement prier pour nous-mêmes, parce qu’il y a beaucoup de gens dans notre
entourage qui ont également de grands besoins, nous devons nous souvenir d’eux
et du genre d’aide dont ils ont besoin du Seigneur. Ce sont des prières comme
celles qu’Énos a faites. Il a d’abord prié pour lui-même, puis pour les
Néphites et ensuite pour les Lamanites, même ses ennemis faisaient partie de
ses préoccupations. La prière devient efficace quand on prie pour les autres.
Pour finir, quand on est reconnaissant, quand on remercie
souvent le Seigneur pour nos bénédictions, nos prières deviennent beaucoup plus
efficaces.
2. Comment avoir la compagnie du Saint-Esprit
quand je prie ?
C’est essentiel. Cela fait toute la différence.
Rappelez-vous de la promesse que nous trouvons dans Moroni 10:4. On nous dit de prier à propos du Livre de Mormon « d’un
cœur sincère, avec une intention réelle ». Et quand nous disons « cœur
sincère » et « intention réelle », cela signifie que vous voulez
connaître la volonté du Seigneur et l’accomplir, qu’en priant vous vous engagez
à connaître et à faire sa volonté. Et cela rend la prière très efficace. Si
nous prions juste pour que ce que nous voulons, et que nous ne voulons pas
connaître sa volonté, nous ne ressentirons pas la même chose et cela n’aura pas
la même signification.
Il y a des années quand
j’étais évêque et que j’étais accablé par tous les problèmes que les membres de
la paroisse semblaient avoir, j’ai commencé à prier pour trouver des solutions
et des moyens pour les aider. J’ai eu quelques sentiments en réponse à mes
appels à l’aide. Puis, il semblait que l’Esprit guidait mes prières de sorte
que ce pourquoi je priais était guidé par l’Esprit ainsi que ce que je recevais
en réponse à mes prières. Et je pense que ce sont les prières les plus efficaces
que nous pouvons faire, celles où l’Esprit guide la prière tout autant que les
réponses de notre Père céleste. Et je crois que cela arrive si, lorque nous
prions, nous voulons vraiment connaître la volonté du Seigneur et que nous
sommes déterminés à l’accomplir, quelle qu’elle soit.
C’est essentiel. Cela fait toute la différence.
Rappelez-vous de la promesse que nous trouvons dans Moroni 10:4. On nous dit de prier à propos du Livre de Mormon « d’un
cœur sincère, avec une intention réelle ». Et quand nous disons « cœur
sincère » et « intention réelle », cela signifie que vous voulez
connaître la volonté du Seigneur et l’accomplir, qu’en priant vous vous engagez
à connaître et à faire sa volonté. Et cela rend la prière très efficace. Si
nous prions juste pour que ce que nous voulons, et que nous ne voulons pas
connaître sa volonté, nous ne ressentirons pas la même chose et cela n’aura pas
la même signification.
Il y a des années quand
j’étais évêque et que j’étais accablé par tous les problèmes que les membres de
la paroisse semblaient avoir, j’ai commencé à prier pour trouver des solutions
et des moyens pour les aider. J’ai eu quelques sentiments en réponse à mes
appels à l’aide. Puis, il semblait que l’Esprit guidait mes prières de sorte
que ce pourquoi je priais était guidé par l’Esprit ainsi que ce que je recevais
en réponse à mes prières. Et je pense que ce sont les prières les plus efficaces
que nous pouvons faire, celles où l’Esprit guide la prière tout autant que les
réponses de notre Père céleste. Et je crois que cela arrive si, lorque nous
prions, nous voulons vraiment connaître la volonté du Seigneur et que nous
sommes déterminés à l’accomplir, quelle qu’elle soit.
3. Quelle doit être la fréquence de mes
prières ?
Il n’y a pas vraiment de règle. Il n’y a pas de nombre fixe. Je
pense qu’au fil de la journée, il est naturel de prier pour les choses quand
elles se présentent.
Lors d’une conférence générale, David Bednar a parlé de la prière et de l’importance de toujours prier
(voir« Prier
toujours », Le Liahona, novembre 2008, p. 41). Il a dit
que la projection de nos prières du matin sur la journée et sur ce qui va
arriver, nous permet de visualiser notre journée dans notre prière. Dans nos
prières du soir, nous faisons rapport au Seigneur de ce qui est arrivé tout au
long de la journée. Nous pouvons le remercier des bénédictions reçues, nous
pouvons nous repentir de quelques petites actions qui se sont produites qui
n’étaient pas bonnes, et puis il y a toutes les prières entre les deux. Cela
fait simplement partie d’un flux de prières. Tout cela constitue un modèle qui
se répète jour après jour, semaine après semaine et au fil des années. Voilà ce
que signifie avoir le cœur tourné vers lui dans la prière.
Une autre Écriture me vient à l’esprit, c’est Alma 37:36-37 :
« Oui, et invoque Dieu pour
tout ton entretien ; oui, que toutes tes actions soient pour le Seigneur,
et, en quelque lieu que tu ailles, que ce soit dans le Seigneur ; oui, que
toutes tes pensées soient dirigées vers le Seigneur ; oui, que les affections
de ton cœur soient placées à jamais dans le Seigneur.
Consulte le
Seigneur dans toutes tes actions, et il te dirigera dans le bien ; oui,
lorsque tu te couches le soir, couche-toi dans le Seigneur, afin qu’il veille
sur toi dans ton sommeil ; et lorsque tu te lèves le matin, que ton cœur
soit plein d’actions de grâces envers Dieu ; et si tu fais ces choses, tu
seras élevé au dernier jour. »
Parfois, il
s’agit d’une prière très, très simple dans un moment difficile.
(« Aide-moi. S’il te plaît, aide-moi. ») Donc nous parlons à notre
Père céleste de ce qui nous vient à l’esprit. Nos prières peuvent être courtes
tout au long de la journée, c’est juste ce qui vient de nous naturellement.
Plus nous nous rapprochons de lui, plus nous faisons cela automatiquement et
plus nous nous sentons proches de lui. C’est comme avoir un ami et marcher
ensemble dans un couloir à l’école. Vous voulez vous tourner vers lui et parler
entre vous de ce qui se passe sur le moment. Et en vous rapprochant de Dieu,
cette compagnie, cette amitié, a tendance à se développer de la même façon.
Cela étant dit, n’oubliez pas que nous devons chercher des
occasions d’avoir de longues prières, des moments de tranquillité sans
interruption. Nous avons besoin de moments où nous pouvons prier aussi
longtemps que nous le voulons, où notre Père céleste peut nous instruire et
nous parler en détails et pas simplement répondre à une prière rapide, c’est
très bien sur le moment, mais nous ne devons pas faire que cela.
Il n’y a pas vraiment de règle. Il n’y a pas de nombre fixe. Je
pense qu’au fil de la journée, il est naturel de prier pour les choses quand
elles se présentent.
Lors d’une conférence générale, David Bednar a parlé de la prière et de l’importance de toujours prier
(voir« Prier
toujours », Le Liahona, novembre 2008, p. 41). Il a dit
que la projection de nos prières du matin sur la journée et sur ce qui va
arriver, nous permet de visualiser notre journée dans notre prière. Dans nos
prières du soir, nous faisons rapport au Seigneur de ce qui est arrivé tout au
long de la journée. Nous pouvons le remercier des bénédictions reçues, nous
pouvons nous repentir de quelques petites actions qui se sont produites qui
n’étaient pas bonnes, et puis il y a toutes les prières entre les deux. Cela
fait simplement partie d’un flux de prières. Tout cela constitue un modèle qui
se répète jour après jour, semaine après semaine et au fil des années. Voilà ce
que signifie avoir le cœur tourné vers lui dans la prière.
Une autre Écriture me vient à l’esprit, c’est Alma 37:36-37 :
« Oui, et invoque Dieu pour
tout ton entretien ; oui, que toutes tes actions soient pour le Seigneur,
et, en quelque lieu que tu ailles, que ce soit dans le Seigneur ; oui, que
toutes tes pensées soient dirigées vers le Seigneur ; oui, que les affections
de ton cœur soient placées à jamais dans le Seigneur.
Consulte le
Seigneur dans toutes tes actions, et il te dirigera dans le bien ; oui,
lorsque tu te couches le soir, couche-toi dans le Seigneur, afin qu’il veille
sur toi dans ton sommeil ; et lorsque tu te lèves le matin, que ton cœur
soit plein d’actions de grâces envers Dieu ; et si tu fais ces choses, tu
seras élevé au dernier jour. »
Parfois, il
s’agit d’une prière très, très simple dans un moment difficile.
(« Aide-moi. S’il te plaît, aide-moi. ») Donc nous parlons à notre
Père céleste de ce qui nous vient à l’esprit. Nos prières peuvent être courtes
tout au long de la journée, c’est juste ce qui vient de nous naturellement.
Plus nous nous rapprochons de lui, plus nous faisons cela automatiquement et
plus nous nous sentons proches de lui. C’est comme avoir un ami et marcher
ensemble dans un couloir à l’école. Vous voulez vous tourner vers lui et parler
entre vous de ce qui se passe sur le moment. Et en vous rapprochant de Dieu,
cette compagnie, cette amitié, a tendance à se développer de la même façon.
Cela étant dit, n’oubliez pas que nous devons chercher des
occasions d’avoir de longues prières, des moments de tranquillité sans
interruption. Nous avons besoin de moments où nous pouvons prier aussi
longtemps que nous le voulons, où notre Père céleste peut nous instruire et
nous parler en détails et pas simplement répondre à une prière rapide, c’est
très bien sur le moment, mais nous ne devons pas faire que cela.
