dimanche 28 mai 2017

L' ARCHE DE NOE

L’ARCHE DE NOE



Tout ce que j’ai besoin de savoir au sujet de la vie, je l’ai appris de l’Arche de Noé.

1) Ne manquez pas le bateau.
2) Nous sommes tous dans le même bateau.
3) Planifiez à l'avance. Il ne pleuvait pas lorsque 
    Noé a construit l'Arche.
4) Restez en forme. Quand vous aurez 600 ans, on 
    peut vous demander de faire quelque chose de
    très important !
5) N'écoutez pas les critiques. Faites le travail qui a
    besoin d'être fait.
6) Bâtissez en terrain sûr.
7) Par mesure de sécurité, voyagez toujours par 
    deux.
8) La rapidité n'est pas forcément un avantage.
9) Lorsque vous êtes "stressée", laissez vous aller 
    avec la vague.
10) N'oubliez pas : l'Arche a été construite par des 
     amateurs alors que le Titanic l'a été par des 
     professionnels.

Qu’importe les orages, quand vous êtes avec Dieu, il y a toujours un arc en ciel à la fin

FÊTES DES MÈRES


JOURNAL DU MOIS DE JUIN 2017

NOS RESPONSABILITÉS

Pour accomplir l’objectif de la Société de Secours, le Seigneur a demandé à chaque sœur de la Société de Secours et à l’organisation dans son ensemble de :
1-  Grandir en foi et en droiture personnelle.
2-  Fortifier les familles et les foyers.
3-  Servir le Seigneur et ses enfants.

Chacune de ces responsabilités soutient et renforce les deux autres. Quand nous grandissons en foi, notre famille est fortifiée. Quand nous servons le Seigneur et ses enfants, notre foi et notre capacité d’agir avec droiture grandissent. Les trois responsabilités sont inséparablement liées. Commençons par la première responsabilité.
  1. Grandir en foi et en droiture personnelle. Pour jouer notre rôle dans le plan du Seigneur, nous devons grandir en foi et en droiture personnelle. Être membre de l’Église requiert de la foi, que nous nourrissons tout au long de notre vie avec grande « diligence… patience et… longanimité ». Dans le patrimoine que nous partageons, nous avons des exemples remarquables de foi de femmes des débuts de l’Église.
Les pionnières des premiers temps ont été chassées de chez elles et persécutées à cause de leur foi. D’autres ont survécu à des incendies et des inondations. Elles ont traversé des océans et parcouru des milliers de kilomètres à pied, dans la poussière, la maladie, mourant presque de faim, pour participer à l’édification du royaume du Seigneur sur la terre. Beaucoup ont enterré mari, enfants, parents, frères et sœurs en chemin.
Pourquoi ont-elles fait tout cela ? Parce que le feu de leur foi brûlait en leur âme. Ces femmes remarquables ne cherchaient pas de beaux vêtements, des plaisirs, de grandes maisons ou plus de biens matériels. Comme vous, elles avaient la conviction et le témoignage que l’Évangile rétabli de Jésus-Christ était vrai et que le Seigneur avait besoin qu’elles remplissent leur rôle dans l’établissement de son royaume sur la terre.
Leur quête de droiture personnelle était un effort quotidien pour ressembler davantage au Sauveur par le repentir, l’étude des Écritures, la prière, l’obéissance aux commandements et la recherche de « tout ce qui est vertueux ou aimable… ce qui mérite l’approbation ou est digne de louange ».

2. Fortifier les familles et les foyers. Notre deuxième responsabilité est de fortifier les familles et les foyers. Partout dans le monde, les familles sont attaquées et affaiblies par des pratiques corrompues et des enseignements faux. C’est pourquoi, que nous soyons mariées ou seules, jeunes ou vieilles, nous avons le devoir de défendre et de pratiquer les vérités énoncées dans « La déclaration au monde sur la famille ».
La Première Présidence a recommandé : « Aussi louables et bonnes que soient d’autres demandes ou activités, elles ne doivent pas remplacer les devoirs confiés par Dieu dont seuls les parents et les familles peuvent s’acquitter convenablement. »

