dimanche 31 décembre 2017

LES BENEDICTIONS DE L’OBÉISSANCE


« La plus grande leçon que nous puissions apprendre dans la condition mortelle est que, lorsque Dieu parle et que nous obéissons, nous avons toujours raison. »
Nous sommes également bénis. Comme frère Monson l’a dit au cours d’une récente conférence générale, « si nous respectons les commandements, notre vie sera plus heureuse, plus enrichissante et moins compliquée. Nos difficultés et nos problèmes seront plus faciles à supporter et nous recevrons les bénédictions que notre Père céleste a promises ».
Dans ces extraits des enseignements qu’il a donnés depuis qu’il est président de l’Église, Thomas S. Monson nous rappelle que l’obéissance aux commandements est le plus sûr moyen d’accéder au bonheur et à la paix.
Directives pour le voyage dans la condition mortelle
« Les commandements de Dieu ne nous ont pas été donnés pour nous affliger ou pour devenir des obstacles à notre bonheur. C’est tout le contraire. Celui qui nous a créés et qui nous aime d’un amour parfait sait exactement comment nous devons mener notre vie afin d’obtenir le plus grand bonheur possible. Il nous a donné des directives qui, si nous les suivons, nous aideront à réussir ce voyage dans la condition mortelle si souvent semé d’embûches. Rappelons-nous les paroles du cantique bien connu : ‘Pour trouver la paix.’ Pour trouver la paix et la sérénité, gardons les commandements. »
La force et la connaissance
« L’obéissance est la caractéristique principale des prophètes ; elle leur a fourni la force et la connaissance au fil des siècles. Il est indispensable que nous prenions conscience que, nous aussi, nous avons droit à cette source de force et de connaissance. Elle est facilement accessible à chacun de nous aujourd’hui si nous obéissons aux commandements de Dieu.
La connaissance que nous recherchons, les réponses auxquelles nous aspirons ardemment et la force que nous désirons aujourd’hui pour affronter les difficultés d’un monde complexe et changeant peuvent être nôtres si nous sommes disposés à obéir aux commandements du Seigneur. »
Choisir d’obéir
« La tendance générale de notre époque est la permissivité. Les magazines et les émissions de télévision montrent les stars du cinéma, les héros du stade, que de nombreux jeunes aspirent à imiter, mépriser les lois de Dieu et faire étalage de comportements pécheurs, apparemment sans conséquences néfastes. Ne les croyez pas ! Il y a un temps pour les comptes, et même une remise à zéro du solde de notre compte. Toutes les cendrillons ont leur minuit ; si ce n’est dans cette vie, ce sera dans la prochaine. Le jour du jugement viendra pour tous. […] Je vous supplie de choisir d’obéir. »
La force et la paix
« Il se peut que vous ayez parfois l’impression que les gens qui sont dans le monde s’amusent bien plus que vous. Certains d’entre vous ont peut-être le sentiment d’être restreints par le code de conduite auquel nous adhérons dans l’Église. Mes frères et sœurs, je vous affirme, pourtant, qu’il n’y a rien qui puisse nous apporter davantage de joie dans la vie ni de paix en notre âme que l’Esprit, qui peut nous accompagner si nous suivons le Sauveur et respectons ses commandements. »
Être fidèle
« Je vous témoigne que les bénédictions qui nous sont promises sont au-delà de toute mesure. Même si les nuages annonciateurs d’orage se rassemblent, même si la pluie se déverse sur nous, notre connaissance de l’Évangile et notre amour de notre Père céleste et de notre Sauveur nous consoleront, nous soutiendront et nous apporteront la joie au cœur si nous sommes fidèles et si nous respectons les commandements. Rien dans ce monde ne pourra nous vaincre. »
Suivre le Sauveur
« Qui était cet ‘homme de douleur habitué à la souffrance ?
Qui est ce Roi de gloire, ce Seigneur des seigneurs’ ?
Il est notre Maître. Il est notre Sauveur. Il est le Fils de Dieu. Il est l’Auteur de notre salut. Il nous dit : ‘Suivez-moi.’ Il commande : ‘Va, et toi, fais de même.’ Il supplie : ‘Gardez mes commandements.’
« Suivons-le. Suivons son exemple. Obéissons à sa parole. Ce faisant, nous lui ferons le don divin de la reconnaissance. »