4. Que faire si je ne reçois pas de réponse à mes
prières quand je le veux ou quand j’en ai besoin ?
C’est une question intéressante. Cela me rappelle quelque
chose que Richard Scott a dit dans un discours de conférence générale :
« Que faire lorsque l’on s’est soigneusement préparé, que l’on a prié avec
ferveur, que l’on a attendu la réponse pendant un délai raisonnable mais qu’on
ne la ressent toujours pas ? Lorsque cela se produit, vous pourriez
peut-être exprimer votre gratitude, car c’est une preuve de la confiance que le
Seigneur a en vous. Lorsque vous vivez d’une manière digne, que votre choix est
conforme aux enseignements du Sauveur et que vous devez agir, faites-le avec
confiance. Si vous êtes sensible aux murmures de l’Esprit, l’une des deux
choses suivantes se produira au moment opportun : soit vous aurez un
engourdissement de pensée, indiquant un mauvais choix, soit un sentiment de
paix ou une chaleur dans votre poitrine vous confirmera que votre choix était
correct. Si vous vivez de manière juste et que vous agissez avec confiance,
Dieu ne vous laissera pas aller trop loin avant de vous donner un signal
d’alarme, si vous avez pris la mauvaise décision » (« Faire appel au
don divin de la prière », Le Liahona, mai 2007, p. 10).
Parfois, c’est une expérience précieuse de prier sans recevoir
immédiatement la réponse dont vous sentez avoir besoin. À condition, bien sûr,
de vivre de la bonne manière, de continuer à chercher son aide et d’être ouvert
à ces inspirations.
Nous devons nous souvenir que nous n’imposons pas à Dieu
le moment de ses réponses à nos prières, ni leur contenu. J’ai appris cela
quand j’avais environ seize ans. Je faisais partie du spectacle de la colline
Cumorah. Je vivais dans le New Jersey à l’époque, et certains jeunes du New
Jersey et de New York ont participé. Je pensais croire profondément en Joseph Smith, le prophète, et au Livre de Mormon et j’ai senti qu’ils
étaient vrais et que la Première Vision s’est passée comme il l’a décrite. Je
me suis dit : « C’est l’occasion parfaite. Je vais aller dans le
Bosquet sacré, un soir après la représentation et obtenir là-bas la
confirmation finale dont j’ai besoin ».
C’est ce que j’ai
fait. J’y suis allé un soir tard. C’était une belle soirée d’été. Il n’y avait
personne d'autre, tout était parfaitement calme et paisible. Et puis j’ai prié.
Je n’ai rien demandé de précis. J’ai simplement dit : « Puis-je avoir
une confirmation de mes croyances ? » Je voulais vraiment
un témoignage de mes sentiments concernant le prophète et le Livre de Mormon.
Il ne s’est rien passé. J’ai prié longtemps, plus d’une heure
sans doute. Rien. J’étais très déçu. J’ai demandé : « Qu’ai-je fait
de mal ? Pourquoi le Seigneur ne m’a-t-il pas répondu ? N’était-ce
pas l’endroit parfait, le moment parfait ? Qu’aurais-je dû faire que je
n’ai pas fait ? »
Plus tard, ce que je cherchais est venu, mais c’était à la
maison dans un moment de calme pendant que je lisais le Livre de Mormon. Ce
témoignage du Saint-Esprit m’a envahi
et j’ai su. Je savais que je savais. Et quand j’ai repensé à cette expérience,
j’ai dit : « Pourquoi n’a-t-il pas répondu à ma prière à ce
moment-là ? Pourquoi l’a-t-il fait plus tard ? » J’ai appris
deux leçons importantes grâce à cela :
Tout d’abord, vous n’avez pas à être à un endroit spécial pour
que le Seigneur réponde à votre prière. Vous n’avez pas à faire un pèlerinage à
Palmyra, à Jérusalem ou ailleurs. Il sait où vous êtes. Il connaît votre nom.
Il peut vous répondre ici, maintenant, à n’importe quel moment.
Et deuxièmement, vous n’imposez rien à Dieu. Vous ne lui dites
pas quoi répondre ni quand répondre. Cela vient selon sa volonté, son
calendrier et sa sagesse. Il nous aime ; il sait ce qui est le mieux pour
nous, et notre responsabilité consiste à être ouvert. Notre responsabilité est
d’être toujours disposés et prêts à recevoir. Donc il sait ce qui est le mieux,
quand nous répondre et comment nous répondre. Ainsi, une fois que tout est dit
et fait, nous devons encore vivre par la foi.
La prière est l’une des choses qui nous donnent la force et le
pouvoir d’être un modèle de croyant. L’influence du Seigneur, l’efficacité de
nos prières, sa direction dans notre vie quotidienne, la force qui vient avec
tout cela nous permet de toujours être un modèle de croyant dans tout ce que
nous faisons.
*-*-*-*-*-*-*-*
C’est une question intéressante. Cela me rappelle quelque
chose que Richard Scott a dit dans un discours de conférence générale :
« Que faire lorsque l’on s’est soigneusement préparé, que l’on a prié avec
ferveur, que l’on a attendu la réponse pendant un délai raisonnable mais qu’on
ne la ressent toujours pas ? Lorsque cela se produit, vous pourriez
peut-être exprimer votre gratitude, car c’est une preuve de la confiance que le
Seigneur a en vous. Lorsque vous vivez d’une manière digne, que votre choix est
conforme aux enseignements du Sauveur et que vous devez agir, faites-le avec
confiance. Si vous êtes sensible aux murmures de l’Esprit, l’une des deux
choses suivantes se produira au moment opportun : soit vous aurez un
engourdissement de pensée, indiquant un mauvais choix, soit un sentiment de
paix ou une chaleur dans votre poitrine vous confirmera que votre choix était
correct. Si vous vivez de manière juste et que vous agissez avec confiance,
Dieu ne vous laissera pas aller trop loin avant de vous donner un signal
d’alarme, si vous avez pris la mauvaise décision » (« Faire appel au
don divin de la prière », Le Liahona, mai 2007, p. 10).
Parfois, c’est une expérience précieuse de prier sans recevoir
immédiatement la réponse dont vous sentez avoir besoin. À condition, bien sûr,
de vivre de la bonne manière, de continuer à chercher son aide et d’être ouvert
à ces inspirations.
Nous devons nous souvenir que nous n’imposons pas à Dieu
le moment de ses réponses à nos prières, ni leur contenu. J’ai appris cela
quand j’avais environ seize ans. Je faisais partie du spectacle de la colline
Cumorah. Je vivais dans le New Jersey à l’époque, et certains jeunes du New
Jersey et de New York ont participé. Je pensais croire profondément en Joseph Smith, le prophète, et au Livre de Mormon et j’ai senti qu’ils
étaient vrais et que la Première Vision s’est passée comme il l’a décrite. Je
me suis dit : « C’est l’occasion parfaite. Je vais aller dans le
Bosquet sacré, un soir après la représentation et obtenir là-bas la
confirmation finale dont j’ai besoin ».
C’est ce que j’ai
fait. J’y suis allé un soir tard. C’était une belle soirée d’été. Il n’y avait
personne d'autre, tout était parfaitement calme et paisible. Et puis j’ai prié.
Je n’ai rien demandé de précis. J’ai simplement dit : « Puis-je avoir
une confirmation de mes croyances ? » Je voulais vraiment
un témoignage de mes sentiments concernant le prophète et le Livre de Mormon.
Il ne s’est rien passé. J’ai prié longtemps, plus d’une heure
sans doute. Rien. J’étais très déçu. J’ai demandé : « Qu’ai-je fait
de mal ? Pourquoi le Seigneur ne m’a-t-il pas répondu ? N’était-ce
pas l’endroit parfait, le moment parfait ? Qu’aurais-je dû faire que je
n’ai pas fait ? »
Plus tard, ce que je cherchais est venu, mais c’était à la
maison dans un moment de calme pendant que je lisais le Livre de Mormon. Ce
témoignage du Saint-Esprit m’a envahi
et j’ai su. Je savais que je savais. Et quand j’ai repensé à cette expérience,
j’ai dit : « Pourquoi n’a-t-il pas répondu à ma prière à ce
moment-là ? Pourquoi l’a-t-il fait plus tard ? » J’ai appris
deux leçons importantes grâce à cela :
Tout d’abord, vous n’avez pas à être à un endroit spécial pour
que le Seigneur réponde à votre prière. Vous n’avez pas à faire un pèlerinage à
Palmyra, à Jérusalem ou ailleurs. Il sait où vous êtes. Il connaît votre nom.
Il peut vous répondre ici, maintenant, à n’importe quel moment.
Et deuxièmement, vous n’imposez rien à Dieu. Vous ne lui dites
pas quoi répondre ni quand répondre. Cela vient selon sa volonté, son
calendrier et sa sagesse. Il nous aime ; il sait ce qui est le mieux pour
nous, et notre responsabilité consiste à être ouvert. Notre responsabilité est
d’être toujours disposés et prêts à recevoir. Donc il sait ce qui est le mieux,
quand nous répondre et comment nous répondre. Ainsi, une fois que tout est dit
et fait, nous devons encore vivre par la foi.
La prière est l’une des choses qui nous donnent la force et le
pouvoir d’être un modèle de croyant. L’influence du Seigneur, l’efficacité de
nos prières, sa direction dans notre vie quotidienne, la force qui vient avec
tout cela nous permet de toujours être un modèle de croyant dans tout ce que
nous faisons.
Comment prier
T'est-il arrivé d'avoir l'impression de ne pas
pouvoir venir à bout d'un problème?
Notre Père céleste t'aime et veut t'aider à
résoudre tous tes problèmes. Il veut te montrer combien il te chérit. Mais il faut que tu communiques avec lui et que tu
cherches à entendre sa réponse.