Les enfants qui naissent maintenant grandissent dans un monde de plus en plus pécheur. Nos foyers doivent être un refuge contre les rencontres quotidiennes qu’ils font avec le mal.
La Société de Secours doit être organisée et mobilisée pour fortifier les familles et aider les foyers à être des sanctuaires qui nous protègent du monde. Je l’ai appris il y a des années quand je venais de me marier. Mes parents, qui habitaient près de chez moi, ont annoncé qu’ils allaient partir dans une autre partie du monde. Je m’étais toujours reposée sur l’exemple attentionné, sage et encourageant de ma mère, et à présent elle allait partir pour longtemps. C’était avant les courriels, les télécopieurs, les téléphones portables et les webcams, et le courrier postal était notoirement lent. La veille de son départ, je pleurais ; je lui ai demandé : « Qui va me servir de mère ? » Elle a bien réfléchi et, par l’Esprit et par le pouvoir de la révélation qui vient aux femmes comme elle, elle m’a dit : « Si je ne reviens jamais, si tu ne me revois pas, si je ne peux plus t’enseigner autre chose, attache-toi à la Société de Secours. La Société de Secours sera ta mère. »
Ma mère savait que, si j’étais malade, les sœurs s’occuperaient de moi, et que, quand j’aurais mes enfants, elles m’aideraient, mais le plus grand espoir de ma mère était que les sœurs de la Société de Secours seraient pour moi des dirigeantes fortes et spirituelles. J’ai commencé à ce moment-là à beaucoup apprendre de femmes d’envergure et de foi.
Trois femmes ont eu l’appel de présidente de la Société de Secours de mes paroisses pendant les années d’absence de mes parents. Alta Chamberlain m’a demandé d’enseigner la gestion du temps et l’organisation familiale aux autres sœurs, peut-être parce qu’elle a vu que j’avais besoin de m’améliorer dans ces domaines. Jeanne Horne m’a encouragée à faire ma première étude personnelle sérieuse du Livre de Mormon. Norma Healy m’a donné mes premières tâches à la conserverie et m’a beaucoup appris sur le service. Ces femmes formidables avaient compris l’objectif de la Société de Secours.
  1. Servir le Seigneur et ses enfants. La troisième responsabilité de toutes les femmes de l’Église est de servir le Seigneur et ses enfants. Je trouve intéressant que durant les années d’absence de ma mère, j’aie servi comme présidente de la Primaire puis comme présidente des Jeunes Filles de notre paroisse. Je faisais partie du conseil de paroisse qui travaillait sous la direction de l’épiscopat.
Boyd K. Packer nous a enseigné : « Tout comme le service [de nombreux frères à la Prêtrise d’Aaron] fortifie la prêtrise supérieure… de même votre service [aux Jeunes Filles et à la Primaire] sera une bénédiction pour la Société de Secours. »
Quand nous servons dans une autre auxiliaire, nous ne sommes pas relevées de nos liens avec les sœurs de la Société de Secours. Du fait que nous n’entrons pas à la Société de Secours et n’en sortons pas, nous sommes toujours liées à l’objectif et aux responsabilités de la Société de Secours et nous avons la bénédiction d’avoir toutes les occasions d’être des exemples et des bergers remplis de foi pour les enfants de notre Père.

À la Société de Secours il y a des occasions de service qui sont parmi les plus remarquables sur terre, disponibles pour toutes les sœurs. Au cours de mes voyages de par le monde, j’ai vu que des milliers et des milliers d’entre vous actuellement sans mari et sans enfant sont un réservoir incroyable de foi, de talents et de dévouement.
Personne n’est mieux placé que vous pour travailler dans les temples, faire une mission, instruire la génération montante et aider les opprimés. Le Seigneur a besoin de vous.
J’ai aussi été émerveillée par votre jeunesse et votre énergie, vous qui arrivez juste à la Société de Secours après le programme des Jeunes Filles. J’ai vu à quel point votre cœur aspire à faire le bien dans le monde. J’ai souvent imaginé ce qui pourrait arriver, dans l’œuvre de l’histoire familiale par exemple, si vous transmettiez vos compétences techniques à des sœurs plus âgées (comme moi !). Nous ne pouvons tout simplement pas nous permettre de gaspiller votre jeunesse et votre énergie en vous demandant de regarder des femmes plus âgées et plus expérimentées s’occuper de la planification, de l’organisation et du travail de la Société de Secours.
III. Accomplir l’objectif
Nous pouvons accomplir l’œuvre du Seigneur à sa manière en recherchant, recevant et appliquant la révélation personnelle. Sans révélation personnelle, nous ne pouvons pas réussir. Si nous suivons la révélation personnelle, nous ne pouvons pas échouer. Le prophète Néphi nous a dit du Saint-Esprit : « Il vous montrera tout ce que vous devez faire. » Il a été prophétisé que, dans les derniers jours, le Seigneur déverserait son Esprit sur ses serviteurs et ses servantes. Cela se produira si nous prenons le temps d’être suffisamment calmes et silencieuses pour entendre la voix de l’Esprit.
Neal A. Maxwell nous a enseigné que recevoir la révélation pour notre appel et notre vie personnelle « exige un grand effort mental de notre part ». Il a ajouté : « La révélation ne s’obtient pas en appuyant sur un bouton, mais en repoussant nos limites, souvent avec l’aide du jeûne, de l’étude des Écritures et de la méditation personnelle.
« Surtout, la révélation exige de nous un niveau de droiture personnelle suffisant, de sorte que des justes reçoivent parfois des révélations sans les avoir demandées. »

