ARCHIVES "TEXTES ET HISTOIRES A MEDITER"


Un père très riche, voulait enseigner à son enfant la signification du mot "pauvreté".
Il lui proposa donc d'aller passer quelques jour dans une famille à la campagne....
De retour dans sa maison, son père lui demanda : as tu appris quelque chose ?
Son fils lui répondit :
- Nous avons un chien et eux en ont quatre...
- Nous avons une grande piscine, avec de l'eau traitée, mais eux ont un    étang, avec de l'eau cristalline, des petits poissons et d'autres belles choses...
- Nous avons la lumière électrique pour éclairer notre jardin, mais eux ont les        
étoiles et la lune pour s'éclairer...
- Notre jardin arrive jusqu'au mur, le leur va jusqu'à l'horizon...
- Nous achetons notre repas, eux le cultive, le récolte et le cuisine...
- Nous écoutons des cd, eux ont une symphonie continue de crickets, de cigales  et autres animaux... Parfois tout ceci est même accompagné par les chants du  voisin, qui cultive sa terre...
- Nous utilisons le four à micro ondes et chez eux, tout ce qu'ils cuisinent à la  saveur du feu lent...
- Pour nous protéger nous vivons avec des systèmes d'alarme et chez eux les  portes restent toujours ouvertes, protégés par l'amitié de leurs voisins...
- Nous sommes toujours reliés à notre téléphone, à notre ordinateur, notre  télévision, eux sont reliés à la vie, au ciel, au soleil, à l'eau, aux champs, aux  animaux et à leur famille...

Le père resta très impressionné par tous ces propos...
L'enfant termina en disant ceci: 


Merci papa pour m'avoir montré au combien nous sommes très pauvres...



VENDEUR DE MELONS


Il y a une petite histoire qui contient un avertissement. C’est une histoire que j’aime bien, parce qu’elle se traduit facilement dans des langues et des cultures différentes.
Deux hommes se sont associés. Ils construisent un petit hangar à côté d’une route très fréquentée. Ils se procurent un camion et se rendent dans le champ d’un fermier, où ils achètent un plein camion de melons au prix d’un dollar pièce. Ils ramènent le camion chargé au hangar près de la route, où ils vendent leurs melons un dollar pièce. Ils retournent dans le champ du fermier et achètent de nouveau un chargement de melons à un dollar pièce. Une fois de plus, ils les transportent au bord de la route et les vendent de nouveau un dollar pièce. Tandis qu’ils retournent dans le champ du fermier pour se procurer un autre chargement, l’un des associés dit à l’autre: «Notre commerce ne nous rapporte pas grand-chose!» «Non, répond l’autre. Ne crois-tu pas que nous aurions besoin d’un plus gros camion?»

Nous non plus, nous n’avons pas besoin d’un plus gros camion d’informations. Comme les associés de mon histoire, ce dont nous avons le plus besoin c’est avoir une idée plus claire de la façon dont nous devons évaluer et utiliser ce que nous avons déjà.

Dallin H. OAKS nous dit :
Grâce à la technologie moderne, beaucoup d’entre nous ont à portée de la main le contenu d’immenses bibliothèques et d’autres sources de données. Certains passent des heures innombrables à surfer sans but sur l’Internet, à regarder des programmes sans intérêt à la télévision ou à parcourir d’autres avalanches d’information. Mais dans quel but? Ceux qui se livrent à de telles activités sont comme les deux associés de mon histoire, courant çà et là, transportant des quantités de plus en plus grandes, mais ne saisissant pas la vérité essentielle que l’on ne peut pas tirer profit de ses efforts tant qu’on ne comprend pas la vraie valeur de ce que l’on a déjà sous la main.

Réfléchissez à cette réalité tandis que nous examinons quelques enseignements et quelques exemples concernant les priorités. Comme quelqu'un l’a dit, si nous ne choisissons pas d’abord le royaume de Dieu, ce que nous aurons choisi au lieu de cela n’aura pas grande importance à long terme.
C’est dans notre manière d’utiliser notre temps que se manifestent le mieux nos priorités.

Quelqu'un a dit: «Il y a trois choses qui ne reviennent jamais: la flèche qui a été tirée, la parole qui a été dite et l’occasion qui a été perdue. Nous ne pouvons pas recycler ni mettre de côté le temps qui nous est imparti chaque jour. Avec le temps, nous n’avons qu’une seule occasion de choisir et ensuite elle est passée à tout jamais.



Les priorités suprêmes des saints des derniers jours sont de deux sortes. Premièrement, nous cherchons à comprendre notre relation avec Dieu, le Père éternel, et avec son Fils, Jésus-Christ, et à assurer cette relation en obtenant les ordonnances salvatrices et en respectant nos alliances personnelles. Deuxièmement, nous cherchons à comprendre notre relation avec les membres de notre famille et à assurer ces relations par les ordonnances du temple et en gardant les alliances que nous faisons dans ce lieu saint.

LES LONGUES CUILLÈRES


Il y avait une fois un homme pieux qui souhaitait voir à la fois le ciel et l’enfer, et Dieu consentit à sa demande.
L’homme se retrouva devant une porte qui ne portait pas de nom. Il trembla quand il la vit s’ouvrir devant lui sur une grande pièce où tout était préparé pour un festin. Il y avait une table, et en son centre un grand plat rempli de nourriture fumante. L’odeur et le fumet excitaient l’appétit.



Des dîneurs étaient assis autour de la table avec de grandes cuillères dans les mains, et pourtant ils hurlaient de faim dans ce terrible endroit. Ils essayaient de se nourrir tout seuls et abandonnaient, maudissant Dieu, car les cuillères que Dieu leur avait fournies étaient si longues qu’elles ne pouvaient pas atteindre leur visage et mettre la nourriture sur leur langue.
Ainsi ils mourraient de faim, alors qu’un mets abondant se trouvait au milieu d’eux.

L’homme sut que leurs cris étaient les cris de l’enfer, et il ferma les yeux pour prier et supplia Dieu de l’éloigner de ce terrible endroit.
Quand il les ouvrit à nouveau, il fut pris de désespoir, car il se trouvait devant la même porte, la porte qu ne portait pas de nom.
Une fois de plus elle s’ouvrit et donna sur la même pièce. Rien n’avait changé, et il était sur le point de crier d’horreur. Il y avait la table, et au centre les mets fumants, et tout autour il y avait aussi beaucoup de gens et dans leurs mains les mêmes cuillères. Et pourtant il n’y avait plus de hurlements, et les cris et les malédictions s’étaient transformés en louanges ; rien n’avait changé et pourtant tout avait changé.
Car, avec les mêmes longues cuillères ils atteignaient les bouches les uns des autres et se nourrissaient l’un l’autre, et ils rendaient grâce à Dieu.
Et lorsque l’homme entendit les bénédictions, la porte se referma.

L’homme tomba à genou et lui aussi bénit Dieu qui lui avait montré la nature du ciel et de l’enfer. 




Chers enfants,
Le jour ou je serai vieille, et je ne le suis pas encore, soyez patients et essayez de me comprendre.
Si je me salis en mangeant…. Si je ne suis pas capable de m’habiller….. Soyez patients.
Souvenez vous des heures que j’ai passées à vous apprendre toutes ces choses.
Si, quand je vous parle, je vous répète les mêmes choses mille et une fois… ne m’interrompez pas, écoutez moi.
Quand vous étiez petits, je vous lisais mille et une fois la même histoire jusqu’à ce que vous vous endormiez.
Quand je ne veux pas prendre de douche, au lieu de m’humilier ou de me brusquer, souvenez vous quand je devais vous poursuivre en inventant mille excuses pour vous convaincre de prendre un bain.
Quand vous voyez mon ignorance face aux nouvelles technologies, donnez moi le temps nécessaire et ne me regardez pas avec un sourire ironique.
Je vous ai enseigné tellement de choses… à bien manger, à bien vous vêtir et à affronter la vie.
Quand, à certains moments, je perds la mémoire ou le fil de la conversation… laissez moi le temps nécessaire pour me souvenir, et si je ne le peux pas, ne devenez pas nerveux, parce que la chose la plus importante n’est pas ma conversation mais certainement le fait d’être avec vous et que vous m’écoutiez.
Si jamais je ne veux pas manger, ne me forcez pas, je sais très bien si j’ai besoin de manger ou pas.
Quand mes jambes fatiguées ne me permettent plus de marcher, donnez moi la main de la même façon que je l’ai fait avec vous quand vous avez fait vos premiers pas.
Essayez de comprendre qu’à mon âge ce n’est pas facile de vieillir, un jour vous découvrirez qu’en dépit de mes erreurs, j’ai toujours souhaité le meilleur pour vous et que j’ai essayé de vous préparer le chemin.
Vous ne devez pas vous sentir triste, en colère ou impuissant en me voyant vieillir.
Vous devez être à mes côtés en essayant de me comprendre et de m’aider comme je l’ai fait à vos débuts dans la vie.
Aidez moi à marcher, aidez moi à terminer mon voyage avec amour et patience et je vous le rendrai par un sourire et par l’immense amour que j’ai toujours eu pour vous.