La prière est une façon très personnelle de
communiquer avec ton Père céleste. La prière du Seigneur nous montre comment
nous devrions prier (voir Matthieu 6:9-13). Voici quelques idées de base:
1. Commence par une salutation, comme le
Christ l'a fait disant: "Notre Père qui es aux cieux!"
2.
Dis à ton Père céleste que tu l'aimes, que tu le respectes et que tu lui es
reconnaissant. Le Christ a dit: "Que
ton nom soit sanctifié. Que ton règne vienne; que ta volonté soit faite.»
3.
Demande-lui de l'aide pour ce dont tu as besoin."Donne-nous aujourd'hui
notre pain quotidien»; par ces mots, le Christ a montré qu'il est bon de faire
intervenir le Seigneur dans notre vie.
4.
Demande pardon pour tes péchés, tes erreurs et tes faiblesses. "Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons
aussi à ceux qui nous ont offensés.»
5.
Finis ta prière par une expression d'adoration, avec un cœur humble et reconnaissant comme nous l'a montré le Christ: "Car c'est à toi
qu'appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire.
Amen!»
Nous concluons nos prières au nom de Jésus Christ car c'est grâce à son
expiation qu'il nous est possible de nous adresser à notre Père céleste en
prière. Bien sûr, une prière peut être plus longue ou, en cas d'urgence, plus
courte.
Si la communication avec ton Père céleste n'est plus aussi bonne
qu'avant, prie-le pour qu'il t'aide à améliorer tes prières. Il répondra.
Ecoute la réponse. Laisses-tu à ton Père céleste le temps de te répondre quand
tu lui parles? Essaye d'écouter avant de te relever après ta prière. Tu auras
plus de chances de reconnaître les conseils qu'il veut te donner.
Voici
des idées supplémentaires pour que tes prières soient efficaces: S'exprimer de
façon sincère. La prière est un moment
où nous pouvons ouvrir pleinement notre cœur à notre Père céleste qui nous
aime, sans répéter des formules apprises par cœur.
Méditer.
La prière demande que l'on soit recueilli, que l'on médite et que l'on soit
attentif à l'influence de l'Esprit.
Louer
Dieu. La prière est un moment où nous louons Dieu, comptons nos
bénédictions et exprimons notre
reconnaissance.
Résoudre
les problèmes: La prière nous permet de confier nos problèmes à notre Père
céleste et d'acquérir une perspective éternelle afin de les résoudre.
Apprendre.
La prière est un moyen que le Seigneur utilise pour nous éclairer.
Fortifier.
La prière nous donne la force de choisir le bien et de faire face aux
problèmes.
Auto-évaluation.
Grâce à la prière, le Seigneur peut nous aider à évaluer notre progression,
découvrir nos faiblesses et en faire des points forts.
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
Comment prier
T'est-il arrivé d'avoir l'impression de ne pas
pouvoir venir à bout d'un problème?
Notre Père céleste t'aime et veut t'aider à
résoudre tous tes problèmes. Il veut te montrer combien il te chérit. Mais il faut que tu communiques avec lui et que tu
cherches à entendre sa réponse.
La prière est une façon très personnelle de
communiquer avec ton Père céleste. La prière du Seigneur nous montre comment
nous devrions prier (voir Matthieu 6:9-13). Voici quelques idées de base:
1. Commence par une salutation, comme le
Christ l'a fait disant: "Notre Père qui es aux cieux!"
2.
Dis à ton Père céleste que tu l'aimes, que tu le respectes et que tu lui es
reconnaissant. Le Christ a dit: "Que
ton nom soit sanctifié. Que ton règne vienne; que ta volonté soit faite.»
3.
Demande-lui de l'aide pour ce dont tu as besoin."Donne-nous aujourd'hui
notre pain quotidien»; par ces mots, le Christ a montré qu'il est bon de faire
intervenir le Seigneur dans notre vie.
4.
Demande pardon pour tes péchés, tes erreurs et tes faiblesses. "Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons
aussi à ceux qui nous ont offensés.»
5.
Finis ta prière par une expression d'adoration, avec un cœur humble et reconnaissant comme nous l'a montré le Christ: "Car c'est à toi
qu'appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire.
Amen!»
Nous concluons nos prières au nom de Jésus Christ car c'est grâce à son
expiation qu'il nous est possible de nous adresser à notre Père céleste en
prière. Bien sûr, une prière peut être plus longue ou, en cas d'urgence, plus
courte.
Si la communication avec ton Père céleste n'est plus aussi bonne
qu'avant, prie-le pour qu'il t'aide à améliorer tes prières. Il répondra.
Ecoute la réponse. Laisses-tu à ton Père céleste le temps de te répondre quand
tu lui parles? Essaye d'écouter avant de te relever après ta prière. Tu auras
plus de chances de reconnaître les conseils qu'il veut te donner.
Voici
des idées supplémentaires pour que tes prières soient efficaces: S'exprimer de
façon sincère. La prière est un moment
où nous pouvons ouvrir pleinement notre cœur à notre Père céleste qui nous
aime, sans répéter des formules apprises par cœur.
Méditer.
La prière demande que l'on soit recueilli, que l'on médite et que l'on soit
attentif à l'influence de l'Esprit.
Louer
Dieu. La prière est un moment où nous louons Dieu, comptons nos
bénédictions et exprimons notre
reconnaissance.
Résoudre
les problèmes: La prière nous permet de confier nos problèmes à notre Père
céleste et d'acquérir une perspective éternelle afin de les résoudre.
Apprendre.
La prière est un moyen que le Seigneur utilise pour nous éclairer.
Fortifier.
La prière nous donne la force de choisir le bien et de faire face aux
problèmes.
Auto-évaluation.
Grâce à la prière, le Seigneur peut nous aider à évaluer notre progression,
découvrir nos faiblesses et en faire des points forts.
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
LA PLUS BELLE DES LEÇONS
PAR RICHARD L. EVANS du Conseil
des Douze
«Parce qu'il nous aimait Dieu nous a envoyé son Fils, celui
qui a fait l'expiation, Jésus-Christ pour nous montrer le chemin qu'il a suivi,
le seul chemin qui conduit à Dieu.» Edward P. KIMBALL.
L'amour est le mot que nous devons souligner, l'amour de
Dieu pour ses enfants, l'amour de celui qui nous a tellement aimés qu'il a vécu
et est mort pour nous racheter de la mort.
La deuxième grande leçon, la plus dure de toutes
probablement, c'est l'amour de chacun de nous pour tous les autres. «L'amour,
disait William Penn, est la leçon la plus dure du christianisme.» Il se peut
même que ce soit la plus dure leçon de la vie, car l'amour qui est égoïste
n'est pas de l'amour du tout, mais quelque chose d'autre.
Quand un père aime ses enfants, il essaye toujours de
faire pour eux ce qui serait pour leur mieux. Quand quelqu'un aime quelqu'un,
et l'aime sincèrement, il essayera toujours de faire pour lui ce qui serait
pour son bien, pas quelque chose qui soit un signe de faiblesse, pas quelque
chose d'égoïste. Et pour l'amour de ses enfants, Dieu a envoyé un Sauveur, et
nous a donné son Évangile pour nous conduire, avec nos être chers, aux possibilités sans limites de la vie éternelle.
Quel don plus grand pouvait-il faire? Et comme il nous
aime, il attend de nous que nous montrions l'amour que nous avons pour lui en
gardant ses commandements qui sont d'ailleurs pour notre bien. «Aimez votre
pays, disait Giuseppe Mazzini. C'est le foyer que Dieu vous a donné ...
élevez-le, grand et beau ... aimez l'humanité ... aimez votre famille, votre
compagnon ou votre compagne, ceux qui vous entourent, prêts à partager vos
joies et vos chagrins; aimez les morts qui vous ont été chers et à qui vous
avez été chers absents que vous reverrez certainement... »
Que ce soit un retour à la maison, un moment de bonheur;
un moment où les cœurs fondront, un moment' de bonté, de fidélité et de
gratitude, un moment où les êtres chers se rapprochent, un moment où nous
aimons notre prochain comme nous-mêmes, un moment où nous vivons de manière à
pouvoir sincèrement nous aimer et nous respecter nous-mêmes.
Remerciez Dieu de votre famille, de vos amis, de la vie
éternelle avec ceux qui vous sont chers, car ce sont les plus grands dons de
Dieu.
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
PAR RICHARD L. EVANS du Conseil
des Douze
«Parce qu'il nous aimait Dieu nous a envoyé son Fils, celui
qui a fait l'expiation, Jésus-Christ pour nous montrer le chemin qu'il a suivi,
le seul chemin qui conduit à Dieu.» Edward P. KIMBALL.
L'amour est le mot que nous devons souligner, l'amour de
Dieu pour ses enfants, l'amour de celui qui nous a tellement aimés qu'il a vécu
et est mort pour nous racheter de la mort.
La deuxième grande leçon, la plus dure de toutes
probablement, c'est l'amour de chacun de nous pour tous les autres. «L'amour,
disait William Penn, est la leçon la plus dure du christianisme.» Il se peut
même que ce soit la plus dure leçon de la vie, car l'amour qui est égoïste
n'est pas de l'amour du tout, mais quelque chose d'autre.
Quand un père aime ses enfants, il essaye toujours de
faire pour eux ce qui serait pour leur mieux. Quand quelqu'un aime quelqu'un,
et l'aime sincèrement, il essayera toujours de faire pour lui ce qui serait
pour son bien, pas quelque chose qui soit un signe de faiblesse, pas quelque
chose d'égoïste. Et pour l'amour de ses enfants, Dieu a envoyé un Sauveur, et
nous a donné son Évangile pour nous conduire, avec nos être chers, aux possibilités sans limites de la vie éternelle.