VI. Conclusion
Spencer W. Kimball a dit il y a un certain nombre d’années : « Il y a une puissance dans cette organisation qui n’a pas encore été pleinement utilisée pour fortifier les foyers de Sion et pour édifier le royaume de Dieu, et qui ne le sera pas tant que les sœurs et la prêtrise n’auront pas la vision de la Société de Secours. »

La Société de Secours a été établie par le Seigneur pour organiser, instruire et inspirer ses filles à se préparer aux bénédictions de la vie éternelle. Notre but est de soutenir les femmes de l’Église dans leurs responsabilités individuelles en veillant à ce que toutes les réunions, leçons et activités que nous préparons les aident à accroître leur foi et leur droiture personnelle, à fortifier leur famille et leur foyer et à servir le Seigneur et ses enfants.
Le seul moyen d’accomplir cela est de rechercher, recevoir et appliquer la révélation personnelle. La véritable force de cette organisation mondiale de sœurs repose en chaque femme. Il se peut que nous nous considérions comme faibles et simples, mais nous partageons toutes un patrimoine noble et nous pouvons acquérir une foi égale à celle des femmes remarquables et fidèles qui nous ont précédées. Nous avons un rôle vital à jouer dans l’édification du royaume de Dieu et la préparation à la venue du Seigneur. En fait, le Seigneur ne peut pas accomplir son œuvre sans l’aide de ses filles. C’est pour cela qu’il attend de nous que nous accroissions notre offrande. Il attend de nous que nous accomplissions l’objectif de la Société de Secours comme jamais auparavant. Je suis reconnaissante de témoigner de la véracité de l’Évangile rétabli de Jésus-Christ et qu’il y a un prophète vivant qui dirige l’œuvre de Dieu. Au nom de Jésus-Christ. Amen


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LA LOI DU JEÛNE




Le Seigneur nous a donné de nombreux commandements. L'obéissance à chacun d'eux nous apporte les bénédictions promises. La loi du jeûne est l'un de ces commandements. Ceux qui suivent bien ce principe reçoivent des bénédictions.

La loi du jeûne comporte trois objectifs.

Le premier est d'apporter de l'aide aux nécessiteux en contribuant aux offrandes de jeûne par la valeur des repas dont on s'est abstenu.

Le deuxième est de favoriser le bien-être physique.

Le troisième est de développer la spiritualité en soumettant les désirs physiques et en les contrôlant.

Le président McKay nous a aidé à comprendre le jeûne quand il a dit : « Le jeûne régulier consiste à s'abstenir de manger deux repas une fois par mois ».
La valeur de ces deux repas est versée sous forme de don pour soulager ceux qui ont faim ou sont dans la misère.

Le respect sincère de cette règle est une manifestation spirituelle du principe divin du service.
La promesse du Maître, qui en résulte, est méritée : « dans la mesure où vous avez fait cela à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait: ». (Avril 1932).

Examinons brièvement le triple objectif du jeûne.

Premièrement, ceux qui répondent aux besoins des autres sont doublement bénis, ceux qui donnent et ceux qui reçoivent. Dans le véritable esprit du jeûne, nous veillerons à donner généreusement en fonction de nos moyens.

Le président Kimball nous a dit qu'au lieu de donner le montant épargné grâce au jeûne de deux repas, nous devrions donner beaucoup plus, dix fois plus, quand nous sommes à même de le faire.
Les dirigeants de la prêtrise qui ont contribué à faire bénéficier les pauvres de ces offrandes peuvent témoigner de l'inspiration divine accompagnant cette méthode de subvenir aux besoins des nécessiteux.
Deuxièmement, voyons les bienfaits physiques du jeûne. Des autorités Albert CHOULES, fils, deuxième conseiller dans la présidence de l'inter région médicales compétentes disent qu'il est bon pour le corps de jeûner de temps en temps.

Faisons preuve de bon sens quand il s'agit de femmes qui allaitent, de jeunes enfants ainsi que de personnes en mauvaise santé. Ce qu'il faut se rappeler, c'est que des bénédictions sont associées au jeûne quand nous sommes en mesure de le pratiquer. Troisièmement, et c'est peut-être ce qui compte le plus : notre esprit est affermi lorsque nous maîtrisons nos appétits physiques.