Je vous aime



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Qui est le vrai pauvre ?

Un jour, un père d’une famille très riche emmena son fils afin de lui faire visiter la campagne.
Le but était de montrer à son fils comment les personnes pauvres vivent afin qu’il soit reconnaissant envers sa richesse.
Ils ont donc passé deux jours et deux nuits dans une ferme dont on disait que la famille était pauvre.
Sur le retour de leur voyage, le père demanda à son fils : « Comment c’est passé ton voyage ? »
Son fils répondit : « C’était très bien papa ».
Son père lui demanda : « Qu’as-tu donc appris pendant ce voyage ? »
Son fils lui répondit : « j’ai vu qu’ils avaient 4 chiens et nous n’en avons qu’un. Nous avons une piscine qui arrive au milieu de notre jardin et ils ont une crique dont on ne voit pas la fin. Nous avons installé des lanternes dans notre jardin et ils ont les étoiles, la nuit. Notre patio se limite à la cour et ils ont tout l’horizon. Nous avons un petit morceau de terrain pour vivre et ils ont des champs qui s’étendent à perte de vue. Nous avons des serviteurs pour nous servir et ils servent les autres. Nous achetons la nourriture et ils produisent la leur. Nous avons des murs autour de notre propriété afin de nous protéger et ils ont des amis pour les protéger. »

Après ces mots, le père fut sans voix.

Et le fils rajouta : « Merci papa de m’avoir montré combien nous étions pauvres. »

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LE MENUISIER

Il était rendu à l’âge de la retraite. Il informe alors son employeur de son intention de quitter le monde de la construction afin de passer le reste de sa vie paisiblement avec son épouse.
Son employeur fut très déçu de devoir laisser partir un si bon travailleur et lui demanda comme faveur personnelle de construire juste une toute dernière maison.
Le menuisier accepta mais cette fois il était facile de voir que son cœur n’était pas à l’ouvrage. Il accomplit un travail médiocre et utilisa des matériaux de qualité inférieure.
Quand le menuisier eut terminé la maison, son employeur arriva et en fit l’inspection puis il présenta la clé de cette maison au menuisier en disant : « cette maison est la tienne, c’est mon cadeau pour toi ».
Le menuisier était si triste, quelle honte ! Si seulement il avait su qu’il construisait sa propre maison, il aurait tout fait si différemment.
Il en est de même pour nous, dans notre vie. Nous la construisons malheureusement trop souvent avec négligence et insouciance…
Un moment donné, avec étonnement, nous réalisons que nous devons vivre dans la maison que l’on s’est construite.
S’il nous était possible de recommencer, nous aurions fait différemment nous aussi mais nous ne pouvons faire de retour en arrière.
Nous sommes les artisans de cette maison qu’est notre vie.
La vie est un projet de tous les instants.
C’est par notre attitude et nos choix d’ aujourd’hui que nous construisons la maison que nous allons habiter demain, pour le restant de notre vie et pour l’éternité.
Alors pourquoi ne pas la construire avec sagesse ?


LA TRAPPE A SOURIS

Une souris regardait un jour à travers le trou d’un mur et vit le paysan et sa femme en train de déballer un paquet.
Quelle nourriture pouvait il bien contenir ?
Mais quelle ne fut pas sa surprise de découvrir qu’il s’agissait d’une trappe à souris.
Le pire, c’est que le couple avait l’air très enthousiaste et avait l’air très pressé de tester cette nouveauté !

Fuyant vers l’arrière de la ferme, la souris criait de tous côtés :
« Il y a une trappe à souris dans la maison, une trappe à souris dans la maison ! »
Le poulet leva la tête, se gratta et dit :
« Excusez moi, Madame la souris, je me rends bien compte que c’est une grande inquiétude pour vous, mais cela ne me regarde pas. Que voulez vous que j’en fasse ? »
La souris se tourna alors vers le cochon qui répliqua :
« Oh, je suis désolé Madame la souris, la seule chose que je peux faire pour vous est de prier. Soyez assurée que je vous porte dans mes prières »
La souris se tourna enfin vers le bœuf. Celui-ci se moquait de la souris :
« Oh la la, Madame la souris, mais c’est terrible, une trappe à souris ? alors je suis gravement en danger non ? »

Finalement, la souris se décida d’affronter la trappe à souris seule.

Dans la nuit, on entendit un bruit dans la maison qui ressemblait à celui d’une trappe à souris se refermant sur une souris.
La femme du paysan s’en alla voir ce qui avait été pris et malheureusement en raison de la nuit elle ne vit pas le serpent venimeux dont le bout de la queue avait été pris dans la trappe. Le serpent mordit la femme du paysan.

Ils durent se rendre à l’hôpital. La femme revint rentra chez elle néanmoins avec de la fièvre.
Or, comme tout le monde le sait, il est fortement conseillé de faire boire à quelqu’un qui a de la fièvre une bonne soupe au poulet.
Le paysan pris donc sa hache et coupa le cou du poulet.
Malheureusement, la maladie continua encore et beaucoup de gens vinrent pour garder la pauvre malade. Alors le paysan dut tuer son cochon pour nourrir tout ce petit monde.
Finalement, la femme mourut et le paysan dut abattre son bœuf pour nourrir toutes les personnes venues pour l’enterrement….

Ainsi donc, la prochaine fois que vous entendrez dire qu’une de vos connaissances est aux prises avec un problème qui ne semble pas vous concerner, souvenez vous de la « trappe à souris »

Lorsque un des nôtres est menacé, nous sommes tous en danger.

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Sauvons les colibris

« Lors d’un camp de jeunes filles dans les montagnes de Californie, les filles et les dirigeantes attendaient le dîner dans un refuge en forme de triangle
Soudain, les filles ont remarqué quelque chose sous une table. Un colibri était entré dans le refuge, n’avait pas réussi à sortir et s’était écroulé sur le sol. Elles m’ont demandé de les aider
L’oiseau semblait presque mort ; son bec était enveloppé de toiles d’araignée et ses plumes étaient toutes chiffonnées.
Délicatement, je l’ai mis dans une tasse et l’ai porté dehors. J’espérais qu’il se rétablirait tout seul mail il semblait plus probable qu’il allait mourir.
Cependant, alors que j’inclinais la tasse pour déposer doucement le colibri sur le sol, ses griffes minuscules ont agrippé le bord de la tasse. J’ai tenu la tasse en position verticale, l’oiseau perché sur le bord, les yeux clos.
Que devais je faire ?
Une dirigeante, voyant l’oiseau, a mélangé du sucre avec de l’eau et me l’a apportée.
J’ai enlevé tout d’abord les toiles d’araignées du bec pointu comme une aiguille. L’oiseau n’a pas bronché. Puis, j’ai trempé un doigt dans l’eau sucrée et ai déposé une goutte à la pointe du bec.

La goutte a disparu bien que l’oiseau n’ait pas bougé. Peut être le liquide s’était il infiltré dans le bec ? J’ai trempé à nouveau mon doigt et l’ai tenu contre le bec de l’oiseau. Cette fois, une langue minuscule, plus fine qu’un cheveu, a léché le bout de mon doigt.
Pendant dix à quinze minutes, le colibri a bu une goutte après l’autre. Plusieurs autres dirigeantes étaient maintenant réunies autour de moi et je leur ai proposé d’essayer de le nourrir.
L’oiseau a ouvert soudain les yeux et ses plumes ébouriffées se sont remises instantanément en place.
Après avoir bu quelques gouttes de plus, il a commencé à battre des ailes, les a réchauffées pendant une seconde et a pris son envol.
Il a hésité un instant au dessus de nous, puis il s’est envolé."

Nous pouvons mettre en parallèle le sauvetage du colibri avec les sœurs de la Société de Secours ainsi que le soutien que nous pouvons nous apporter.
Comme le colibri parfois certaines sœurs semblent « mortes » ou très faibles spirituellement et il semble que ce soit  trop tard, mais nous devons garder la foi que la nourriture spirituelle, même si elle ne semble pas avoir d’effet immédiat n’est pas vaine.
Il en est également de même avec les sœurs qui semblent bien en apparence. Parfois des péchés et autres soucis peuvent les bloquer spirituellement et tout ce que nous faisons ne semble pas aboutir. D’ ailleurs, si on nous répète tout le temps les mêmes choses dans l’Eglise, ce n’est pas pour rien !
Ne nous décourageons pas, et ne négligeons pas les petits détails, les cartes, les coups de fil, les sourires et une oreille qui écoute.
J’aime beaucoup l’image de l’oiseau qui s’agrippe à la tasse. Certaines d’entre nous s’agrippent littéralement à l’Evangile pour ne pas succomber aux difficultés, à la tentation….. Et s’agripper c’est avoir la foi, avoir l’espoir, l’espoir, si petit que ce soit…..