Quel don plus grand pouvait-il faire? Et comme il nous
aime, il attend de nous que nous montrions l'amour que nous avons pour lui en
gardant ses commandements qui sont d'ailleurs pour notre bien. «Aimez votre
pays, disait Giuseppe Mazzini. C'est le foyer que Dieu vous a donné ...
élevez-le, grand et beau ... aimez l'humanité ... aimez votre famille, votre
compagnon ou votre compagne, ceux qui vous entourent, prêts à partager vos
joies et vos chagrins; aimez les morts qui vous ont été chers et à qui vous
avez été chers absents que vous reverrez certainement... »
Que ce soit un retour à la maison, un moment de bonheur;
un moment où les cœurs fondront, un moment' de bonté, de fidélité et de
gratitude, un moment où les êtres chers se rapprochent, un moment où nous
aimons notre prochain comme nous-mêmes, un moment où nous vivons de manière à
pouvoir sincèrement nous aimer et nous respecter nous-mêmes.
Remerciez Dieu de votre famille, de vos amis, de la vie
éternelle avec ceux qui vous sont chers, car ce sont les plus grands dons de
Dieu.
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
Alma, l'Ancien, fils aimait Fils de Manière inconditionnelle, MAIS NE soutenait Pas SES actions pécheresses. Pouvait Pas de Il NE enlever Ë Alma, le Jeune, fils libre-arbitre, MAIS IL DEMANDER A Dieu Pouvait De Donner Un Fils fils des De changeur occasions.
FINALEMENT, le Seigneur is intervenu, et Alma, le Jeune, changement des Nations Unies à jamais.
«Le Seigneur Avait la Capacité de toucher et de secourir Alma, et en l'espace d'environ huit ans il became le président de l'Église. »
Les paraboles du Christ Qui se trouvent Dans Luc 15 Nous révèlent d'Autres vérités Essentielles versez secourir les âmes égarées. Nous pouvons Parfois Jouer rôle de l'ONU actif, CELA EST Comme Illustré Dans la parabole de la brebis égarée ous Dans Celle de la drachme perdue. A D'Autres moments, les patients Devons NOUS SUIVRE L'EXEMPLE DU PERE QUI prie beaucoup préposé Qc fils de fils prodigue reprenne conscience et redevienne juste.
Frère Barkdull Nous assureur qu'aussi Eloigne ET égaré Que Soit Un être cher, il Peux REVENIR. ILS RESTENT spirituellement est non-Dieu, Un Leurs, les parents, ET aux alliances Qu'ils Ont Faites. de Il à dit: «Il ya TOUJOURS traction Qui juin les incitateur à Revenir. »
- * - * - * - * - * - * - * - * - * - * - * - * - * - * -LA FAMILLE
Déclaration de l'UA MONDE
La Première Présidence et le Conseil des Douze Apôtres de l'Eglise de
Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours
Nous, PREMIÈRE PRÉSIDENCE et le Conseil des Douze Apôtres de l'Eglise de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, déclarons solennellement Que le mariage de l'homme et de la femme est Ordonné de Dieu et Que la famille is régime essentielle au du Créateur versez la destinée éternelle de Ses enfants.
TOUS LES ETRES HUMAINS, Hommes et femmes, are Cris à l'image de Dieu. Chacun fils Est Un Ou une fille d'esprit aimé de parents, céleste, et, à titre CE, CHACUN nature une et juin Destinée de divin. Le genre masculin OU féminin is characteristic juin essentielle de l'identité et de la raison d'être individuelle pré mortelle, mortelle et éternelle.
DANS LA CONDITION PREALABLE MORTELLE, les fils et les filles d'esprit connaissaient et adoraient Dieu, Père éternel Leur. ILS régime de acceptèrent De fils according Lequel Ses enfants pourraient Obtenir un corps physique et de l'expérience des biens immobiliers sur la terre de Manière à Progresser vers de la perfection, et en fin de Réaliser Compte Leur Destinée divine en héritant La Vie éternelle. Le Plan divin du Bonheur Permet aux relations familiales de perdurer au delà de la mort. Les ordonnances Et Les alliances De Que l'Sur Peut Accomplir Dans les saints temples permettent aux personnes de RETOURNER Dans la présence de Dieu, et aux families d'être unies Eternellement.
LE PREMIER COMMANDEMENT Qué Dieu de Donne e Adam et Eve concernait Leur Potentiel De parents en Tant que mari et femme. Nous déclarons Que Le commandement Que Dieu de Donné à Ses enfants de multiplicateur et de la terre Reste REMPLIR EN VIGUEUR. Les déclarons Nous also au Québec Dieu non Ordonné Que Les Pouvoirs sacrés de procréation ne doivent Être Employés qu'entre l'homme et la femme, légitiment mariés.
NOUS DÉCLARONS Que La Manière Dont La Vie Dans La état is mortelle fiche fiche créée fiche Était ordonnée par Dieu. Nous affirmons le caractère sacré de la Vie et son importance DANS LE régime éternel de Dieu.
LE MARI ET LA FEMME Ont La responsabilité solennelle de se aimer et de se chérir et d'aimer et chérir Leurs enfants. "Les enfants are Un héritage de l'Éternel" (PSAUMES 127: 3) Les parents sacré, en Ontario Le Devoir Leurs enfants d'elever Dans l'amour et la droiture, de subvenir à their needs physiques ET spirituels, et de Leur Apprendre à se aimer et à se Servir les uns les Autres, observateur à les commandements de Dieu et A être des Citoyens respectueux des lois, Où Qu'ils Vivent. Les maris et les Femmes (les Mères et les Pères) will be Responsables devant Dieu de La Manière Dont ILS SE CES sérums de ACQUITTÉS obligations.
LA FAMILLE EST ordonnée de Dieu. Le mariage Entre l'homme et la femme is essentiel Un Fils Le Plan éternel. Les enfants Ont le droit de Naître Dans les liens du mariage et d'être Elèves nominale Un père et une mère Qui honorent Leur Vœux de mariage Dans la fidélité totale. Le non Sur plus de chances d'Atteindre le bonheur en famille when Celle ci is Fondée sur les Enseignements du Seigneur Jésus-Christ. La réussite conjugale et familiale repos, Des Le départ et Constamment, sur la foi, la prière, le repentir, le pardon, le respect, l'amour, la compassion, Le Travail Et Les Divertissements Sains. Par décret divin, le père Doit présider sa famille DANS L'amour et la droiture, et à la Responsabilité Pourvoir aux Besoins de Vitaux et à la protection de sa famille. La mère d'Une première versez Responsabilité d'elever Ses enfants. Les sacrées de la DANS CES, le père et la mère Ont l'obligation de se secouriste en qualité de partenaires Égaux. Un handicap, la mort ou Une adaptation de d'Autres Circonstances PEUVENT Particulière. La famille Étendue Doit Apporter Fils Soutien Quand CELA EST Nécessaire.
NOUS LANÇONS UNE MISE EN GARDE:. Les personnes Qui enfreignent les alliances de la chasteté, la police Qui Subir des Sévices à Leur conjointe ous à Leurs enfants, ous Qui ne s'acquittent pas de Leurs Responsabilités familiales devrons un jour en Répondre devant Dieu Nous Faisons also this mise en garde: la désagrégation de la famille attirera sur les gens, les Collectivités et les nations les Calamités prédites par les Prophètes d'autrefois et d'aujourd'hui.
NOUS APPELONS les Citoyens Responsables et les Dirigeants des gouvernements de partout à promouvoir des Mesures Destinées à Enregistrer et non fortifiant la famille DANS SON rôle de cellule de base de de de de la société.
This déclaration de l'ONU pied d'Égalité ETE lue Gordon B. HINCLEY, président de l'Eglise, au cours de fils discours PRONONCE sieurs couleurs de la Réunion générale de la Société de Secours Qui Se EST déroulée le 23 septembre 1995 un sel Lake City.
- * - * - * - * - * - * - * - * - * - * - * - * - * - * -
par Henry B. Eyring
Il ya difference between juin receive non témoignage de la vérité et Être Vraiment convertibilité. Par exemple, le grand apôtre Pierre qu'était l'ONU rendu témoignage au Sauveur Qu'il Savait Que Jésus Était le Fils de Dieu.
«[Dit Jésus,] Qui Dites-vous que je te te te suis?
«Simon Pierre répondit: Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.
«Jésus, reprenant la parole, Lui dit: Tu es heureux de, Simon, fils de Jonas; CE NE voiture pas de la chair et Sont Le Sang Ont revele CELA de Qui, Mais CE est mon Père Qui est DANS LES cieux »( Matthieu 16: 15-17).
Cependant, plus tard, s'adressant à Pierre, le Seigneur Lui de Donné, AINSI qu'à nous, Guide de l'ONU Verser soi convertir un non non veritablement et versez Qué this conversion dure Toute la vie. Jésus l'ONU Exprime en CES Termes: «Converti de Quand tu, affermis tes frères» (Luc 22:32).
Jésus enseigne à l'ONU Pierre Qu'il devait encore se Produire Un grand changement Qui devait aller au delà du fait de témoignage Posséder un, et Qu'on devait Être capable de Penser, de Ressentir et d'agir en disciple de Jésus- veritablement Christ. Converti est le grand changement Que Nous recherchons un Tous ONU. Une Fois Que Nous Avons l'Obtenu, Il faut que changement de la CE dure Jusqu'à la fin de Notre épreuve terrestre (voir Alma 5: 13-14 ).