Le jeûne convenable devra toujours être accompagné de prières humbles et de soumission à la volonté de notre Père céleste. C'est pour nous l'occasion de recevoir un soutien spirituel.
Nos prières et notre foi peuvent être énormément renforcées quand nous leur associons le jeûne. De même, il est bon que nous jeûnions avec un objectif. Nous pouvons adresser nos prières à notre Père céleste en lui demandant humblement la bénédiction que nous voulons et en le remerciant pour les bénédictions que nous avons déjà.

Le surcroît de spiritualité qui résulte d'un jeûne convenable nous enseigne la différence entre le jeûne et l'abstinence de nourriture. Elle est de taille !

Les parents doivent donner le bon exemple à leurs enfants et les instruire avec bonté. Ils les aideront ainsi à comprendre que le jeûne est un honneur et une bénédiction. A mesure que les enfants mûrissent et deviennent responsables, ils peuvent apprendre à jeûner comme le Seigneur l'a demandé.

La période de jeûne et de prière facilite la méditation. En nous rapprochant de l'Esprit, nous devenons plus réceptifs à ses murmures, puisque c'est ainsi que le Seigneur s'adresse à nous. Le jeûne nous aidera à nous rapprocher de notre Père céleste. Nos prières seront plus sincères et nos pensées libérées des soucis du monde. La distance entre notre Père céleste et nous se raccourcira. Que chacun respecte la loi du jeûne et reçoive les bénédictions qui découlent de cet édit divin. Alors, « notre joie sera complète… ».


TABLEAU DES LEÇONS DU MOIS DE JUIN 2017




DATES
LEÇONS
INSTRUCTRICES

Dimanche
4 juin

La joie, celle du Christ, celle de l’Évangile
Den MICHEL
Dimanche
11 juin

Chapitre 11 :
« Le foyer, fondement d’une vie juste »

……..
Dimanche
18 juin

Chapitre 12 :
« L’obéissance : Vivons simplement l’Évangile » 

Ghislaine COUCOURDE
Dimanche
25 juin

Enseignement tiré de la conf. Générale octobre 2016 (voir Liahona de novembre)

« Si vous me connaissiez »

Sarah LEGER
Dimanche
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ANNIVERSAIRE DU MOIS DE JUIN






1er juin : Sylvie LANGEL



PIQUE NIQUE 
A LA TOURAVELLE


Au départ ce pique nique devais se tenir à La Touravelle, puis à  La Collègiale et finalement nous avons pique niqué au Parc de la Méditerranée à Six Fours (où nous avions été nous promener lorsque vous étiez venues déjeuner chez moi).

Nous étions cinq et nous nous sommes régalées.

L'endroit est très beau, le temps était parfait, et il a régné entre nous une véritable fraternité et un véritable amour chrétien.

Nous avons partagé notre pique nique (les salades de Den et de Clo, et les chocolats d'Evy et de Sergine) mais aussi de nombreux souvenirs relatifs à la Société de Secours.

Nous avons étudié, pour 12 des présidentes générales de la Société de Secours, quelques points de repères sur leur vie, les accomplissements les plus marquants réalisés sous leur présidence, et enfin quelques unes des paroles inspirées qu'elle ont pu prononcer.

Cela nous a permis de mieux voir les incroyables accomplissements de la Société de Secours tout au long de son histoire, de mesurer combien les sœurs ont de grandes capacités dans le Seigneur, et combien ces femmes remarquables ont été inspirées par l'Esprit.

Nous avons toutes été gâtées par l'Esprit car nous avons toutes été édifiées et réjouies par ce partage spirituel.

Martine GIANNESINNI








lundi 8 mai 2017

LES BENEDICTIONS VECUES GRACE AU RESPECT DU JOUR DU SABBAT



Imaginez-vous recevant l’invitation la plus importante de votre vie : l’occasion de passer une journée avec Jésus Christ. 
Comment vous prépareriez vous spirituellement et physiquement pour cette journée ? 
Quelles bénédictions espéreriez-vous recevoir suite à cette visite ?

Le Seigneur invite chacun de nous à consacrer un jour à communiquer avec lui, le jour du Sabbat, qu’il a bénit et sanctifié (voir Exode 20 : 11).

Quelles bénédictions recevez-vous quand vous sanctifiez le jour du sabbat ?

Voici quelques réflexions de saints du monde entier qui susciteront peut-être en vous des idées et des impressions.