Le président Monson nous rappelle les nombreuses bénédictions que nous pouvons recevoir si nous sommes obéissants, telles que la force, la connaissance, la joie et la paix. Demandez aux personnes que vous instruisez comment elles ont été bénies en respectant les commandements. Vous pouvez les inciter à continuer à réfléchir à ces bénédictions et à écrire leurs pensées et leurs expériences dans un journal. Vous pouvez aussi les inviter à montrer de la gratitude envers Dieu en continuant à être obéissantes.


EN PRIANT....




En priant, nous communiquons vraiment avec notre Père céleste. 

Il est facile de laisser nos prières devenir répétitives, exprimant des mots avec peu ou pas de pensée derrière eux. Quand nous nous souvenons que chacun de nous est littéralement un fils ou une fille d'esprit de Dieu, nous ne trouverons pas difficile de l'exprimer dans la prière.

Il nous connaît; Il nous aime; Il veut ce qu'il y a de mieux pour nous. 
Prions avec sincérité et sens, offrons nos remerciements et demandons les choses dont nous pensons avoir besoin. 

Écoutons ses réponses, afin que nous les reconnaissions quand elles viendront. 

En le faisant, nous serons fortifiés et bénis. Nous viendrons à le connaître Lui et Ses désirs pour nos vies.



En le connaissant, en faisant confiance à sa volonté, nos fondements de foi seront renforcés.

Si l'un de nous a été lent à écouter le conseil de toujours prier , il n'y a pas d'heure plus belle pour commencer que maintenant. 

William Cowper a déclaré: "Satan tremble quand il voit le plus faible des saints sur ses genoux."

https://www.lds.org/general-confer…/…/how-firm-a-foundation…

samedi 30 décembre 2017

CHERCHER LE CHRIST A NOËL

À toutes les personnes qui souhaitent comprendre qui nous sommes, nous, les membres de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, je propose comme point de départ ces quelques mots : nous recherchons le Christ.
Nous cherchons à connaître le Christ et ses enseignements. À le suivre. À devenir davantage semblables à lui.
Tous les jours, tout au long de l’année, nous le recherchons. Mais c’est en particulier au moment de Noël, lorsque nous célébrons la naissance de notre Sauveur bien-aimé, que nous avons le cœur plus que jamais tourné vers lui.
Dans le cadre de nos préparatifs pour célébrer cette fête, réfléchissons à la manière dont les personnes qui vivaient il y a deux millénaires étaient préparées pour accueillir l’arrivée du Sauveur.
Les bergers
Nous ne savons pas grand-chose des bergers, seulement qu’ils « passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux ». Ils étaient très probablement des gens assez ordinaires, comme beaucoup d’âmes méritantes qui passent leurs journées à gagner leur vie.
Ils pourraient représenter les personnes qui, à un moment donné, ne recherchaient pas activement le Christ, mais dont le cœur a changé lorsque les cieux se sont ouverts et que le Christ leur a été proclamé.
Ce sont eux qui, après avoir entendu la voix des messagers célestes, se sont immédiatement rendus à Bethléhem car ils voulaient voir.

Les rois mages
Les rois mages étaient des intellectuels qui avaient étudié l’avènement du Messie, le Fils de Dieu. Grâce à leur savoir, ils découvrirent les signes qui indiquaient sa naissance. Lorsqu’ils les reconnurent, ils quittèrent leur foyer et se rendirent à Jérusalem, demandant : « Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? »
Leur connaissance du Christ n’est pas restée uniquement académique. Une fois qu’ils ont vu les signes de sa naissance, ils ont agi. Ils sont partis à la recherche du Christ.
Les rois mages pourraient représenter les personnes qui recherchent le Christ par l’étude intellectuelle. Leur dévouement à la vérité finit par les amener à trouver le Christ et à l’adorer en qualité de Roi des rois, de Sauveur de l’humanité.