Savons Nous, par expérience personnelle et l'observation de Notre nominale Des Autres, au Québec Quelques Merveilleux moments de puissance spirituelle ne suffiront pas. Pierre NIE connaitre le Sauveur après Avoir POURTANT Reçu le témoignage de l'Esprit Que Jésus Était le Christ. Les Trois Témoins du Livre de Mormon avaient Reçu non témoignage Diriger Qu'il Était la parole de Dieu Et pourtant, plus tard, ILS Ont Vacille Dans Leur Capacité de devant Soutenir Joseph Smith Comme prophète de l'Église du Seigneur.
Produire changement non Dans le cœur de Notre Il Doit Comme le decrit le livre d'Alma: «Et ILS annoncèrent tous au peuple Exactement the same Choisi: que Leur cœur Avait Été Changé, Qu'ils n'avaient, plus de désir de faire le Mal »( Alma 19:33 ; voir aussi Mosiah 5: 2 ).
Le Seigneur Nous juin enseigne au Québec, when Nous Sommes Vraiment Convertis un fils Évangile, Notre coeur se détourné de préoccupations Égoïstes et se porte vers le Service DANS LE Mais d'Edifier Notre Prochain Sur le chemin de la vie éternelle. Verser la conversion de get this, Nous pouvons prier et Oeuvrer Avec foi versez Devenir L'être nouveau rendu possible par l'expiation de Jésus-Christ.
Nous pouvons COMMENCER en priant versez Avoir la foi Nécessaire Pour Nous repentir de Notre egoisme et receive Le Don De nous Soucier Des Autres Plus que de Nous-mêmes. Nous pouvons prier To receive la VIGUEUR de délaisser l'orgueil et l'envie.
La prière is also La Clé Qui Nous permettra de recevoir le don d'aimer la parole de Dieu et d'aimer le Christ (voir Moroni 7: 47-48 ). . Les deux fr en vont de paire Si Nous Lisons la parole de Dieu, ET méditons ET prions un fils sujet, finirons nous par l'aimer. Le Seigneur l'implante Dans notre cœur. Quand ressentirons BNO Cet amour, Nous commencerons à aimer le Seigneur de, plus en plus. Grâce à l'ACDE, Nous recevrons l'amour pour Notre Prochain Dont Avons Besoin BNO versez secouriste les personnes Notre chemin de la Que Dieu rencontre.
Par exemple, Nous pouvons prier DANS LE Mais de reconnaitre les personnes À missionnaires Qui le Seigneur Veut Que SES enseignent l'Évangile. Les missionnaires à plein temps a PEUVENT Prier avec foi AFIN de savoir par ce l'Esprit Qu'ils doivent Enseigner et CE DONT ILS doivent Témoigner. ILS PEUVENT Prier avec foi le Seigneur de Leur permettre de Verser Ressentir Fils amour TOUTES LES PERSONNES Qu'ils rencontrent. Les missionnaires n'amèneront pas Toutes les personnes Qu'ils instruisent à Entrer dans les eaux du baptême et à Recevoir le don du Saint-Esprit. Mais ILS PEUVENT Avoir la compagnie du Saint-Esprit. Grâce à un service de l'ONU et de l'ONU Leur À l'aide du Saint-Esprit, les missionnaires connaîtront, Le Moment Où Venu, non changement de cœur.
Ce changement se renouvellera Encore et encore s'ils Continuent Toute leur Vie, et Nous Aussi, de D & A 50:24 ).
Manière désintéressée à Agir avec foi versez fortifiant Leur Prochain par l'Évangile de Jésus-Christ. La conversion Ne Pas Sérums Événement non isolé ous Qui ne Durera Qu'une saison de la Vie non continuel de Processus de Mais. La vie, plus lumineuse Peut. Devenir Jusqu'au jour parfait Où nous VERRONS le Sauveur et découvrirons Que Nous Sommes Devenus Comme Lui Le Seigneur a decrit le voyage AINSI: «Ce Qui est de Dieu est lumière; et Celui Qui recoit la lumière et persévère en Dieu RECOIT davaNtage de lumière ; et lumière this DEVIENT de Plus en plus les les les brillante Jusqu'au jour parfait »(
Je vous promets Québec est à la Portée De nous tous.
Triompher DES GOLIATHS DANS
NOTRE VIE
Il ya Quelques Années, Je AI Parle Aux jeunes gens de l'Eglise de la Manière de Surmonter les Goliaths Dans leur Vie. Je Voudrais appliquer même CE THÈME Nous tous, pas voiture Peu d'Entre Nous Ne ONT at least Goliath non à Affronter . En étudiant l'Ancien Testament, this année, Nous allons nous Rendre Compte Que l'histoire de David et Goliath de Un exemple Est Merveilleux De Ce Que pouvons BNO Tirer de la lecture de CE Ecritures grande de Livre. Je vais de RAPPELER Qu 'Une partie de l'histoire, je sais voiture Que vous la Connaissez Déjà. est l'histoire de David, fils d'Isaï.
Vous vous rappelez Que l'armée d'Israël, sous la conduite du roi Saül, se livrait à juin guerre mortelle contre l'armée des Philistins. Une armée campée Était Sur une colline et L'Autre sur la colline d'en face Avec Une vallée Entre les deux. Ou, Philistins avaient Parmi eux non géant du nom de Goliath de Gath. Il était haut de six coudées et empan non. Si je Intérim bien Calculated, il mesurait environ Fait Deux mètres soixante-dix. Quel centre de basket-ball il aurait pu faire!
Revêtu de fils armure, il descendait dans la Vallée et criait à l'armée d'Israël:
«Choose Un homme qui descende contre moi!
«Se IL Peut me battre et me tue Qu'il, la assujettis VOUS de Nous; Mais si je l'emporte sur Lui et Que je te le tue, vous Serez Nous assujettis et vous servirez Nous.
«... Je jette en jour CE Un défi à l'armée d'Israël! Donnez-moi de l'homme ONU, et Nous Nous battrons ensemble »(1 Samuel 17: 8-10).
Quand Saül et l'armée d'Israël regardaient Parce Qu'ils n'avaient personne de taille Dans le camp de CE Leur CE de géant et entendaient fils défi à faire frémir, ILS ÉTAIENT.
Ou, temps pendentif CE, Isaï, père de David, Demanda un fils Jeune Fils d'Apporter De La Nourriture le niveau socioéconomique Trois Frères Dans l'armée. Quand David arriva sur le champ de bataille, Goliath revint en lançant le défi Même au David entendit Québec. La Crainte envahissait Toute l'armée d'Israël. David, Était Qu'un jeune garçon de la Qui, dit au roi (et je paraphrase SES paroles): «Roi, Pourquoi avez-vous si peur de géant CE Je vais aller le Combattre. »
Saül répondit: «Tu ne en Peux pas aller te battre with CE Philistin, tu voiture de enfant des Nations Unies, et non Il Est homme de guerre des sa jeunesse» (1 Samuel 17:33).
David Armé de Foi
David persuada Alors Saül de le laisser essayer. lion et non Notre ONU Verser Sauver les brebis de fils de fils de père de Il dit au roi QU'IL AVAIT, et conclut en littéraire & humoristique Que le Seigneur le délivrerait des mains du Philistin. Saul, pensant peut-etre pas la grande Serait qu'une Vie de fr Moins Choisir Au milieu des grandes Pertes Qu'il Avait déjà-Subies, dit à David: «Va, ET! Que l'Eternel Soit avec toi »(1 Samuel 17: 37).
Saül mit Une armure à David Mais with CE Poids, le jeune garçon ne Pouvait Presque en majoré les marcher. David dit au roi: «Je ne PUIS pas marcher with this armure», et il la retira.
Ensuite il «en PRIT Principales fils bâton, CHOISIT Dans Le torrent Cinq pierres polies, et les mit Dans sa gibecière de berger ... PUIS, sa fronde à la main, il s'avança» (1 Samuel 17:40).
Ce jeune garçon Qui n'avait Qu'une fronde et Cinq pierres et Qui n'avait pas d'Autre armure Que Celle de la foi, dans la Vallée Descendit au devant de Goliath.
Goliath Armé D'une Épée, D'une Lance et Javelot D'UN
«Le Philistin regarda et, lorsqu'il aperçut David, il le méprisa, ne voyant en Lui Qu'un jeune garçon, blond et d'une belle figure.
«Le Philistin dit à David: Suis-je un chien, Pour que tu Viennes à moi avec des bâtons?
«Et, après l'Avoir maudit par ses dieux, il ajouta :. Viens vers moi, et je donnerai ta chaise aux oiseaux du ciel et aux bêtes des champs »
David ALORS DIT CES nobles paroles: «Tu marches contre moi avec l'épée, la lance et le javelot; et moi je marche contre toi au nom de l'Eternel des armées, du Dieu de l'armée d'Israël, que tu Comme insultée.
«Aujourd'hui l'Eternel te livrera Entre mes secteur, je t'abattrai et je te couperai la tête; . Aujourd'hui je donnerai les cadavres du camp des Philistins aux oiseaux du ciel et aux animaux de la terre Et Toute la terre saura qu'Israël a non Dieu »(Samuel 17: 42-46).
Ce Était Parlant Avec courage Verser un garçon Qui affrontait Un Géant de Deux mètres soixante-dix.
Goliath, furieux, vers de s'avança Lui. Alors David courut vers le géant, «mit la gibecière principale Dans sa, y PRIT Une pierre, et la Lança Avec sa fronde; il frappa le Philistin au devant, et la pierre de l ' Dans enfonça le devant du Philistin, Qui tomba le visage contre terre »(1 Samuel 17:49).