PROXIMITÉ AVEC DIEU ET LE CHRIST

Andréa Juliao de Sao Paulo (Brésil), a découvert que, tout comme les relations avec nos amis terrestres se fortifient quand nous passons du temps ensemble, de même notre relation avec notre Père céleste se fortifie lorsque nous nous concentrons sur lui par le culte du sabbat.
Lors d’une visite à des membres de sa famille qui n’appartiennent pas à l’Eglise, sœur Juliao a décidé de se réveiller tôt le dimanche et d’essayer de trouver une église dans la région. Pendant que les membres de sa famille se préparaient pour une journée de détente et d’aventure, sœur Juliao s’est promené dans le quartier jusqu’à ce qu’elle rencontre quelqu’un qui lui a indiqué une flèche d’église au loin. Sœur Juliao a pu assister aux services de culte. Elle a dit : « ce jour de sabbat a été extraordinaire. J’ai ressenti très fort l’amour de notre Père céleste. J’ai ressenti qu’il est heureux lorsque ses enfants obéissent à ses enseignements. J’ai acquis un témoignage plus fort de l’Eglise de Jésus Christ. »

GUÉRISON ET ESPÉRANCE

Russel M. NELSON, président du Collège des douze apôtres, a dit en quoi le jour du Sabbat a été une bénédiction dans sa vie quand il débutait dans sa carrière professionnelle. Il a dit :
« je me suis fait pour la première fois un délice du sabbat il y a de nombreuses années, alors que j’étais chirurgien, lorsque j’ai constaté que ce jour était devenu un jour de guérison personnelle. A la fin de chaque semaine, mes mains étaient douloureuses à force de les frotter sans arrêt avec du savon, de l’eau et une brosse en poil. J’avais aussi besoin d’un moment de répit loin du fardeau d’un métier exigeant. Le dimanche m’offrait un soulagement indispensable. »

DU TEMPS POUR L’HISTOIRE FAMILIALE

Eliza, dix ans, qui habite Edmonton, a fait récemment un discours à la réunion de Sainte Cène sur les bénédictions qu’elle a reçues en se concentrant sur des activités qui conviennent au jour du Sabbat. Parce qu’Eliza s’ennuyait parfois le dimanche, sa famille et elle ont décidé que l’indexation serait une bonne activité à essayer. Elle n’a pas tardé à découvrir qu’elle aimait travailler avec les noms et les registres. Elle dit à l’assemblée : « Quand je commence, je n’arrive plus à m’arrêter. »

Quand l’arrière-grand-mère d’Eliza a appris combien elle aimait l’histoire familiale, elle lui a enseigné comment ajouter des histoires et des photos sur leur arbre familial en ligne. Eliza a dit : « c’est très amusant, j’aime beaucoup le faire. Quand je fais des recherches d’histoire familiale, je ressens l’esprit d’Elie. C’est un sentiment merveilleux. »

UNE ÉLÉVATION DE L'ÂME

Cheryl A. ESPLIN, 1ère conseillère dans la présidence générale de la Primaire, a témoigné de la bénédiction de prendre la Sainte Cène le jour du Sabbat. Elle a dit : Quand je prends la Sainte Cène, je pense parfois à un tableau représentant le Sauveur ressuscité tendant les bras, prêt à nous accueillir avec amour. J’aime ce tableau. Quand j’y pense pendant la distribution de la Sainte Cène, mon âme est élevée au point qu’il me semble entendre les paroles du Sauveur : « Voici, le bras de ma miséricorde est étendu vers vous, et celui qui viendra, je le recevrai ; et bénis sont ceux qui viennent à moi 3 Néphi 9:14 ».

LES OCCASIONS DE SERVIR

L. Tom PERRY, du collège des douze apôtres, a enseigné que l’une des raisons pour lesquelles nous avons besoin de nous reposer de nos labeurs et de nos activités sportives ou d’autres passe temps est qu’ils nous éloignent du culte du jour du sabbat et de l’occasion de servir les autres.

Servir pendant le jour du sabbat est quelque chose que Zola Adjei a appris à aimer en grandissant dans la branche de Kpong au Ghana. Alors qu’ils étaient chez eux de retour de l’internant durant les étés, d’autres jeunes et elles allaient en groupe rendre visite aux membres de leur branche qu’ils n’avaient pas vu depuis un certain temps. 
Sœur Adjei dit : « c’était un sacrifice parce que la plupart d’entre nous avaient très faim après l’église, et nous étions si loin de chez nous que nous n’avions pas le temps de manger et de nous réunir à nouveau. »  
Mais le sacrifice en valait la peine car ils ont eu l’occasion de prier et de chanter des cantiques avec les membres de leur branche et les inviter à l’église et aux activités. Un des jeunes leur proposait de marcher avec eux jusqu’à l’église le dimanche suivant.