Siméon et Anne
Siméon et Anne pourraient représenter les personnes qui recherchent le Christ par l’Esprit. Ces âmes merveilleuses étaient profondément religieuses et, par le jeûne, la prière et une vie de dévotion et d’obéissance, elles attendaient avec impatience de voir le jour de la venue du Fils de Dieu.
Avec fidélité, humilité et foi, elles attendaient patiemment la venue du Sauveur.
Finalement, leur fidélité fut récompensée lorsque Marie et Joseph leur présentèrent le bébé qui prendrait un jour sur lui les péchés de l’humanité.

Les croyants parmi les Néphites et les Lamanites
L’histoire touchante de la manière dont les croyants du Nouveau Monde guettèrent les signes de la naissance du Sauveur se trouve dans le Livre de Mormon.
Vous vous rappelez que les gens qui avaient foi au Christ subissaient moqueries et persécutions. Les beaux esprits de cette époque accusaient les croyants de se cramponner à des superstitions insensées. En fait, les moqueries des non-croyants étaient tellement bruyantes qu’ils causèrent « un grand tumulte » dans le pays (3 Néphi 1:7). Ils se gaussèrent de ceux qui croyaient que le Sauveur allait naître.
Leur rage devint tellement intense qu’ils furent obsédés par l’idée de faire taire une bonne fois pour toutes tous ceux qui croyaient au Sauveur. Le Livre de Mormon rapporte cette décision dramatique.
Les croyants qui vivaient à cette époque pourraient représenter les personnes qui recherchent le Christ même lorsque les gens rient, se moquent et persiflent. Ils le recherchent même lorsqu’on tente de les caricaturer comme des frustes, des primaires ou des naïfs.
Mais le mépris dont les autres font preuve ne décourage pas les véritables croyants de rechercher le Christ.
Nous recherchons le Christ
Tout au long de l’année, et peut-être particulièrement en cette période de Noël, il serait utile de nous poser, une fois de plus, la question : « Comment est-ce que je recherche le Christ ? »
Pendant une période difficile de sa vie, le grand roi David écrivit : « O Dieu ! Tu es mon Dieu, je te cherche ; mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi. »
Peut-être que cette disposition à rechercher Dieu fut l’une des raisons pour lesquelles David fut décrit comme étant un homme selon le cœur de Dieu.
Pendant cette période de Noël et tout au long de l’année, puissions-nous rechercher avec notre cœur et avec notre âme notre Sauveur bien-aimé, le Prince de la paix, le Saint d’Israël. Car ce désir, pur une grande part, nous définit non seulement en tant que membres de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours mais, plus encore, en tant que disciples du Christ.


dimanche 24 décembre 2017

LEÇONS DU MOIS DE JANVIER 2018


TITRE DES LEÇONS



Dimanche 7 Janvier

« Apprendre à la manière des disciples »
Conseil de la Société de Secours


Dimanche 14 Janvier

"Les besoins sous nos yeux"
de Bonnie L.Oscarson
Liahona d'octobre 2017

Par Brigitte Boutin

Dimanche 21 Janvier


« Faites briller votre lumière » 
de Sharon Eubank
Liahona d'octobre 2017

ParGhislaine Coucourde


Dimanche 28 Janvier


« Le jour de Sabbat »
D & A 9 et 10 

Par Sarah LEGER


ANNIVERSAIRE DE JANVIER






4 Corine RODRIGUEZ
15 Marguerite MEYNARD
21 Anne-Laure DURAND
21 Isabelle DURAND
29 Micheline RUTILY
31 Sophie BOUTIN 

dimanche 10 décembre 2017

Brillez









GLOIRE AU SEIGNEUR DANS LES HAUTS LIEUX



Sept cents ans avant la naissance de Jésus-Christ à Bethléem, en Judée, le prophète Ésaïe déclara : « Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d’Emmanuel » (Ésaïe 7:14).