Les Mauvais Géants de Notre Vie
Je Voudrais appliquer this histoire à Notre Vie. Il ya des Goliaths Tout autour de nous, des géants Enormes Qui Ont la méchante intention de Détruire. Sont de is pas des hommes de Deux mètres soixante-dix, Mais des Gens Et des institutions Qui contrôlent des Choses attirantes Mais Mauvaises Qui Peut Nous Mettre en difficulté, et Nous Nous affaiblir Détruire. Au Nombre de bureaux Droits incorporels figurent la bière, l'alcool et le tabac. Ceux qui font le commerce de Produits CES aimeraient vous Rendre esclaves de Leur l'utilisation. Il Existe Diverses Drogues Qu'il est, M'a-t-on dit, Relativement facile de se proxénète. Verser Ceux qui les fournissent, Ce EST UNE Industrie qui rapporte des milliards, réseau non immense de mal.
Il ya La Pornographie, séduisante, attirante et incitante. Ce EST UNE Industrie devenue géante Sie produit des magazines, des films d'Autres Produits HE. Elle Est sur l'Internet et, pas si vous N'y de garde Prenez, 'introduira chez vous par la télévision de Elle. Elle Est Destinée à Prendre Votre Argent et à vous conduire à des Activités Qui détruisent Complètement.
Les Géants Qui sont les industries des bureaux de puissants Derrière de ET SONT habiles. ILS Ont Une grande expérience de la guerre Qu'ils Menent. ILS voudraient vous Prendre au piège.
Il Presque Est impossibles De Ne Pas du tout Être confronté Les Ë Leurs Produits. Sur Voit this presse de Tous Les Côtes. Mais vous Ne AVEZ pas à avoir peur si you have la fronde de la vérité dans la Main. Vous Avez Été Conseillés, instruits et Avertis. Vous Avez Les Pierres de la vertu, de l'honneur et de l'integrity versez CES Combattre ennemis Qui voudraient vous conquérir. Lorsqu'ils s'attaquent à vous, vous Peut frapper les «Entre les yeux» versez UTILISER . l'expression imagée de juin . You can en triompher en vous disciplinant de Manière à les eviter You can Leur dire à tous au Québec David dit non à Goliath: «Tu marches contre moi avec l'épée, la lance et le javelot; et moi je marche contre toi au nom de l'Eternel des armées, du Dieu de l'armée d'Israël, que tu Comme insultée. »
Vous remporterez la victoire. forces de l'ONU Il N'y Dans Notre Eglise de personne Sie doive succomber A L'Une de CES. Vous êtes enfants de Dieu. Vous Avez vous en fils Pouvoir Verser Soutenir vous. Vous Avez le droit de faire appel à Dieu Verser Protéger vous. Ne laissez pas effrayer vous Goliath. Restez sur Vos positions et vous triompherez. Au fil des annees, vous retournerez Avec satisfaction sur les batailles gagnées Que vous Aurez Dans votre rivalisent personnelle.
Quand vient la tentation, Donnez le nom de «Goliath» à CE géant prétentieux et trompeur, et Lui Faites with CE non fait David Avec le Philistin de Gath. Que Dieu bénisse Chacun de vous, CE LUN. est humble prière.
Veillez Sur Votre Foyer
Je vais vous raconter Une parabole. Un homme Avait Construit une belle maison et l'Avait meublée Avec Les plus beaux tapis, les meubles AINSI Que de beaux, Les plus beaux objets et tout l'argent au Québec Peut Offrir. Il y abritait SES belles Voitures et ses bijoux Précieux. PUIS, Comme Il craignait Que des intrus pénètrent N'y et ne le volent, il Avait Installé des Verrous de COUTEUX Sorte Qu'il devait Avoir une Clé pour sortir et Verser Rentrer. Il mit des barreaux aux Fenêtres et aux portes et Était Comme un prisonnier Qui regardait au Dehors de Chez Lui Comme On pourrait le faire D'une prison. Il Avait Installé de COUTEUX Systèmes électroniques de surveillance Qui allumaient les lumières et déclenchaient des sirènes En Cas d'intrusion. IL mal de n'avait Dans son jardin aucun arbre ni buisson Pour Que les voleurs ne puissent pas de S'y cacher. Et il Disait Avec suffisance: «. Maintenant, je suis tranquille »
Mais Ce qu'il n'avait est pas compris au Québec ni les barreaux aux Fenêtres, ni les Verrous, Ni les lumières, ni les sirènes, ni quoi Que CE Soit d'Autre de type CE genre n'aurait Le Moindre effet de sur des intrus D'UN Autre Qui pouvaient Détruire Sa vie et de Ses enfants Celle. Il became prisonnier propre fils, Enfermé Dans Une cellule de désespoir et de misère. Il Avait laisse de les Goliaths de sa vie le dominer.
Je sais Que CE Ne EST PAS sujet neuf et beaucoup Qu'on en parle non. Mais je le repete: . Veillez sur Votre foyer Comme CELA parait fou D'une l'installation des barreaux, des Verrous et des Systèmes électroniques contre les voleurs et les Agresseurs Alors Que des intrus, plus insidieux entrent furtivement versez piller.
Fuyez la pornographie est Comme la peste. Je me Rappelle Avoir Été chargé il ya Quelques Années de Rétablir les bénédictions d'un homme Qui Avait Été excommunié de l'Eglise juin Causes de SES Péchés. Il Venu Est Bureau de l'ONU de mon Avec de la femme. Je ai Parlé Leur Séparément. Je Lui ai Demandé tout commentaire Avait COMMENCER. Il Avait non poste de Responsabilité Dans l'église. Il Avait also Un bon métier et de grandes Avait Responsabilités Dans la collectivité.
Il dit Que SES ennuis Commencent avaient Quand il Avait Pris non Le Magazine pornographique Verser Lire dans le avion de l'ONU. Cela l'intriguait, l'attirait. Il Avait Continuent d'en acheter. PUIS il Avait recherché des films Qui l 'émoustillaient et l'excitaient. Sachant Que sa femme ne participerait à rien de tout CELA, IL y Allait seul. de Il trouvait des occasions De Quitter la ville ET D'A aller Dans d'Autres Villes Où il Pouvait AINSI FACILEMENT SE LIVRER SES Désirs. PUIS IL AVAIT TROUVE des excuses Verser Rester Tard bureau de l'ONU de fils et Demander à sa secrétaire de Rester Avec Lui. Une chose en Avait entraine Une Autre JUSQU'A Ce qu'il succombe.
Les joues ruisselantes de larmes, Il était assis De l'autre côté du bureau et maudissait le jour Où il Avait lu Le Magazine de CE PREMIER MINISTRE. Il parla de fils Verser amour sa femme qui Lui Avait pardonné et Lui Était restée fidèle. Il actions parla de fils Verser amour Ses enfants avaient QUI ETE ET embarrassé avaient eu Honte de SES. Il parla de l'enfer Qu'il Avait Traverse Pendentif Quatre ans DEPUIS la Date de fils excommunication. Il parla de fils Verser amour et l'Eglise de désir de fils Retrouver toutes ses bénédictions SES SES SES.
En présence de sa femme, je ai mis les secteur sur sa tête et, Avec l'Autorité de la sainte prêtrise, je Lui ai rendu sa prêtrise, sa dotation du temple, fils et scellement Toutes les Autres bénédictions Qu'il Avait précédemment DÉTENUES . Cet homme fort Se EST Mis à sangloter Comme bebe sous mes secteur, la femme de TANDIS Québec, Qui Lui tenait la main, pleurait Comme une enfant.
A la fin de this bénédiction, ILS SE Sont embrassés et il Lui pardonner Demandé des Nations Unies. Elle Lui a dit Lui Qu'elle Avait pardonné, Qu'elle l'aimait et l'Qu'elle aimerait Toujours.
ILS ÉTAIENT Heureux Quand ILS Sont Partis, heureux Comme ils ne l'avaient AINSI ETE DEPUIS des Années. Et je Étais heureux, moi aussi. Mais je pensais au prix terribles Qu'il Avait eu non payeur et au prix Qu'il Avait fait payeur à sa famille par sa folie et sa transgression.
Veillez Aux Goliaths de Votre Vie
Malheureusement, pas CELA NE SE Termine toujours aussi bien. Dans bon Nombre de CAS, il ya divorce, amertume et Rancoeur. Ce Qui a été de l'amour DEVIENT de la haine. La vie des Enfants is flétrie. Sont Réduits Espoirs Les A néant. Il ne Reste Si souvent Que malheur, la solitude et regret.
Mes frères et soeurs, Gardez Votre affection POUR VOTRE hall d'accueil. Comme Considérez votre bien le plus les les les Précieux, Dans le temps et l'éternité, la personne Dont you have Pris la main sur l'autel Dans la maison du Seigneur et A qui you have fait serment d'amour, de loyauté et d'affection versez Le Temps et versez Toute l'éternité. Votre conjoint, vos enfants et vous-Mêmes connaîtrez Alors juin sécurité Qui Depasse de beaucoup Celle que l'On Peut AVOIR en achetant certains Appareils et gadgets.
Que Dieu vous bénisse, Que le Seigneur veille sur vous, et circonstancielle Que vous puissiez Déjà Rester proches de Lui et mériter sa protectrice principale, Que vous puissiez vaincre les Goliaths de Votre Vie.
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Joseph B. Wirthlin
Mes frères et soeurs, Je Voudrais Poser une question très Importante. Quelle qualité Nous Définit le mieux, nous, Liste Liste Liste membres de l'Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours?
Aujourd'hui Je Voudrais Parlant de la Réponse à this question.
Au premier siècle après Jésus-Christ, les Membres de l'Église à Corinthe Qui grandissait ÉTAIENT Enthousiastes à propos de l'Évangile. Presque Tous ÉTAIENT des Convertis Historique. Beaucoup y ÉTAIENT atours par la prédication de l'apôtre Paul et d'Autres .