Sœur Adjei explique : « Cette habitude a créé des liens entre nous. Certains d’entre nous sont restés très amis grâce aux décisions que nous avons prises de rendre visite à nos amis perdus et de les ramener en leur consacrant quelques heures de notre jour de sabbat. »



lundi 1 mai 2017

CONSÉCRATION DU TEMPLE DE PARIS



DIMANCHE 21 MAI 2017






Aucune réunion ne se fera à la 
chapelle de Toulon

Vous pouvez vous rendre dans les paroisses suivantes :

Nice - Marseille - Avignon ou  Saint Raphaël



Il y aura 3 sessions

à 9 heures 
la cession de consécration dirigée par Henry B. Eyring
(les autres cessions auront différents orateurs)

à 11 heures

à 13 heures

N'oubliez pas de vous munir de votre "carte verte" pour pouvoir assister aux différentes cessions même si vous avez une recommandation valide. La carte verte vous sera remise par l’Épiscopat.

Veuillez également venir avec un mouchoir blanc.

Prenez contact avec l'Episcopat si vous avez besoin d'un 
co-voiturage




JOURNAL DU MOIS DE MAI 2017

DES PENSÉES ET DES ACTES PURS




Le président Hinckley a recommandé aux saints des derniers jours : « Élevez-vous au-dessus des maux de ce monde. »

Même lorsqu’il nous rappelle qu’il « est difficile de travailler dans le monde et de vivre au-dessus de ses impuretés », il nous demande aussi « d’être forts » et de « laisser notre intégrité personnelle . . . gouverner nos actions ». Il réaffirme ainsi l’exhortation du Seigneur de « continuellement pratiquer la vertu et la sainteté devant lui » (D & A 46 :33).


MAÎTRISER NOS PENSÉES

Une vie pure est la conséquence de pensées pures. David O. McKay (1873-1970) a souligné ce processus : « Qui sème une pensée récolte un acte ; « Qui sème un acte récolte une habitude ; « Qui sème une habitude récolte une personnalité ; « Qui sème une personnalité récolte un destin éternel. ».
On ne peut pas toujours empêcher les mauvaises pensées d’entrer dans son esprit, mais on peut les empêcher d’y rester. Alors qu’il était conseiller dans l’Episcopat président, frère Peterson nous a donné un conseil important :

« Premièrement, nous devons arrêter l’afflux . . . d’histoires, de blagues, d’images, de conversations vulgaires et d’une myriade d’autres produits sataniques vers notre esprit. . .

« Ensuite, partant de l’idée que nous avons arrêté ce flux - je ne dis pas diminué, mais bien arrêté - ce que nous devons alors élaborer, c’est un système de filtrage qui purifiera le grand réservoir de notre esprit, afin que les pensées vivifiantes qui en sortent puissent de nouveau être pures et adaptées à nos besoins. . .. « Quelle que soit l’impureté, le secret pour en purifier notre esprit n ’est pas très compliqué. Il commence par la prière chaque matin et finit par la prière chaque soir. Dans le processus de purification, c’est l’étape la plus importante que je connaisse. . ..

« Deuxièmement, on ajoutera au processus de purification un affinage supplémentaire, un surcroît de pureté spirituelle, pour ainsi dire, par l’étude quotidienne des Écritures, pas forcément longtemps, mais chaque jour. . ..

« Troisièmement, nourrissez votre esprit en faisant aux autres du bien sans qu’ils l’attendent. Cela peut être quelque chose de simple, mais faites-le . . . chaque jour. Il peut s’agir d’un < bonjour > joyeux, d ’une courte visite à quelqu’un astreint à rester à son domicile, d ’un coup de téléphone ou d’un petit mot. . ..

« Quatrièmement, choisissez un commandement que vous avez encore des difficultés à respecter et efforcez-vous sincèrement de le suivre pour en recevoir les bénédictions ».


L'AIDE DU SAINT-ESPRIT

Dans nos efforts pour développer notre spiritualité, le troisième membre de la divinité peut être un compagnon de choix. Sœur Dew, deuxième conseillère dans la présidence générale de la Société de Secours, explique : « Le Saint-Esprit . . . nous aide à surmonter nos faiblesses et à résister à la tentation ; il inspire l’humilité et le repentir ; il nous guide et nous protège de façon miraculeuse ; et il nous donne la sagesse, des encouragements divins, la paix de l’esprit, le désir de changer ».


En suivant l’Esprit et en faisant les efforts nécessaires pour obéir aux commandements du Seigneur, nous progressons régulièrement vers une pureté personnelle qui se traduit par des pensées et une conduite semblables à celles du Christ. Nous avançons vers la récompense suprême, promise par le Sauveur lui-même, lorsqu’il a dit : « Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu » (Matthieu 5 :8).

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L’INTÉGRITÉ




Vous n ’êtes peut-être pas très sûrs de la signification de ce mot, mais vous savez que vous êtes censés posséder cette qualité.
Etre intègre signifie en fait agir selon ses croyances. Cela signifie avoir le courage de faire ce qui est bien, même lorsque personne ne regarde. Cela signifie être honnête avec soi-même.