Message de la Présidence de la Société de Secours du pieu de Nice.


LE BOL EN BOIS


Un vieil homme fragile s’en alla demeurer avec son fils, sa belle fille, et son petit fils de quatre ans.
Les mains du vieil homme tremblaient, sa vue était embrouillée et sa démarche chancelante.
La famille était attablée ensemble pour le repas. Mais la main tremblante du grand père et sa mauvaise vue rendaient le repas peu agréable. Les pois roulaient par terre et lorsque il prenait son verre, le lait se renversait sur la nappe.
Ce qui fini par porter sur les nerfs du fils et de la belle fille.
« On doit faire quelque chose avec grand père »
Alors le fils et sa femme installèrent  une petite table dans un coin de la pièce. C’est là que grand père ira manger pendant que le reste de la famille sera à la grande table. De plus, comme grand père a cassé quelques assiettes, dorénavant il mangera dans un bol en bois.
Lorsque la famille regardait dans le coin, quelques fois ils pouvaient voir une larme sur les joues de grand père qui était assis tout seul.
En dépit de cela, les seuls mots que le couple avait pour grand père exprimaient la colère et les reproches lorsque il  échappait une fourchette, ou renversait sa nourriture par terre.
Le jeune enfant de quatre ans regardait tout en silence.
Un soir avant le souper, le père remarqua son fils qui jouait dans son atelier et il nota des copeaux de bois sur le plancher.
Il demanda à son fils gentiment : «  qu’es tu en train de fabriquer ? » aussi gentiment son fils lui répondit : « Ah ! je fais un bol en bois pour toi et maman pour manger lorsque je serai grand ! »
Les parents furent tellement surpris par ces paroles qu’ils étaient incapables de parler.
Ce soir là, le fils pris grand père par la main et l’amena gentiment à la table familiale.
Pour le reste de ses jours, le grand père mangea ses repas avec la famille et le fils de sa femme ne se troublaient plus lorsque il  échappait 

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La maladie du bonheur
  
Attention ! Une épidémie mondiale est en train de se propager à une allure vertigineuse.
L’O.M.B. (Organisation Mondiale du Bien être) prévoit que des milliers de personnes pourraient êtres contaminées dans les dix ans à venir.
Voici les symptômes de cette maladie :

Tendance à se laisser guider par son coeur plutôt que d’agir sous la pression idées reçues et son propre plaisir.

Manque total d’intérêt pour juger les autres, se juger soi même trop durement et s’intéresser à tout ce qui engendre des conflits.

Perte complète de la capacité à être égocentrique et égoïste (cela représente l’un des symptômes les plus graves).

Plaisir constant d’apprécier les choses et les êtres tels qu’ils sont et tels qu’ils peuvent devenir, ce qui entraîne une disparition de l’habitude de se de se placer au dessus des autres et d’éviter tout contact avec l’autre.

Désir intense de se transformer soi même pour développer ses potentiels de santé, créativité et d’amour.

Attaques répétées de sourire, ce sourire qui dit « merci » et donne un sentiment d’unité et d’harmonie avec tout ce qui vit.

Ouverture sans cesse croissante à l’esprit d’enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté.

Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes.

Cette maladie est extrêmement contagieuse. Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible. Les traitements médicaux chimiques peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes, mais ne peuvent s’opposer à la progression inéluctable du mal.


Comme cette maladie du bonheur provoque une perte totale de la peur de mourir qui le pilier central des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux risquent de se produire, tels que grèves de l’esprit belliqueux, rassemblements de gens heureux pour chanter, danses et célébrations de la vie, cercle de partage et crises de fou rire.
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A TOUS LES «PARENTS MÉCHANTS» !


 Un jour, quand mes enfants seront assez vieux, pour comprendre la logique qui motive un parent, je vais leur dire, comme mes parents méchants m'ont dit:
-  Je t'ai aimé assez pour te demander où tu allais, avec qui, et quand tu serais de retour à la maison...
- Je t'ai aimé assez pour être patiente jusqu'à ce que tu découvres que ta nouvelle meilleure amie ou ton grand copain, n'était pas fréquentable...
- Je t'ai aimé assez pour me tenir plantée là dans le cadre de porte pendant deux heures tandis que tu nettoyais ta chambre, une affaire de 15 minutes en principe !
- Je t'ai aimé assez pour te laisser voir la colère, la déception et les larmes dans mes yeux.
Les enfants doivent apprendre que leurs parents ne sont pas parfaits.
- Je t'ai aimé assez pour te laisser assumer la responsabilité de tes actions même lorsque les pénalités étaient si dures qu'elles ont presque brisé mon cœur.


- Mais surtout, je t'ai aimé assez pour dire NON même quand je savais que tu me détesterais pour ça. Telles étaient les batailles les plus difficiles de toutes.

Je suis heureuse de les avoir gagnées, parce qu'à la fin, tu y as gagné aussi.

Et un jour, quand tes enfants seront assez vieux pour comprendre la logique qui motive des parents «méchants», tu leur diras :

Vos parents étaient ils méchants? Les miens l'étaient. J'ai eu les parents les plus méchants du monde entier ! Pendant que d'autres enfants mangeaient des sucreries pour les repas, j'ai dû manger des céréales, des œufs, et des légumes. Quand d'autres ont eu du Coca et des hamburgers pour le dîner, j'ai dû manger de la viande, du fromage, des crudités et des fruits... Sans oublier toutes ces crêpes et gâteaux que ma maman nous a faits... Et vous pouvez deviner que ma mère m'a fait des dîners qui étaient différents de celui des autres enfants.

Mes parents ont insisté pour savoir où j'étais en tout temps. On aurait pu croire que j'étais enfermée dans une prison. Ils devaient savoir qui mes amis étaient et ce que je faisais avec eux. Ils insistaient si je disais que je serais partie pour une heure, pour que ce soit seulement une heure ou moins.

J'avais honte de l'admettre, mais mes parents ont enfreint la loi sur la protection des enfants concernant le travail en me faisant travailler. J'ai dû faire la vaisselle, mon lit (quelle horreur!), apprendre à faire la cuisine, passer l'aspirateur, faire mon lavage, vider les poubelles et toutes sortes d'autres travaux cruels. Je pense qu'ils se réveillaient la nuit pour imaginer de nouvelles tâches à me faire faire...

Ils ont toujours insisté pour que je dise la vérité, juste la vérité et rien que la vérité.

Au moment où je suis devenue adolescente, ils pouvaient lire dans mon esprit et avaient des yeux tout autour de la tête.

Puis, la vie est devenue vraiment dure ! Mes parents ne laissaient pas mes amis juste klaxonner quand ils venaient me chercher. Ils devaient venir à la porte pour qu'ils puissent les rencontrer.

Pendant que chacun pouvait fréquenter un ou une petit(e) ami(e) quand ils avaient 12 ou 13 ans, j'ai dû attendre d'en avoir 16.

À cause de mes parents, j'ai manqué beaucoup de choses que d'autres enfants ont expérimentées. Je n'ai jamais été prise pour vol à l'étalage, vandalisme, alcoolisme, ni même arrêtée pour tout autre crime. C'était «tout de leur faute».

Maintenant que j'ai quitté la maison, je suis instruite et une adulte honnête. Je fais de mon mieux pour être un parent méchant comme mes parents l'étaient.

Je pense que c'est ce qui ne va pas avec le monde aujourd'hui. Il n'y a pas assez de parents méchants!
Merci donc à toutes les parents qui ont été assez méchants dans notre jeunesse pour nous apprendre à être de méchantes bonnes personnes


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Quand les ans s’additionnent

Le coin de la rue est deux fois plus loin qu’auparavant !
Et ils ont ajouté une montée que je n’avais jamais remarquée.

J’ai dû cesser de courir après l’autobus, parce qu’il démarre bien plus vite qu’avant

Je crois que l’on fait les marches d’escaliers bien plus hautes que dans notre temps !
 
L’hiver le chauffage est beaucoup moins efficace qu’autrefois !

Et avez-vous remarqué les petits caractères que les journaux se sont mis à employer ?

Les jeunes eux-mêmes ont changé, ils sont bien plus jeunes que lorsque j’avais leur âge !

Et d’un autre côté les gens de mon âge sont bien plus vieux que moi.

L’autre jour je suis tombée sur une vieille connaissance, elle avait tellement vieilli qu’elle ne me reconnaissait pas !

Tout le monde parle si bas qu’on ne comprend quasiment rien !

On vous fait des vêtements si serrés, surtout à la taille et aux hanches, que c’en est désagréable !

Je réfléchissais à tout ça en faisant ma toilette ce matin.

Ils ne font plus d’aussi bons miroirs qu’il y a 40 ans………..