Cent vingt-cinq ans avant la naissance du Sauveur, le roi Benjamin prophétisa : « Il sera appelé Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le Père du ciel et de la terre, le Créateur de tout depuis le commencement ; et sa mère sera appelée Marie » (Mosiah 3:8).
La veille de la naissance de Jésus, Néphi, le fils de Néphi, entendit une voix disant : « Demain je viens au monde » (3 Néphi 1:13).
Le lendemain, au-delà des mers, l’enfant Christ naquit. Il ne fait aucun doute que sa mère, Marie, regarda avec émerveillement son fils nouveau-né, le Fils unique du Père dans la chair.
Luc nous dit que, sur les collines de Judée qui entouraient Bethléem, des bergers restaient dans leurs champs (voir Luc 2:8). Ils étaient « des hommes justes et saints » (voir Alma 13:26) qui témoigneraient de l’enfant Christ.
« Et voici, un ange du Seigneur leur apparut, et la gloire du Seigneur resplendit autour d’eux. Ils furent saisis d’une grande frayeur.
« Mais l’ange leur dit : Ne craignez point ; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie :
« c’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. 
« Et soudain il se joignit à l’ange une multitude de l’armée céleste, louant Dieu et disant :
« Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, et paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée ! » (Luc 2:9-11, 13-14).
Imaginez cette scène en Judée : le ciel rempli de l’éclat d’une étoile magnifique, et des chœurs célestes célébrant cet événement unique. Les bergers partirent ensuite « en hâte » (Luc 2:16) voir le bébé couché dans une crèche. Plus tard, « ils racontèrent » (Luc 2:17) ce qu’ils avaient entendu et vu.
Chaque année à Noël, nous ajoutons notre témoignage à celui des bergers : que Jésus-Christ, le Fils littéral du Dieu vivant, est venu dans un coin du monde que nous appelons la Terre Sainte.
Avec respect, les bergers se sont rendus à l’étable pour adorer le Roi des rois. 
Comment allons-nous l’adorer en cette période ? 
En faisant des achats sans fin ? 
En nous agitant chez nous pour décorer et empaqueter ? 
Sera-ce là notre hommage à notre Sauveur ? 
Ou bien allons-nous apaiser des cœurs troublés, faire preuve de bienveillance envers des personnes qui ont besoin d’objectifs plus élevés, rendre gloire à Dieu en étant disposés à faire sa volonté ?
Jésus l’a formulé simplement : « Viens, et suis-moi » (Luc 18:22).
L’Évangile de Jésus-Christ, rétabli par l’intermédiaire de Joseph Smith, le prophète, trouve un écho chez des croyants dans le monde entier. J’ai moi-même été témoin de la ferveur de ceux des îles de la mer jusqu’à ceux de l’immense Russie qui ont embrassé la parole sacré du Sauveur.
Le message de Noël