Par exemple, Joseph a fait preuve d’intégrité en résistant aux avances de la femme de Potiphar. Il a fait ce qui était bien dans une situation difficile. (Voir Genèse 39 :7-12.) Chaque fois que vous faites le bien, votre intégrité personnelle grandit.
Voici quelques moyens de pratiquer l’intégrité :

Si vous travaillez, fournissez une honnête heure de travail à chaque heure payée.

Si vous avez promis d’être quelque part à une certaine heure, soyez-y.

Rendez ce que vous avez emprunté (voir Mosiah 4:28).

Tenez vos promesses. Faites ce que vous avez dit.

Abstenez-vous de critiquer. N ’écoutez pas et ne répétez pas les commérages.

Soyez dignes de confiance. Faites vos tâches et votre travail scolaire sans qu’on vous le rappelle.

Respectez toutes les lois, y compris les limites de vitesse et la réglementation sur les ceintures de sécurité.

Soyez honnêtes dans votre travail scolaire. Ne trichez jamais.

Lorsque vous avez tort, reconnaissez-le. Présentez vos excuses à ceux que vous avez pu blesser.

Utilisez votre argent de manière responsable.

Lorsquune erreur est commise en votre faveur (dans un magasin, à la banque, etc.) rectifiez-la aussi rapidement que possible.

Dites la vérité. Évitez même les pieux mensonges et les demi-vérités. Manifestez-vous lorsque votre silence pourrait faire croire à quelqu’un que quelque chose n ’est pas vrai.

Ne laissez jamais personne vous persuader de faire quelque chose que vous savez être mal.

Lisez Mosiah 18 :8-10. Pendant la Sainte-Cène et tout au long de la semaine, rappelez-vous de garder les promesses que vous avez faites à votre baptême. 


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RÉPONSES AUX PRIÈRES



Cette question est souvent posée par ceux qui ont prié et n’ont pas reçu ce qu’ils attendaient, ou qui n’ont pas eu l’impression de recevoir le réconfort ou l’aide dont ils avaient besoin lors de périodes difficiles. Différents aspects de l’évangile doivent être étudiés pour comprendre la raison pour laquelle cela se produit.
Il est important de se souvenir que nous ne contrôlons pas Dieu, nous ne le contrôlons jamais sans grande souffrance. Dans les premiers temps de l’Eglise Mormone, le scribe de Joseph Smith voulait emporter les 116 pages de la traduction du Livre de Mormon pour le montrer à sa famille. 
Joseph a prié et il a compris qu’il ne devait pas le laisser faire cela. Pourtant, le scribe a continué à le supplier de le laisser emporter le Livre de Mormon, alors Joseph a lui aussi continué à prier Dieu, en espérant qu’il changerait d’avis. 
Au final, Dieu leur a dit qu’ils pouvaient l’emporter, puisqu’il était clair qu’ils désiraient le faire. Le scribe a alors emporté le manuscrit chez lui, et le manuscrit a été dérobé. Les deux hommes ont ensuite réalisé qu’ils devaient se repentir de leurs actes et décisions. C’est alors que Joseph Smith a appris à ne pas embêter Dieu. Dieu est parfait et Sa première réponse devrait être suffisante. Dieu savait ce qui arriverait, eux ne le savaient pas.

Dieu voit bien plus loin dans le temps que nous. Lorsque nous prenons des décisions en fonction de ce qui se produit dans le présent, et de ce que nous croyons qu’il se produira dans le futur, Dieu voit bien plus grand que cela. Il existe sûrement des conséquences, dans le futur, que nous n’arrivons à percevoir. Lorsque nous prions, nous souhaitons toujours que la volonté de Dieu soit faite. Il souhaite que nous lui dévoilions ce que nous avons sur le cœur, mais nous devons garder à l’esprit qu’il est possible que nous ne recevions pas ce que nous avons demandé. Dieu répond toujours à nos prières : Oui, Non, ou pas encore. Dieu répond toujours aux prières de la meilleure façon qui convienne à chacun. Et quelques fois, il arrive qu’autrui soit affecté par nos actes et décisions, aussi les besoins d’autrui sont aussi pris en considération.
Cela peut être contrariant lorsque nous sommes certains de ce qui est bon pour nous et que Dieu ne nous offre pas ce que nous attendons. Peut être que cette période de doute se révélera positive dans le futur. Tous les décès ne peuvent pas être évités, parce que nous devons tous mourir, et seul Dieu connaît le temps de notre mort. Toute la tristesse et la souffrance ne peuvent être évitées si nous voulons grandir et progresser, et développer notre foi.
Pour qu’il soit plus facile d’accepter la volonté de Dieu, nous devons entretenir une relation personnelle proche avec lui. Nous devons consacrer du temps à la prière, et étudier bien avant que la crise ne survienne, de façon à pouvoir reconnaître Sa « voix ». Cela implique donc qu’il nous parle d’une façon compréhensible pour nous, au sens figuré du terme. Nous devons reconnaître lorsque ce que nous ressentons et ce que nous traversons provient de Dieu. Et afin de le savoir, nous devons passer du temps avec Dieu au travers de la prière, de l’étude des écritures saintes, et de la contemplation.