LE VIELLE ÂNE

Un jour, l’âne d’un fermier tomba dans un puits
L’animal gémissait pitoyablement pendant des heures,
Et le fermier se demandait quoi faire.

Finalement, il a décidé que l’animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon, ce n’était pas rentable pour lui de récupérer l’âne.

Il a invité tous ses voisins à venir et à l’aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer le puits.

Au début, l’âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement. Puis, à la stupéfaction de chacun, il s’est tu.

Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu’il a vu.

Avec chaque pelleté de terre qui tombait sur lui, l’âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.

Pendant que les voisins du fermier continuait à pelleter sur l’animal, il se secouait et montait dessus.

Bientôt, chacun fut stupéfié que l’âne soit hors du puits et se mette à trotter !

La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d’ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.

Chacun de nos ennuis est une pierre qui nous permet de progresser.

Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n’arrêtant jamais,

Ne jamais abandonner. Secouez vous et foncez !

Rappelez vous ces 5 règles :

  1. libérez votre cœur de la haine, de la rancœur et du découragement
  2. rapprochez votre esprit du Seigneur avec l’aide des Écritures
  3. priez chaque jour afin que Dieu vous accompagne dans vos efforts
  4. aidez toutes les personnes que vous rencontrez et qui sont dans le besoin
  5. n’arrêtez jamais d’essayer, ne désespérez jamais : vous n’êtes pas seule

LE PRINCIPE DU VIDE


Avez-vous l'habitude de conserver des choses inutiles ?
Avez-vous l'habitude de garder des vêtements, des chaussures, des meubles,des ustensiles et autres fournitures domestiques que vous n'avez pas utilisés depuis quelque temps déjà et qui sont inutiles voir cassés ? 

Avez-vous l'habitude de garder des reproches, du ressentiment, de la tristesse, des peurs et plus encore? 

Ne le faites pas ! 

Il est nécessaire de faire de la place, de laisser un espace vide pour permettre à de nouvelles belles choses d'arriver dans votre vie. 

Il est nécessaire de vous débarrasser de toutes les choses inutiles qui sont en vous et dans votre vie afin que vienne toutes les bonnes choses que la vie vous réserve. 

La force de ce vide est une force qui va absorber et attirer tout ce que vous souhaitez, tout ce qui vous élèvera, vous rendra heureux afin que vous donniez du bonheur en retour.
  
Tant que vous retenez matériellement ou émotionnellement des sentiments anciens et inutiles, vous n'aurez pas de place pour de nouvelles opportunités, de nouvelles joies un nouveau bonheur. 
Nettoyez vos tiroirs, les armoires, les ateliers, le garage et surtout votre tête et votre cœur. 

L'attitude qui consiste à garder un amas de trucs 
inutiles comme de mauvais souvenirs, des expériences ratées, des rancœurs, enchaîne votre vie en bas. 


Ce ne sont pas les choses que vous gardez qui font stagner votre vie... 

mais plutôt l'attitude de garder... 






UN PEU DE TON TEMPS





Une mère fatiguée et irritée, rentrant chez elle un soir après son travail, trouva son fils âgé de 5 an l'attendant devant la porte.

- Maman, je peux te poser une question ?

- Oui, laquelle ? répondit elle

- Maman, combien gagnes tu en 1 h ?

-Ça ne te regarde pas, pourquoi me demande cela ? dit la femme avec irritation.

-Je veux juste le savoir. S'il te plaît, dis-le moi, combien gagnes-tu de l'heure ? Répéta le petit enfant.

Si tu veux le savoir, je gagne 20€ de l'heure.

- Oh, répondit l'enfant, tête basse. Puis le regardant à nouveau, il dit 

- Maman, tu peux me prêter 10€ ?

La mère devint furieuse. Si l'unique raison pour laquelle tu m'as demandé cela est pour pouvoir m'emprunter de l'argent pour acheter un jouet stupide ou autre chose de ce genre, alors va directement dans ta chambre et couche-toi et 

demande-toi pourquoi tu es aussi égoïste. 

Je travaille dur, pendant beaucoup d'heures par jour et je n'ai pas le temps de penser à ces stupidités infantiles. Elle s'assit et se fâchant encore davantage, elle se demanda : comment ose-t-il me poser ce genre de questions juste pour obtenir de l'argent ?

L'enfant s'en alla en silence et ferma la porte.
Après environ une heure, la mère s'étant calmée, elle commença à penser que peut-être elle avait été un peu dur avec son fils; qu'il avait peut être besoin d'acheter quelque chose avec les 10€ et qu'il ne demandait pas souvent de l'argent. Elle alla à la chambre de l'enfant et ouvrit la porte.
- Dors-tu mon fils ? Demanda-t-elle.
- Non maman, je suis réveillé.
- J'ai pensé que j'ai peut-être été un peu dur avec toi tout à l'heure. Ma journée a été longue et je t'ai fait subir mon agressivité. Voici, les 10€ que tu m'as demandé.
L'enfant s'assit, sourit et dit en s'écriant :
- Oh merci maman !
Et il sortit quelques billets chiffonnés de dessous son oreiller. La mère voyant que l'enfant avait déjà de l'argent, recommença à se fâcher.
L'enfant compta doucement son argent et regarda sa mère.
- Pourquoi me demandes-tu de l'argent alors que tu en as déjà ? grommela elle.
- Parce que je n'en avais pas assez mais maintenant, oui.
- Maman, maintenant j'ai 20€, je peux t'acheter une heure de ton temps ? S'il te plaît, rentre à la maison de bonne heure demain, j'aimerais passer du temps avec toi."

(Traduction d'un texte en espagnol de Carlos Carlos Martín, Valencia, Espagne)


DEVIENS L’ARTISAN DE TON ÂME


Fais de ta vie un œuvre d’art.
Que chaque instant de ce présent si précieux,
Soit habillé de tes plus belles pensées,
De tes actes les plus nobles.

Fais de ta vie un hymne à la joie,
Pénètres au plus profond de la matière,
Et fécondes l’obscurité de pensées lumineuses,
De fleurs de pensées afin d’ensemencer monde intérieur et extérieur.

Sème les graines de ta destinée,
D’une main heureuse,
D’une main amoureuse,
D’une main confiante, humble et généreuse.

Qu’au travers de tes expériences terrestres,
Puisses tu faire vibrer ton âme,
Telle une harpe céleste,
Afin qu’elle prenne corps et s’exprime au sein même de la terre.

Fais de ta vie une œuvre d’art,
Et communique ton œuvre dans la matière,
Matérialise les Idées célestes,
Idéalise la matière terrestre.

Que chacun de tes gestes,
Que chacune de tes actions, de tes pensées,
Portent en elles le sceau de ton âme,
Et fleurisse dans l’Amour de l’éternel présent.

Fais de tes rêves de lumière une réalité sans frontière,
Sans préjugé, ni attache.
Détaches toi du futile trop servile
Et croit sans hésiter, lentement et sûrement,

Dans l’inconditionnel Amour du temps, ton plus beau présent

Vieillir en beauté


Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son coeur;
Sans remord, sans regret, sans regarder l'heure;
Aller de l'avant, arrêter d'avoir peur;
Car, à chaque âge, se rattache un bonheur.
<><><><>
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son corps;
Le garder sain en dedans, beau en dehors.
Ne jamais abdiquer devant un effort.
L'âge n'a rien à voir avec la mort.
<><><><>
Vieillir en beauté, c'est donner un coup de pouce
A ceux qui se sentent perdus dans la brousse,
Qui ne croient plus que la vie peut être douce
Et qu'il y a toujours quelqu'un à la rescousse
<><><><>
Vieillir en beauté, c'est vieillir positivement
Ne pas pleurer sur ses souvenirs d'antan.
Etre fière d'avoir les cheveux blancs,
Car, pour être heureux, on a encore le temps.
<><><><>
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec amour,
Savoir donner sans rien attendre en retour;
Car, où que l'on soit, à l'aube du jour,
Il y a quelqu'un à qui dire bonjour.
<><><><>
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec espoir;
Etre content de soi en se couchant le soir.
Et lorsque viendra le point de non-recevoir,
Se dire qu'au fond, ce n'est qu'un au revoir.


 *-*-*-*-*-*-*

UN TONIQUE POUR NOTRE EPOQUE

Les Systèmes philosophiques erronés, des armes nouvelles destructrices, des événements inquiétants s’ajoutent au x difficultés personnelles que nous subissons tous pour multiplier nos appréhensions.