MAIS les saints de Corinthe ÉTAIENT querelleurs also. ILS SE disputaient Entre Eux. Certains se sentaient Supérieurs aux Autres. ILS SE traînaient mutuellement devant les Tribunaux.
Quand Paul l'ONU APPRI, il Leur non Écrit, contrarié, Une lettre ou IL les suppliait De Devenir unis PLUS. Il y Répond aux Questions Qui avaient fait l'objet de differends. PUIS, vers la fin, il dit Leur Qu ' il Veut Leur MONTRER «Une voie par excellence. »
Vous rappelez-vous ce Qu'il Écrit salle?
«Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, Leur dit-il, si je ne en ai pas en la Charité, je suis un airain Qui Résonne, Ou Une cymbale Qui retentit. »
Le message de de de Paul de nouveau à Groupe CE De saints is Simple et directe :. Rien de Ce que vous ne servira à grand-Faites choisi If you Ne AVEZ Pas la Charité You can parlant en langues, avoir le don de prophétie, Comprendre Tous les mystères et Posséder Toute la Connaissance, Auriez-vous même la foi Verser les deplacer montagnes, sans la charité, CELA ne vous profitera en rien.
«La charité est l'amour pur is is est du Christ. »Le Sauveur de Donné l'exemple de l'amour et CET Une enseigne Même pendentif de la nominale Qu'il Était Ceux qui le méprisaient et le haïssaient.
Un jour, les Pharisiens Ont Essayé de le Pieger en Lui posant Une question Apparemment impossible: «? Maître, ONT-ILS Demande, quel is Le plus grand commandement de la loi »
Les Pharisiens avaient débattu en temps et en grande of this question et avaient DEFINI, plus de Six cents commandements. ILS pensaient certainement Que Si la détermination de Leur niveau de Priorité était une Tâche si difficile versez les savants, la question Serait impossible Pour un fils de charpentier de Galilée CE.
Réponse de Mais Quand ILS Ont Entendu, ILS ont du Être décontenancés, voiture Elle mettait le doigt sur Leur grande Faiblesse. Il a répondu:
«Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, De toute ton âme, et de Toute ta pensée.
«Est Le premier ministre et le commandement fr en plus grande.
«Et Voici le Deuxième, Lui Qui est Semblable: ton Prochain comme toi-même de Tu.
«De CES Deux commandements dépendent Toute la loi et les Prophètes. »
DEPUIS jour de CE, CE Était Inspirée déclaration répétée Au Cours De Nombreuses générations. Maintenant, Pour Nous, la Mesure de Notre amour est la Mesure de la grandeur de Notre âme.
Les Écritures Nous Disent Que: «. Si Quelqu'un aime Dieu, Celui-là HNE Connu de Lui ! »Quelle merveilleuse promesse est exaltant de Penser Que le Créateur du ciel et de la terre puisse Nous Connaître et aimer d'un amour Nous pur et éternel!
En 1840, Joseph, le prophète, non Envoyé juin épître aux Douze Où il enseignait :. «L'amour est Une des principales a un non Caractéristiques de la Divinité, et Ceux qui aspirent A être les fils de Dieu devraient le manifester Un homme de REMPLI l'amour de Dieu ne se contente pas de faire du bien à sa famille au Québec, Mais parcourt le monde entier, vivement désireux de faire du bien à tout le genre humain. »
Quand BNO montrons notre amour aux Gens qui entourent Nous, Nous accomplissons l'autre moitié du grand commandement: «ton Prochain comme toi-même de Tu. »
Les deux commandements Sont Nécessaires voiture, when Nous portons les fardeaux les uns des Autres, Nous accomplissons la loi du Christ.
L'amour est le commencement, le milieu et l'Aboutissement du chemin Que Doit Suivre le disciple. Il réconforte, CONSEILLE, Guérit et console. Il fait transbordeur Nous les vallées de ténèbres et le voile de la mort. En fin de Compte, l'amour Nous Mène à la gloire et à la splendeur de la Vie éternelle.
Pour moi, Joseph Smith, le prophète, non Toujours Donné l'exemple de l'amour pur du Christ. Beaucoup de Pas Gens Ont Demande Pourquoi pas IL Se ÉTAIT FAIT AUTANT De disciples et les Avait Conserver. Il a répondu de: «Parce est Que Je possède le principe de l'amour. »
Il ya l'histoire d'un garçon de quatorze ans Qui était Venu à Nauvoo à la recherche de fils fils frère Qui vivait près de là. Le jeune garçon Était Arrivé en hiver sans argent ni ami. Quand il Se EST enquis de fils frère , le garçon Était conduit Arboisien grande Maison Qui ressemblait Un hôtel non. Là, il rencontre un homme Qui Lui non dit non: «Entre, mon garçon, BNO Allons Prendre soin de toi. »
Le garçon et juin Accepté Était Emmène Dans la maison Où Il était Lui non Allumé Donné de l'ONU de nourri et chauffé et Où
Le Lendemain, il gelait à pierre fendre Mais, du Malgré CELA, le garçon Se EST Préparer non faire à pied les treize Kilomètres JUSQU'A L'Endroit Où Fils frère logeait.
Quand il a vu Cela, le maître de maison a dit au jeune garçon de Rester Peu non. Il a dit Qu'un omble Allait bientôt Arriver et Qu'il Pourrait RETOURNER Avec Lui.
Quand le un garçon en Proteste littéraire & humoristique Qu'il n'avait pas d'argent, l'homme Lui a dit de ne pas se en faire Verser CELA, Que l'sur prendrait soin de Lui.
Plus tard, le garçon D'UN APPRI Que le maître de maison ne Était, Autre Que Joseph Smith, le prophète mormon. Le garçon Se EST CE rappele geste de bienfaisance Toute la vie de.
Dans un message non récent de l'ONU de l'émission «La musique et la parole» du Chœur du Tabernacle mormon, Il Est question d'Un couple de vieux Marié pendentifs des Dizaines D'Années. Comme elle perdait Peu à Peu La Vue , la femme ne Pouvait AINSI se soigner comme elle L'AVAIT FAIT D'Années pendentif importante. Sans Qu'elle le request Lui, le mari d'OUVRIR UNE juin Lui teindre les ongles pour Elle.
«Il Savait Qu'elle Pouvait voir SES ongles Quand Elle les tenait près de Ses yeux, juste au bon angle et la ILS faisaient sourire. Comme il aimait la voir heureuse, il persévérants à Lui faire les ongles, plus de un pendentif Cinq ans Jusqu'a Décès de fils. »
Ce Est Un exemple de l'amour pur du Christ. Ce Ne EST PAS DANS LES Toujours tableaux Spectaculaires Que les poètes et les écrivains immortalisent Que l'Trouvé sur Le plus grand amour. Les plus grandes manifestations d'amour Sont Souvent les actes simples de bonté et de sollicitude Que Nous Faisons versez les personnes Que Nous rencontrons Le Temps du chemin de la Vie.
L'amour vrai dure à jamais. premiers patients Eternellement et Est indulgents. Il Croit, il Espère et Supporte Tout. est l'amour Que Notre Père céleste Nous porte.
Nous aspirons à tous de Eprouver un amour Comme Celui-là. Même Quand Nous commettons des fautes, esperons Nous Que Nous Autres aimeront les imperfections du MALGRÉ de, meme si Nous ne le méritons pas.
Ah, Il Est merveilleux de savoir Que Notre Père céleste aime Nous, same with Boutique Tous De Défauts! Son amour est tel au Québec, Même Si Nous baissons les bras, la RENONCE jamais de Lui.
Nous Nous Voyons en Termes d'hier et d'aujourd'hui. Notre Père céleste Nous Voit en Termes d'éternité. Nous contenter de Moins de Alors Que Nous, Notre Père céleste ne le féra jamais, il Voit en voiture Nous les Êtres glorieux Que Nous Sommes capables de Devenir.
L'Évangile de Jésus-Christ Un Évangile Est de transformation. Il Prend nous, Hommes et femmes de la terre, et Nous raffine versez De nous faire des Hommes et des Femmes pour l'éternité.
L'instrument de CE raffinement HNE notre amour chrétien. Il est né PAS de douleur Qu'il ne puisse apaiser, d'amertume Qu'il ne puisse enlever, de haine Qu'il ne puisse changer. Sophocle, le dramaturge grec, non écrit: «Un mot Nous Libère de tout le Poids et de Toute la douleur de la Vie. Ce mot est l'amour. »
Les moments les plus les les les Précieux et Les plus sacrés de Notre vie are Ceux Qui sont remplis de l'Esprit d'amour. Plus La Mesure de Notre amour est grande, plus Notre joie is grande. En fin de Compte, l'acquisition de CE genre d'amour est la vraie Mesure du succès Dans la vie.
Aimez-vous le Seigneur?
Passez du Temps Avec Lui. Les paroles de SSE de Méditez. Prenez fils joug sur vous. Cherchez à Comprendre et à Obéir Parce Que «l'amour de Dieu Consiste à commandements Garder SES. »Quand Nous aimons le Seigneur, l'obéissance Cesse d 'être non fardeau. L'obéissance plaisir DEVIENT ONU. Quand Nous aimons le Seigneur, Nous Cherchons Moins Les Choses Qui Nous profitent et Nous tournons vers Notre coeur de Les Choses Qui fr en vont faire du bien aux Autres et vont les Edifier.