ELLE S’EST TOURNÉE VERS MOI – DEL PARSON

Bâtir une relation de confiance est aussi important. Cela prend du temps d’offrir sa confiance à autrui, et nous de pouvons pas attendre de traverser une crise pour développer notre foi. Au fil du temps, nous apprenons à reconnaître l’influence de Dieu dans nos vies, et nous nous rendons compte qu’il prend toujours les bonnes décisions pour nous, c’est alors que nous commençons à lui faire confiance, et nous comprenons que ce qu’il décide est toujours dans notre meilleur intérêt. Ensuite, lorsque des problèmes plus sérieux surviennent, nous sommes capables de nous tourner vers lui, nous nous sentons en sécurité et aimés.
Lorsque nous avons l’impression que Dieu est absent, dans les moments les plus critiques de nos vies, c’est simplement parce que nous n’arrivons pas à le voir. Il est toujours présent, mais si nous ne le connaissons pas suffisamment, nous ne serons pas capables de le voir, et nous ne serons pas capable de ressentir le réconfort qu’il nous offre au travers de l’Esprit Saint. Ce réconfort nous parvient seulement lorsque nous avons appris à faire confiance à Dieu, après avoir pris le temps de s’asseoir et de sentir sa présence. Cela, même lorsqu’Il n’accomplit pas notre volonté. Le test de la foi ne consiste pas à forcer Dieu à accomplir notre volonté, il consiste à vouloir et accepter que Sa volonté soit faite.

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Un peu de savoir
Richard L. E vans.




On a souvent observé qu’un peu de savoir peut être dangereux. Mais si un peu de savoir est dangereux, un peu d’ignorance est aussi chose dangereuse, et à plus forte raison beaucoup d’ignorance. 
Le savoir aussi bien que l’ignorance sont dangereux lorsqu’ils s’accompagnent de vanité. 
Pour avoir quelque idée de notre peu de savoir, en comparaison de l’énorme quantité de choses qu’il faudrait connaître, commençons par examiner une grande bibliothèque, où sur d’innombrables rayons reposent une masse de livres qu’aucun homme ne peut lire tous dans sa vie. 
On se demande parfois comment les hommes du temps passé et du temps présent ont pu avoir le temps et les capacités de les écrire. 
Il y a dans nos bibliothèques des milliers de titres. Ajoutez-y les autres livres, dans toutes les langues, qui se trouvent dans toutes les bibliothèques du monde ; ajoutez-y tout ce qui a été écrit et perdu dans les siècles écoulés et vous commencerez à avoir quelque idée du peu que nous savons de ce que tous les hommes ont pensé ou connu ou de ce qu’ils ont cru connaître. 
Ajoutez ensuite à cela tout ce qu’il y a à apprendre et qui ne se trouve pas dans les livres ; et ajoutez à cela toutes les questions auxquelles aucun homme ne peut répondre, toutes les choses qu’-aucun homme ne peut accomplir, et vous commencerez à avoir quelque idée de l’obligation d’être humble. 
Quelle merveille que l’esprit humain ! 
Quelles sont merveilleuses les choses que les hommes ont faites !  
Mais combien plus merveilleux encore l’intelligence et le pouvoir de celui qui nous a faits à son image, et qui a fait tant de choses qui dépassent la compréhension de l’esprit humain. 
Comme l’a dit Montaigne : « Nous ne pouvons même pas faire un vers ». Nous sommes comme des enfants en présence de vérités si profondes et si inaccessibles que vraiment toute vanité à propos de notre prétendu savoir est bien mal placée. 
Nous pouvons donner quelques réponses aux problèmes, et nous nous figurons pouvoir aller encore plus loin ; mais il y a tant de choses que nous ignorons, tant de choses devant lesquelles la masse des hommes reste impuissante, tant de choses qu’il nous faut accepter de confiance, tant de choses que nous ne pouvons connaître que par un acte de foi ! Aussi ceux qui sortent aujourd’hui des palais de la science, et ceux qui y sont encore studieusement occupés, feraient bien de se persuader (comme nous tous) de la maxime de la Bible : « Marche humblement devant Dieu »