Nous sommes envahis par le découragement. Nous avons besoin d’un tonique. Quels que soient les éléments dont se compose ce tonique, il doit contenir la foi : la foi en l’avenir, la foi en nous-mêmes, la foi en Dieu et en les grands buts de la vie. Et pour être efficace, la foi doit nous persuader d’une chose : que la vie humaine est trop courte pour que nous la passions à nous inquiéter de ce qui pourrait arriver. 
Les choses qui pourraient arriver sont si nombreuses, et les chances que nous avons de nous inquiéter de ce qui est vraiment inquiétant sont si minces, que se mettre à s’inquiéter de toutes les possibilités ou de toutes les probabilités ne mène à rien. 
De plus, ce qui arrive vraiment, arrive trop vite pour q u ’on ait le temps de s’inquiéter. Mais supposons que le pire arrive. Supposons qu’un grand et stupide inventeur d’engins destructeurs fasse sauter le monde. 
Comme l’a dit Carlyle : « La destruction du système solaire et de tous les autres systèmes solaires ne pourrait vous tuer qu’une fois. » Or, nous sommes menacés d’être  très souvent — tous les jours et de maintes façons. 
Une autre raison de prendre confiance est de penser qu’il y a des limites à ce que la combinaison du génie inventif et de la stupidité peut accomplir. Notre univers est soumis à des lois. L’Administrateur de l’univers ne permettra pas à un simple mortel de réduire à néant le plan qu’il a conçu.
Et à quelque moment que nous devions rendre l’âme, notre droit ultime à l’immortalité ne serait pas différent de ce qu’il est et de ce qu’il a toujours été. 
Nous n’avons qu’à persévérer dans le chemin où notre Père Céleste, dans sa sagesse et sa miséricorde, nous a placés. L ’intelligence et la puissance du Créateur protègent l’intégrité de la création Donc, en manière de tonique pour notre époque, continuons à travailler, et à raisonner sainement, nous repentant pour le passé, ayant foi en l’avenir, et pensons à ce que nous pouvons faire pour empêcher le monde de se désintégrer car c’est encore le meilleur endroit où chacun de nous peut se féliciter d’avoir vécu. 


CHAQUE ENFANT APPREND PAR L’EXEMPLE


S’il vit entouré de critiques,…il apprend à blâmer
S’il vit entouré d’hostilité,….. il apprend à être agressif
S’il vit entouré de moquerie,…. Il apprend à être timide
S’il vit entouré de honte,…. Il apprend à se sentir coupable
S’il vit entouré de tolérance,…. Il apprend à être patient
S’il vit entouré d’encouragement,… il apprend à agir
S’il vit entouré d’éloges,…. Il apprend à complimenter
S’il vit entouré de probité,…. Il apprend à être juste
S’il vit entouré de sécurité,…. Il apprend à faire confiance
S’il vit entouré d’approbation,… il apprend à s’accepter
S’il vit entouré d’amitié… il apprend à aimer la vie

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Faites de votre journée ce que vous voulez qu’elle soit

La plus grande bénédiction que l’on puisse avoir dans la vie, c’est d’aller se coucher le soir la conscience nette, sachant qu’on a vécu ce jour là en accord avec les enseignements du Sauveur et qu’on a accompli l’œuvre dont on était chargé.
Nous en arrivons maintenant au premier jour du reste de notre vie. Avec de la discipline et de la détermination, faisons que l’année soit bonne et que la vie soit bonne pour nous, notre famille et nos voisins. Il est bon de commencer chaque nouvelle journée en prenant des résolutions telles que celles-ci, ou d’autres que vous pouvez choisir vous mêmes :
Pour aujourd’hui seulement

1) J’invoquerai mon Père céleste en des       prières ferventes.

2) Je serai attentif aux murmures de           l’Esprit pour être guidé.

3) J’exprimerai mon amour pour Dieu et       son Fils Jésus Christ par la prière 
    et je montrerai mon amour pour eux       en servant mes semblables.

4) J’étudierai évangile et m’efforcerai de     mieux le comprendre

5) Je chercherai premièrement le                 royaume et la justice de Dieu

6) J’écouterai et suivrai les conseils du         prophète de Dieu.

7) Je respecterai les alliances et les             commandements

8) J’enseignerai évangile à quelqu’un par la parole ou par l’exemple.

9) J’observerai les principes de l’Eglise.

10)J’exprimerai par la parole ou par l’action mon amour pour ma famille.

11)Je serai honnête en tout

12)Je me préparerai à accomplir les tâches qui m’ont été confiées.

13)Je ferai aujourd’hui quelque chose de gentil pour quelqu’un

14)J’exprimerai ma gratitude pour toutes les bénédictions.

15)Je serai loyale à ce à quoi je dois être.


Finalement, nous ne pouvons mieux faire que de prendre et de tenir les résolutions qui se trouvent dans notre treizième article de foi :

« Nous croyons que nous devons être honnêtes, fidèles, chastes, bienveillants et vertueux, et que nous devons faire du bien à tous les hommes ; en fait, nous pouvons dire que nous suivons l’exhortation de Paul : nous croyons tout, nous espérons tout, nous avons supporté beaucoup et nous espérons êtres capables de supporter tout. Nous recherchons tout ce qui est vertueux ou aimable, tout ce qui mérite l’approbation ou est digne de louange. »


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AVOIR LE TEMPS

« Je n’ai pas assez de temps pour faire cela »
Nous vivons tous selon les mêmes règles physiques. Cependant, le même ensemble de règles semble différent à chacun de nous.
Combien de fois avez-vous dit à quelqu’un (ou à vous-même) que vous n’aviez pas le temps de faire quelque chose ?
Nous n’avons que 24 heures dans une journée.
Vous décidez que faire pendant ces heures.

Il semble être plus commode de dire « je n’ai pas le temps » plutôt que « je ne veux pas utiliser mon temps à ça »

Sentez vous la différence ?

Dans la première expression, vous n’êtes pas propriétaire de votre temps….. Quelqu’un d’autre l’est. Vous endossez le rôle d’un esclave du temps.
Si vous êtes honnête avec vous-même, cela n’est pas puissant du tout, n’est ce pas ?

Dans la deuxième expression, nous prenons le pleine responsabilité de notre temps.
Sachez que cela peut en déranger certains car vous leur dites en quelque sorte que ce qu’ils espèrent de vous n’est pas nécessairement aussi important pour vous.

En réalité, vous êtes juste honnête avec vous-même et ceci, en fin de compte, vous offrira un sentiment d’humilité.

Sachez que dès que vous commencez à faire ceci, vous attirez des personnes plus honnêtes dans votre vie.
Vous vous sentez plus à l’aise pour exprimer cet « être » que vous êtes et les gens commencent à apprécier votre honnêteté : vous en récoltez bien vite les fruits.


« Le vol des oies »


FAIT N°1 : Pendant que chaque oie bat des ailes, elle crée un petit mouvement  d’air qui aide à élever les autres oies qui la suivent. En volant dans une formation comme la lettre « V », tout le groupe d’oies augmente sa capacité de vol de 71 % de plus que si elle volait toute seule.
 
LEÇON N° 1 : les gens qui partagent une direction commune peuvent atteindre plus facilement leur destination parce qu’ils voyagent avec le soutien des autres et ce soutien les fait avancer plus vite.

FAIT N°2 Lorsqu'une oie quitte la formation, elle ressent très vite la fatigue à voler seule alors remarquant qu’elle perd de la vitesse, elle rentre vite dans la formation pour bénéficier l’attraction et de la puissance de vole de l’oie qui est  devant elle.

LEÇON N°2: en restant avec ceux qui partagent le même objectif, nous pouvons profiter de leur expérience, accepter leur aide et donner notre aide aux plus faibles.

FAIT N°3 : lorsque l’oie de tête se fatigue, elle retourne à l’arrière de la formation et une autre oie prend sa place à la tête.

LEÇON N°3 : il est profitable à tous de partager les tâches et les difficultés afin que chacun puissent mettre en valeur ses talents ses capacités et ses ressources sans pour autant s’épuiser.

FAIT N°4 : les oies en formation « cacardent » pour encourager les autres oies qu’elles restent bien en formation et qu’elles gardent la vitesse de vol.

LEÇON N°4 : nous avons besoin des encouragements de ceux qui voyagent avec nous et qui résiste peut être mieux que nous à la « fatigue du voyage ».

ROMAINS 12 : 5 "ainsi, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les uns des autres".



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Voici une lettre reçu du bureau de poste ... c'est absolument fantastique !!

Nous ne savons pas qui nous a répondu, mais il y a certainement une belle âme qui travaille au service des lettres "non adressable" et  qui comprend L'AMOUR ....



Notre  chienne Abbey est décédée le mois dernier à l'âge de 14 ans.


Le lendemain de son décès, ma fille de 4 ans Meredith, était en pleure et nous disait à quel point Abbey lui manquait.


Elle a demandé si nous pourrions écrire une lettre à Dieu de sorte que lorsque Abbey arriverait au ciel, Dieu puisse la reconnaître.


Je lui ai dit que je pensais que nous pouvions le faire, et elle dicta ces mots :


Mon Dieu,

Voulez-vous s' il vous plaît prendre soin de mon chien ?

Abbey est mort hier et est avec vous dans le ciel.

Elle me manque beaucoup.