Quand Notre amour pour le seigneur s'approfondit, Notre Esprit et Notre coeur soi purifient. Nous éprouvons de «Un grand changement de ... Dans notre cœur, n'avons de Sorte Que Nous, plus de disposition à faire le mal, maïs à faire continuellement le bien. »
Mes frères et soeurs, en réfléchissant Dans la prière à that You can faire to increase l'entente et la spiritualité et le Edifier royaume de Dieu, Pensez à Votre devoir sacré d'Enseigner aux Autres à aimer le Seigneur et Leurs semblables. est- Mais le essentiel de Notre existence. Sans la charité, Qui est l'amour pur du Christ, Tout Ce Que pouvons BNO Accomplir Un peu d'importance. Avec Lui, Tout le reste palpite et Prend Vie.
Quand Inspiron Nous les Autres et Leur enseignons à REMPLIR Leur cœur d'amour, l'obéissance découle de l'intérieur Dans des actes délibérés de Dévouement et de service. Oui, Ceux qui font l'enseignement au foyer par devoir, par exemple, PEUVENT faire Leur devoir. Mais Ceux qui font l'enseignement au foyer par amour Véritable Verser le Seigneur et versez Leurs semblables abordent vraisemblablement l'attitude this Avec Une Tâche de très Différente.
Je reviens à ma question de départ: «Quelle qualité Nous Définit le mieux, nous, Liste Liste Liste membres de l'Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours? »Je répondrais: NOUS SOMMES des gens Qui Aiment le Seigneur de tout cœur Leur, De toute Leur Âme Et De Tout Leur Esprit et Nous Aimons Notre Prochain Comme nous-mèmes.
Est la signature de Notre peuple Tant de Québec. Comme une balise est pour le Monde signalant disciples De qui NOUS SOMMES.
Au jour finale, le Sauveur ne Posera pas de question sur la nature de nos Appels. Il pas de ne interrogera sur de Nous Nos Biens Matériels ous sur Notre Célébrité. Il demandera si Nous Avons soigné les malades, Donné à manger à Ceux qui avaient faim et soif, visite Ceux qui ÉTAIENT en prison Ou secouru les Faibles. tendons Quand nous la principale Verser secouriste Les plus petits des enfants de Notre Père céleste, est à Lui Que Nous Faisons le. Telle is l'essence de l'Évangile de Jésus -Christ.
Vraiment de BNO Si apprendre le commentaire aimer, Tout Ce Que Nous Avons à faire est Réfléchir à la vie de Notre Sauveur. Quand Nous prenons les emblèmes de la Sainte-Cène, CELA Nous Rappelle Le plus grand exemple d'amour de l 'Histoire du monde. «Car Dieu Un Fils Tant aimé le monde Qu'il non Donné Fils unique. »
L'amour du Sauveur Pour Nous Était si grande Qu'il «[l'a] fait trembler de douleur, [Lui], Dieu, Le plus grand de tous, et Elles [l '] Ont fait saigner à each pores. »
Parce Que le Sauveur de Donné sa vie Pour Nous, Nous Avons l'espérance lumineuse, l'assurance et la certitude Québec, quitterons Quand this existence terrestre Nous, Nous vivrons de nouveau Avec Lui. Par l'expiation de Jésus-Christ, Nous Être pouvons purifié du péché et avoir, partie au don de Notre Père tout-puissant. Alors Nous connaîtrons la gloire Que Dieu «preparez non [e] versez Ceux qui l'aiment ».
Est là le Pouvoir de la transformation de la charité.
Quand il a A SES Donné disciples le commandement nouveau: «Aimez-vous les uns les autres ... Comme je vous ai aimés », Jésus Leur Donné de la grande clef du bonheur Dans Cette Vie et de la gloire in the other.
L'amour est le plus les les Grands de Tous les commandements:. Tous les Autres en dépend est Notre Objectif de disciples du Christ vivant. est le trait de caractère par excellence Qui, si Nous acquérons L ', améliorera le Majore Notre Vie.
Je déchire témoignage Que Dieu vit. Son amour est infini et éternel. Il Est Accordé à tous Ses enfants. Parce Qu'il Nous aime, il a Donné des Prophètes et des Apôtres Verser guider Nous à Notre époque. Il Nous de Donné le Saint -Esprit, Qui enseigne, console et inspirateur.
IL NOUS ONU Donné SES Écritures. Et je suis reconnaissant au-delà de la description de Toute Ce qu'il a Donné A chacun de un coeur Nous capable de Ressentir l'amour pur du Christ.
Je prie Verser le BNO de Québec Notre coeur Soit REMPLI de CET amour et Que Nous UNE VISION Notre Père céleste et aux Autres Avec Une nouvelle et Une foi nouvelle. Je témoigne au Québec, CE Faisant, découvrirons juin Nous, plus grande richesse Dans la vie. Au nom sacré de Jésus-Christ. Amen.
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UNE HEURE AVEC LUI A VEILLER
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UNE HEURE AVEC LUI A VEILLER
Un jour, je me préparais à faire de l'ONU discours à La Réunion de Sainte-Cène. Je Étais en ancien de l'article d'Étudier Intitulé «L'expiation de Jésus-Christ», de Jeffrey R. Holland , du Collège des Douze Apôtres, publié dans Le Liahona de mars 2008. Dans l'article CET, raconte Hollande frère l'ONU Dans Lequel rêve Orson F. Whitney (1855-1931) a vu le Sauveur Dans le jardin de Gethsémani. Frère Whitney juin decrit la douleur et la souffrance Qu'il a vu le Sauveur endureur. PUIS il a écrit:
«Ensuite il Se EST relevé et Se EST vers Dirige L'Endroit Où ÉTAIENT agenouillés Les Apôtres: ILS ÉTAIENT Profondément endormis Il les a secoués doucement, les a éveillés et, tonne non sur de tendre reproche Où ne se manifestait pas la colère ni la Moindre Moindre réprimande, il Leur non Demande s'ils pas de ne pouvaient Veiller Une heure avec Lui. [...]
«Retournant à L'Endroit Où il se trouvait précédemment, il prie l'ONU de nouveau PUIS is Retourné et les a trouvés de nouveau endormis. Une fois de plus, il les a éveillés, les Nations Unies et REPRIS Retourné Est prier Comme auparavant . Cela Se est produit Trois fois. »
TANDIS Que je te lisais CELA, l'esprit de révélation D'une pénétré Dans mon esprit. Un TEC instant, je me suis rendu Compte Québec, Verser «Veiller Une heure avec Lui», Il fallait Que j'aborde La Réunion de Sainte -Cène le dimanche d'Une certaine Façon. DEPUIS, Je ai APPRI Que this heure est Un moment Où pouvons Nous prier Notre Père céleste, plus de les Profondément. La prière is fondamentale en tout temps, Mais la présence de l'Esprit au moment, ou ou de la Sainte-Cène occasion approx Juin De nous Rapprocher de Notre Père Céleste ET de Notre Sauveur, Jésus-Christ. Nous concentrons nos pensées sur Quand le seigneur, est, d'Une certaine Manière, Comme si Nous accompagnions L' au moment où Ou de l'agonie de Qu'il a endurée Quand il non Pris sur Lui nos Péchés. Où est Le Moment reconnaissons BNO Ce qu'il a souffert Pour Nous.
La Réunion de Sainte-Cène Tout pour est moi. est l'heure du salut infini. est Devenu Un moment sacré pendentif Lequel JE ME SOUVIENS Mes alliances et de je me Engager, par la prière et en esprit, à les honorer et A Suivre l'exemple parfait de mon Sauveur. Je sais Qu'il vit et Qu'il me aime. Je sais Que CE Ne EST Que nominale fils sacrifier et fils chantait Précieux Qui était Versé Que Nous pouvons Tous Être Sauvé. Je sais Québec est vrai Parce Que, when je me suis efforcée de «Veiller Avec Lui», ma Compréhension eclairée Un été, ma vie et ma Était Bénie vision de la vie éternelle en sa présence Était Renforcée.
Un moment de réflexion et de recueillement
«[La Sainte-Cène] devrait Être Un moment chargé de puissance, consacré Au Recueillement et A la réflexion. ELLE devrait favoriser les sentiments spirituels. De Fait, CE Elle ne Doit pas se faire à la haine. CE Ne EST pas Qu voyage «il Faut 'expédier' pour passer au vrai, Mais de la Réunion de Sainte-Cène. est le vrai, Mais de La Réunion. Et Tout Ce Qui est DIT chanté UO PRONONCE en prière Au Cours de services de Valeur CES Doit Être en Conformité with the present la grandeur de ordonnance sacrée ».
Jeffrey R. Holland , du Collège des Douze Apôtres, «Faites CECI en souvenir de moi», L'Étoile , janvier 1996, p. 75.
Commentaire le fait de Prendre la Sainte-Cène Peut-il changer ma vie?
Les les les Lors de la conférence générale d'octobre 2012, Don R. Clark, des soixante-dix, Une enseigne: «. Si Préparons Nous Nous correctement Verser la Sainte-Cène, Elle Peut transformateur Notre vie »Il a ensuite suggested« Cinq Principes Qui Peut Être une bénédiction Verser prenons Quand Nous Nous dignement la Sainte-Cène »:
- 1. Eprouver de la gratitude POUR L'expiation de Jésus-Christ.
- 2. Nous souvenir Que Nous renouvelons les alliances Du baptême de.
- 3. Québec Chercher à sentir Que Nos Péchés Nous pardonnés de Etaient.
- 4. Un Québec reçoivent Chercher L'Inspiration Verser des solutions A nos merveilleuse.
- 5. Prendre dignement la Sainte-Cène Verser Pouvoir Être remplis du Saint-Esprit.
c'est tellement bien de retrouver les résumés des excellents discours que nous avons eus à notre dernière conférence de pieu.
RépondreSupprimerj'ai aimé cette question de Pres Lebras à méditer : posons nous la question, pourquoi la relation intime entre époux est la clé du plan du Seigneur !