Je suis heureux que vous m'ayez permis de l'avoir comme chien, même si elle est tombée malade. 

J'espère que vous allez jouer avec elle. 

Elle aime nager et jouer avec des balles.

Je vous envoie une photo d'elle ainsi quand vous la verrez, vous saurez que c'est Abbaye.

Elle me manque vraiment.

Avec tout mon amour, 

Meredith


Nous avons mis la lettre dans une enveloppe avec une photo d' Abbey & de Meredith,

adressée à Dieu  au Ciel.


Nous avons mis notre adresse au dos de l'enveloppe et Meredith à collé plusieurs timbres car a t-elle dit : "il faudra beaucoup de timbres pour qu'elle aille un si long chemin jusqu'au ciel"


le même après-midi, elle déposa elle même lettre dans la boîte aux lettres de la poste.

Quelques jours plus tard, elle demanda si Dieu avait avait reçu la lettre ?
Je lui ai dit que je pensais qu'il avait surement reçu.
Hier, Nous avons trouvé sur notre porche, un paquet enveloppé de papier d'or, avec un mot : «Pour Meredith» d'une écriture inconnue.
Meredith ouvrit et à l'intérieur il y avait un livre écrit par  M. Rogers qui s'intitulait, «Quand un animal meurt."
Scotchée à l'intérieur de la couverture du livre, il y avait  une enveloppe et à l'intérieur la lettre que nous avions écrit à Dieu.
Sur la page opposée, il y avait la photo d' Abbey et de Meredith avec cette petite note:
Cher Meredith,
Abbey est arrivé en toute sécurité  au ciel. Sa photo a  était d'une grande aide et je l'ai 
reconnu tout de suite.
Abbey n'est  plus malade. 
Son esprit est ici avec moi tout comme il reste dans ton cœur. 



Abbey a aimé être ton chien.
Puisque nous n'avons pas besoin de notre corps dans le ciel, et que je ne ai pas de poches pour garder sa photo, je te la renvoi avec ce petit livre pour que tu gardes quelque chose qui te rappellera Abbey.
Merci pour la belle lettre et remercie ta mère pour t'avoir aidé à l'écrire et à me l'envoyer.
Quelle merveilleuse mère tu as. Je lui spécialement envoyé pour toi.
Je t'envoie mes bénédictions chaque jour et n'oublie pas que Je te aime beaucoup.
Au fait, je suis facile à trouver,
Je suis là où il y a l'amour.
Avec tout mon amour,
Dieu


l'arbre à soucis


Un jour, j'ai retenu les services d'un menuisier pour restaurer ma vieille grange.
Après avoir terminé une dure journée au cours de laquelle une crevaison lui avait fait perdre une heure de travail, sa scie électrique avait rendu l’âme, et pour finir, au moment de rentrer chez lui, son vieux pick-up refusait de démarrer.
Je le reconduisis chez lui et il demeura froid et silencieux tout au long du trajet.
Arrivé chez lui, il m’invita à rencontrer sa famille. Comme nous marchions le long de l’allée qui conduisait à la maison, il s’arrêta brièvement à un petit arbre, touchant le bout des branches de celui-ci de ses mains.
Lorsqu’il ouvrit la porte pour rentrer chez lui, une étonnante transformation se produisit.
Son visage devint rayonnant, il caressa ses deux enfants et embrassa sa femme.
Lorsqu’il me raccompagna à ma voiture, en passant près de l’arbre, la curiosité s’empara de moi et je lui demandai pourquoi il avait touché le bout des branches de cet arbre un peu plus tôt.
« c’est mon arbre à soucis » me répondit il. « je sais que je ne peux pas éviter les problèmes, les soucis et les embûches qui traversent mes journées, mais il y a une chose dont je suis certain, ceux-ci n’ont aucune place dans la maison avec ma femme et mes enfants.
Alors, je les accroche à mon arbre à soucis tous les soirs lorsque je rentre à la maison.
Et puis, je les reprends le matin.
« Ce qu’il y a de plus drôle, dit il en souriant, c’est que lorsque je sors de la maison le matin pour les reprendre, il y en a beaucoup moins que la veille lorsque je les avais accrochés »


Le Racisme 

La scène qui suit a eu lieu dans un vol de la compagnie British Airways entre Johannesburg et Londres.
Une femme blanche, d'environ cinquante ans, s'assied à côté d'un noir.
Visiblement perturbée, elle appelle l'hôtesse de l'air :

- Quel est votre problème, Madame ? demande l'hôtesse.



- Mais vous ne le voyez donc pas ? répond la dame. Vous m'avez placée à côté    d'un noir. Je ne supporte pas de rester à côté d'un de ces êtres répugnants.  Donnez moi un autre siège.

- S'il vous plait, calmez vos, dit l'hôtesse. Presque toutes les places de ce vol  sont prises. Je vais voir s'il y a une place disponible.

L'hôtesse s'éloigne et revient quelques minutes plus tard :

- Madame, comme je le pensais, il n'y a plus aucune place libre dans la classe  économique. J'ai parlé au commandant et il m'a confirmé qu'il n'y a plus de    place dans la classe exécutive.

Toutefois, nous avons encore une place en première classe.

Avant que la dame puisse faire le moindre commentaire, l'hôtesse de l'air continue :

- Il est tout à fait inhabituel dans notre compagnie de permettre à une personne  de classe économique de s'asseoir en première classe.
 Mais, vu les circonstances, le commandant trouve qu'il serait scandaleux  d'obliger quelqu'un à s'asseoir à côté d'une personne aussi désagréable.

Et s'adressant au noir, l'hôtesse lui dit :

- Donc, monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage à main car un siège  en première classe vous attend.
 Et tous les passagers autour, qui, choqués, assistaient à la scène, se levèrent  et applaudirent.

LA BENEDICTION PATRIARCALE 



Un jeune homme trisomique avec tous les symptômes classique, demanda à un patriarche une bénédiction patriarcal. Le patriarche fut désemparé et ne savait pas trop quoi dire ou quoi faire. Finalement le moment de la bénédiction patriarcale arriva.
Il sentit la présence de l'esprit et commença à s'exprimer avec une parfaite conscience de ce qu'il disait.
" Le jeune homme avait été présent lors du jugement de Satan après la bataille dans les cieux et c'était lui qui avait escorté Satan hors des cieux.
A cause de cette expérience, le Père céleste savait que le jeune homme serait sujet à des risques spéciaux des mains de Satan durant son temps sur terre, et pour le protéger et le mettre à l'abri des dangers, il lui fut donné comme protection l'épée et le bouclier spécial de trisomie 21 contre les séductions de Satan.
Ceci était un cadeau de la plus haute grandeur dont le Père lui avait fait don".
A la fin de la bénédiction, le jeune homme se leva et se tint droit et fier et sans aucun des problèmes d'élocution habituels et prenant sa mère dans ses bras il lui dit : "merci de ne pas avoir avorté alors que tu aurais pu lorsque tu as su que je serai handicapé".
Puis il dit à son père :"merci d'être mon père et pour n'avoir jamais eu honte de moi ou de m'avoir traité différemment des autres enfants, je t'aime".
Puis au patriarche :" merci pour cette bénédiction".
Pendant ce court moment, ce garçon était tout aussi normal que ses parents, il y avait quelque chose de différent dans sa manière de se tenir et dans son regard qui nous fit voir juste pendant un instant, un aperçu du serviteur vaillant du Royaume du Père céleste.
Quand le patriarche revit le jeune homme un peu plus tard, celui ci lui lança un "salut frère" de sa voix monotone de trisomique et se traîna plus qu'il ne marcha vers son foyer.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*



C’était une matinée chargée, environ 8h30, quand un homme d’un certain âge, dans les 80 ans, est arrivé pour faire enlever les points de suture de son pouce. Il dit qu’il était pressé car il avait un rendez vous à 9h.

J’ai pris ses coordonnés et lui dit de s’asseoir sachant que ça prendrait plus d’une heure avant que quelqu’un ne puisse s’occuper de lui.
Je le voyais regarder sa montre et j’ai décidé puisque je n’étais pas occupée avec un autre patient, de regarder sa blessure.

En l’examinant, j’ai vu que ça cicatrisait bien, alors j’ai parlé à un des docteurs, j’ai pris le nécessaire pour enlever ses points de suture et soulager sa blessure.

Pendant que je m’occupais de sa blessure, je lui ai demandé s’il avait rendez-vous avec un a autre médecin ce matin puisqu’il était pressé.

L’homme me dit que non, qu’il devait aller dans une maison de retraite pour déjeuner avec sa femme.

Je me suis informé sur la santé de sa femme, il m’a dit qu’elle était là depuis un certain temps et qu’elle  était atteinte de la maladie d’Alzheimer.
Comme nous parlions, je lui ai demandé si elle serait contrariée s’il était en retard.
Il m’a répondu qu’elle ne savait plus qui il était, qu’elle ne le reconnaissait plus depuis 5 ans.

J’étais surprise et lui ait demandé : « Et vous y allez encore tous les matins, même si elle ne sait plus qui vous êtes ? »

Il a sourit et en me tapotant la main a dit : « Elle ne me reconnaît pas, mais moi, je sais encore qui elle est ».

J’ai du retenir mes larmes et quand il est parti, j’avais la chair de poule.


La question du pardon

Richard L. Evans.


Si nous nous repentons sincèrement après avoir commis une erreur, nous pouvons espérer être pardonnes maintes et maintes fois, simplement en disant : Je regrette. 
Il y a des gens qui comptent sur le pardon de leurs fautes, quelles qu’elles soient, simplement en exprimant un regret. Il y en a qui se repentent parce qu’ils craignent les conséquences de la faute, mais qui sont prêts à retomber dans leurs errements.

Se repentir c’est plus que dire « : Je regrette. » C’est plus que craindre les conséquences de la faute, c’est plus que l’effort superficiel pour éviter les responsabilités de la faute. C’est plus que d’être circonspect parce qu’on se sent surveillé. 

Le repentir suppose un changement intérieur, la résolution de ne plus retomber dans les anciennes erreurs. C’est seulement dans ces conditions que nous pouvons espérer voir fonctionner pour nous la loi de pardon.

Le cultivateur qui demande à la terre et au climat de lui pardonner et de lui donner une abondante récolte, bien qu’il ait mal labouré et ensemencé ses champs, éprouvera une profonde déception. 

La nature ne pardonne que si on se repent sincèrement. Le commerçant qui persiste dans ses erreurs ne peut pas espérer des pardons répétés. Ses créanciers se fatiguent vite de lui pardonner ; ce qui attend un commerçant incapable de pratiquer à fond le repentir, c’est la faillite.

Celui qui désire le pardon de ses amis, de la justice, des membres de la même profession, de la nature ou de Dieu, doit se repentir profondément, comme lorsque le Seigneur dit : « Allez, et ne commettez plus de péché. » « Alors Pierre vint à lui et dit : Seigneur, combien de fois mon frère péchera-t-il à mon détriment, et combien de fois lui pardonnerai-je ? Sera-ce sept fois ? Jésus lui dit : Je ne te dis pas sept fois, mais soixante-dix fois sept fois. » 

Donc, il n ’y a en fait pas de limite au nombre de fois que nous devrons pardonner aux autres. Mais cela ne justifie pas celui qui retombe dans sa faute. La répétition de l’erreur est le signe même que le repentir n ’était pas sincère.

Et bien que nous devions être prêts à pardonner soixante-dix fois sept fois, il sera prudent pour le pécheur de ne pas s’attendre à être pardonné soixante-dix fois sept fois.




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LE TEST DES TROIS PASSOIRES



Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute réputation de sagesse. Quelqu'un vint un jour trouver le grand philosophe et lui dit :

- Sais tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami ?
- Un instant, répondit Socrate, avant que tu me racontes, j'aimerais te faire passer un test : celui des trois passoires.
- Les trois passoires ?
- Mais oui, reprit Socrate, avant de raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l'on aimerait dire. C'est ce que j'appelle le test des trois passoires. 
La première passoire est celle de la vérité.
- As tu vérifié si ce que tu veux dire est vrai ?
- Non, j'en ai seulement entendu parler.
- Très bien. Tu ne sais donc pas si c'est la vérité. Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami, est ce quelque chose de bien ?
- Ah non ! Au contraire
- Donc, continue Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n'es même pas certain si c'est choses sont vraies. Tu peux peut être encore passer le test car il reste une passoire, celle de l'utilité.
Est il utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ?
- Non pas vraiment
- Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n'est ni vrai, ni bien, ni utiles pourquoi vouloir me le dire ?
Je n'en veux rien savoir et, de ton côté, tu ferais mieux de tout oublier !!!!

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LE TEMPS



Supposons qu'une banque dépose dans votre compte, chaque matin un montant de 86,400€.
Elle ne garderait aucun solde d'une journée à l'autre.
Chaque soir, on effacerait tout ce que vous n'auriez pas utilisé durant le jour.
Que feriez vous ?
Retirer jusqu'au dernier sou, bien sûr !!!

Chacun de nous a une telle banque. Son nom est le TEMPS.
Chaque matin, on dépose à votre compte, 86,400 secondes.
Chaque soir, on efface tout ce que vous n'avez pas utilisé pour accomplir ce qu'il y a de mieux. Il ne reste rien au compte.
Vous ne pouvez pas aller dans le rouge.
Chaque jour, un nouveau dépôt est fait.
Chaque soir, le solde est éliminé.
Si vous n'utilisez pas tout le dépôt de la journée, vous perdez ce qui reste.
Rien ne sera remboursé. On ne peut pas emprunter sur "demain".
Vous devez vivre avec le présent avec le dépôt d'aujourd'hui.
Investissez le de façon à obtenir le maximum en santé, bonheur et bonnes actions car l'horloge avance. Faites le maximum aujourd'hui.
Pour réaliser la valeur d'UNE ANNÉE, demandez à un étudiant qui a doublé son année.
Pour prendre conscience de la valeur d'UN MOIS, demandez à une mère qui a accouché prématurément.
Pour connaître la valeur d'UNE SEMAINE, demandez à l'éditeur d'un hebdomadaire.
Pour connaître la valeur d'UNE SEMAINE, demandez aux amoureux qui sont temporairement séparés.
Pour comprendre la valeur d'UNE MINUTE, demandez à une personne qui a manqué son train.
Pour réaliser la valeur d'UNE SECONDE, demandez à une personne qui vient juste d'éviter un accident.
Pour comprendre la valeur d'UNE MILLISECONDE, demandez à celui ou celle qui a gagné une médaille d'argent aux Jeux Olympiques.


Apprécions chaque moment que nous avons ! et apprécions le plus quand nous le partageons avec quelqu'un de spécial, assez spécial pour avoir besoin de votre temps.
Et rappelons nous que le temps n'attend après personne.

HIER fait partie de l'histoire.
DEMAIN demeure un mystère.
AUJOURD'HUI est un cadeau
C'est pour ça qu'on dit que c'est le PRÉSENT !!


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Seigneur,

Faites de moi un instrument de votre paix
Là où est la haine que mette l'amour
Là où est l'offense que je mette le pardon
Là où est la discorde que je mette l'union
Là où est l'erreur que je mette la vérité
Là où est le doute que je mette la Foi
Là où est le désespoir que je mette l'espérance
Là où sont les ténèbres que je mette la lumière
Là où est la tristesse que je mette la joie
O Seigneur, que je ne cherche pas tant
D'être consolé que de consoler,
D'être compris que de comprendre,
D'être aimé que d'aimer,
Parce que c'est en se donnant que l'on reçoit
C'est en s'oubliant soi-même que l'on se retrouve soi-même,
C'est en pardonnant que l'on obtient le pardon,
C'est en mourant que l'on ressuscite à l'éternelle vie.

Saint François d'Assise

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Ma prière

Beaucoup d'entre nous perdent confiance en la prière parce qu'ils ne se rendent pas compte de la façon dont le Seigneur y répond.
Nnous demandons de la force et Dieu nous envoi les difficultés qui nous rendent forts.

Nous demandons de la sagesse et Dieu nous imposent des problèmes dont la solution développe en nous la sagesse.


Nous demandons la prospérité et Dieu nous donne la pensée et les muscles qui nous permettent de travailler.

Nous exprimons le désir d'avoir du courage et Dieu nous expose à des dangers qu'il nous faut surmonter.

Nous demandons des faveurs et Dieu nous donne des occasions d'agir.

Hugh B. BROWN


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UN APRES MIDI AVEC DIEU


Il était une fois une petite fille qui voulait rencontrer Dieu. Comme elle savait que ce serait un long voyage pour se rendre à Sa maison, elle remplit sa valise de bonbons et de six bouteilles de limonade, et elle se mit en route.

Trois pâtés de maisons plus loin, elle vit une vieille dame. Assise dans le parc, elle fixait quelques pigeons. La petite fille s'assit près d'elle et ouvrir sa valise. Elle s'apprêtait à prendre une limonade lorsqu'elle remarqua l'air affamé de la vieille dame. Elle lui offrit donc un bonbon. La vieille dame accepta avec reconnaissance et lui sourit. Son sourire était si joli que la fillette voulut le voir encore. Elle lui offrit donc une limonade. La dame lui sourit de nouveau. La fillette était ravie !


Ils restèrent ainsi tout l'après-midi à manger et à sourire, sans dire un seul mot.


Lorsque le soir tomba, la petite fille se rendit compte qu'elle était très fatiguée et se leva pour partir. Cependant, au bout de quelques pas à peine, elle se retourna, courut vers la vieille dame et la serra dans ses bras. La vieille dame lui fit alors son plus beau sourire.

Peu de temps après, lorsque la fillette franchit la porte de sa maison, son regard joyeux étonna sa mère.

Sa mère lui demanda : «Qu'as-tu fait aujourd'hui qui te rend si heureuse ?»

Elle répondit : «J'ai déjeuné avec Dieu». Mais avant que sa mère puisse répondre, elle ajouta : «Tu sais, elle a le plus merveilleux des sourires !»

Entre temps, la vieille dame, rayonnante de joie elle aussi, retourna chez elle. 

Frappée de l'expression paisible qu'elle arborait, son fils lui demanda : «Mère, qu'as-tu fait aujourd'hui qui te rende si heureuse ?»

Elle répondit : «Au parc, j'ai mangé des bonbons avec Dieu». Mais avant que son fils puisse répondre, elle ajouta : «Tu sais, il est beaucoup plus jeune que je ne le croyais».



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        Remplir le monde de l'amour du Christ




Quand nous pensons à Noël, nous pensons souvent à donner et à recevoir des cadeaux. Ils peuvent faire partie d’une tradition que nous aimons, mais ils peuvent aussi nous détourner de la dignité simple de cette période et nous empêcher de célébrer comme il convient la naissance de notre Sauveur.

Je sais par expérience que les Noëls les plus mémorables peuvent être les plus humbles. Les cadeaux de mon enfance étaient modestes comparés à ce qui se fait aujourd'hui. Parfois, je recevais une chemise raccommodée ou une paire de gants ou de chaussettes. Je me souviens d’un Noël marquant où mon frère m’a donné un couteau en bois qu’il avait sculpté.
Pas besoin de cadeaux coûteux pour donner du sens à Noël. Je me souviens d’une histoire racontée par Glen L. Rudd, membre des soixante-dix de 1987 à 1992. Il y a des années, la veille de Noël, alors qu’il gérait un magasin épiscopal, un dirigeant de la prêtrise lui a appris qu’une famille nécessiteuse avait récemment emménagé dans la ville. Quand il s’est rendu au petit appartement des nouveaux arrivants, il a trouvé une jeune mère seule avec quatre enfants de moins de dix ans.
Les besoins de la famille étaient si grands que la mère ne pouvait pas acheter de friandises ou de cadeaux à ses enfants ce Noël-là ; elle ne pouvait même pas se permettre d’acheter un sapin. Frère Rudd a parlé avec les membres de la famille et il a appris que les trois petites filles aimeraient beaucoup une poupée ou un animal en peluche. Quand il a demandé au petit garçon de six ans ce qu’il voulait, celui-ci, affamé, a répondu : « J’aimerais un bol de flocons d’avoine. »
Frère Rudd lui a promis des flocons d’avoine et peut-être quelque chose d’autre. Puis, il est allé au magasin épiscopal chercher de la nourriture et d’autres provisions pour répondre aux besoins immédiats de la famille.
Ce matin-là, un membre de l’Église généreux lui avait donné cinquante dollars « pour quelqu'un dans le besoin ». Avec ce don, frère Rudd a emmitouflé trois de ses enfants et les a emmenés faire des courses, leur demandant de choisir des jouets pour les enfants nécessiteux.
Après avoir rempli la voiture de nourriture, de vêtements, de cadeaux, d’un sapin de Noël et de décorations, les Rudd sont retournés à l’appartement de la famille. Ils ont aidé la mère et ses enfants à installer le sapin. Puis, ils ont mis les cadeaux dessous et ils ont offert un grand paquet de flocons d’avoine au petit garçon.
La mère a pleuré, les enfants se sont réjouis et ils ont tous chanté un chant de Noël. Ce soir-là, quand la famille Rudd s’est rassemblée pour dîner, tous ses membres ont remercié d’avoir pu apporter la joie de Noël à une autre famille et aider un petit garçon à recevoir un bol de flocons d’avoine.



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Le Christ et l’esprit de don


Réfléchissez à la manière simple et cependant digne dont notre Père céleste a choisi d’honorer la naissance de son Fils. En cette sainte nuit, des anges sont apparus non à des riches mais à des bergers. L’enfant Christ est né non dans une grande demeure mais dans une étable. Il n’était pas enveloppé de soie mais de langes.
La simplicité de ce premier Noël préfigurait la vie du Sauveur. Bien qu’il ait créé la terre, qu’il ait parcouru des royaumes de majesté et de gloire et qu’il se soit tenu à la droite du Père, il est venu sur la terre en enfant vulnérable. Sa vie est un modèle d’humble noblesse et il a été parmi les pauvres, les malades, les personnes découragées et lourdement chargées.
Bien que roi, il ne s’est soucié ni des honneurs ni des richesses des hommes. Sa vie, ses paroles et ses activités quotidiennes étaient des exemples de dignité simple mais profonde.
Jésus le Christ, qui savait parfaitement comment donner, nous en a montré l’exemple. À ceux qui ont le cœur lourd de solitude et de chagrin, il apporte la compassion et la consolation. À ceux dont le corps et l’esprit sont affligés par la maladie et la souffrance, il apporte l’amour et la guérison. À ceux dont l’âme est chargée de péchés, il offre l’espérance, le pardon et la rédemption.
Si le Sauveur était parmi nous aujourd’hui, nous le trouverions là où il a toujours été : au service des humbles, des opprimés, des affligés et des pauvres en esprit. Pendant cette période de Noël et toujours, puissions-nous lui faire en retour le don d’aimer comme il aime. Puissions-nous nous souvenir de l’humble dignité de sa naissance, de ses dons et de sa vie. Et puissions-nous, par nos actes simples de gentillesse, de charité et de compassion, remplir le monde de la lumière de son amour et de son pouvoir guérisseur.






Une nuit, je me retrouvai en rêve dans ce bâtiment sacré, le temple. Après avoir prié et m'être réjoui, j'appris que j'allais avoir le privilège d'entrer dans une de ces pièces, de rencontrer un personnage glorieux, et, comme j'en franchissait le seuil, je vis, assis sur une estrade surélevée, l'être le plus glorieux que mes yeux aient jamais contemplé ou que j'ai jamais cru pouvoir exister dans les mondes éternels.

Comme je m'approchais pour lui être présenté, il se leva, s'avança vers moi les bras ouverts, et sourit en m'appelant avec douceur par mon nom. Dussé-je vivre un million d'années, jamais je n'oublierai ce sourire.
Il me prit dans ses bras et m'embrassa, me serra sur son coeur et me bénit jusqu'à ce qu'il me semblât que la moelle de mes os fondait !
Quand il eut terminé, je tombais à ses pieds et, en les baignant de larmes et de baisers, je vis la marque des clous sur les pieds du Rédempteur du monde.
En la présence de celui qui tient tout dans ses mains, en ressentant son amour, son affection et sa bénédiction, j'éprouvai un sentiment tel que si jamais je pouvais recevoir ce dont j'ai eu un avant goût, je donnerai tout ce que je suis, tout ce que j'espère jamais être, pour ressentir ce que j'ai ressenti alors !

Melvin J. BALLARD " Je sais qu'Il vit" Liahona de décembre 2014



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VALEUR RÉELLE


Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 20 €. il demande aux gens : 

- Qui aimerait avoir ce billet ?  


Les mains commencent à se lever alors il dit : 

- Je vais donner ce billet de 20€ à quelqu'un de vous mais avant, laissez-moi faire quelque chose avec. Il chiffonne alors le billet avec force et il demande : 

- Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ? 

Les mains continuent à se lever. 

- Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela. Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher. Ensuite il demande : 

- Qui veut encore avoir ce billet ? Évidemment, les mains continuent de se lever! 

- Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... 

Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas change, il vaut toujours 20 €. Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment !   La valeur d'une personne ne tient pas à ce l'on a fait ou pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte.


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LE POUVOIR DES MOTS



Un orateur parle du pouvoir de la pensée positive et des mots.

Un participant lève la main et dit : 
- " Ce n'est pas parce que je vais dire "bonheur, bonheur, bonheur !" que je vais me sentir mieux.... Ni parce que je dis "malheur, malheur, malheur !" que je me sentirai moins bien : ce ne sont que des mots. Les mots sont, en eux mêmes, sans pouvoir."
- L'orateur répond : "Taisez vous espèce d'idiot, vous êtes incapable de comprendre quoi que ce soit !"
- Le participant est comme paralysé, il change de couleur et s'apprête à faire une répartie cinglante : "Vous, espèce de...."
- L'orateur lève la main : " Je vous prie de m'excuser. Je ne voulais pas vous blesser. Je vous prie d'accepter mes excuses les plus humbles".

Le participant se calme.

L'assemblée murmure, il y a des mouvements dans la salle.

L'orateur reprend : " Vous avez la réponse à la question que vous vous posiez :

- Quelques mots ont déclenché chez vous une grande colère.
- D'autres mots vous ont calmé.

Comprenez vous mieux le pouvoir des mots ?


























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