Parmi les premiers saints qui se sont rassemblés en Sion se trouvait Hannah Last Cornaby, qui s’est installée à Spanish Fork (Utah, États-Unis). Pendant les premiers temps difficiles de l’Église rétablie, on célébrait parfois Noël avec une orange précieuse ou un jouet sculpté ou peut-être uniquement avec une poupée de chiffon, mais pas toujours. Le 25 décembre 1856, Hannah écrivit :
« La veille de Noël arriva et mes chéris, avec leur foi
enfantine, pendirent leurs chaussettes, se demandant si elles seraient garnies. Le cœur serré, ce que je leur cachais, je leur assurai qu’ils ne seraient pas oubliés, et ils s’endormirent dans l’attente joyeuse du lendemain.
N’ayant pas la moindre particule de sucre, je ne savais quoi faire. Cependant ils ne devaient pas être déçus. Je pensai alors à des courges que j’avais à la maison et que je fis bouillir. J’en filtrai ensuite le liquide qui, après avoir frémi quelques heures, devint du sirop. En l’additionnant de quelques épices, j’en fis une pâte que je découpai de toutes les formes possibles et que je fis cuire dans une poêle (je n’avais pas de cuisinière). J’en remplis leurs chaussettes, ce qui les réjouit autant qu’auraient pu le faire les confiseries les plus élaborées. »
Entre les lignes de cette histoire on découvre une mère qui a travaillé toute la nuit sans même une cuisinière pour lui faciliter la tâche. Pourtant, elle était déterminée à procurer de la joie à ses enfants, à renforcer leur foi, à affirmer chez eux : « Heureux jour ! Tout est bien ! » N’est-ce pas là le message de Noël ?
Le président Monson a enseigné : « Les occasions de donner de nous-mêmes sont en effet sans limites, mais elles sont également fugaces. Il y a des cœurs à réjouir, des paroles gentilles à dire. Il y a des dons à faire. »
Chaque fois que nous agissons de concert avec le Seigneur (en faisant sa volonté et en édifiant les personnes de notre entourage), nous témoignons qu’il vit et qu’il nous aime, quelles que soient nos difficultés matérielles.
Une manière simple de faire changer les choses est de participer à la campagne annuelle de Noël de l’Église sur les réseaux sociaux. Cette campagne est conçue pour aider les saints (et les enfants de Dieu du monde entier) à se concentrer sur le Sauveur. Cette année, l’Église lance une autre initiative à l’échelle mondiale pour célébrer la naissance du Christ. Il s’agit d’inciter les gens à suivre son exemple en servant les autres pendant la période de Noël.
L’Église reprend le thème de l’année dernière : « Éclairez le monde », qui a connu un grand succès (voir Mormon.org). Le thème est tiré de Jean 8:12, qui dit : « Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. »
La campagne comprend un calendrier de l’avent et des versets d’ Écritures en rapport avec le thème qui donnent aux gens des idées pour servir et transmettre la lumière de Noël.
Le président Monson a dit : « À chacun de nous qui sommes venus sur terre, la Lumière du Christ a été donnée. Si nous suivons l’exemple du Sauveur et calquons notre vie sur la sienne et sur ses enseignements, cette lumière brûlera en nous et éclairera le chemin pour les autres. »
Nous parvenons à connaître le Sauveur en faisant ce qu’il a fait. En servant les autres, nous les rapprochons (et nous nous rapprochons aussi) de lui.
Je rends témoignage que notre Père éternel vit. Son plan du bonheur bénit grandement chacun de ses enfants dans toutes les générations. Je sais que son Fils bien-aimé, Jésus-Christ, le bébé né à Bethléem, est le Sauveur et le Rédempteur du monde.
Ces paroles de louanges résonnent à mes oreilles comme des paroles de vérité : « Gloire au Seigneur dans les lieux très hauts ! Douce paix, viens nous des cieux ! »

dimanche 3 décembre 2017

ÉCLAIREZ LE MONDE







Aucune période de l'année n'est plus lumineuse que celle de Noël, et la plus brillante des lumières est Jésus-Christ, la lumière du monde.
A nouveau, nous célébrons sa naissance en faisant de Noël une période de service.
Joignez-vous à nous cette année tandis que nous tirons des leçons de ses enseignements, suivons son exemple, et que nous aidons à Éclairer Le Monde.

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ANNIVERSAIRE DU MOIS DE DÉCEMBRE




                         


18 Déborah TIAEHAU

22 Martine GIANNESINI

31 Véronique GHIGLIONE

LEÇONS DU MOIS DE DÉCEMBRE 2017

DATES
LECONS
INSTRUCTRICES

Dimanche
3 décembre

Chapitre 23 :
« Les bénédictions du Saint Temple »

Par la Josseline LECROCQ
Dimanche
10 décembre

Chapitre 24 :
« L’expiation de Jésus Christ : infinie dans sa portée, intime dans ses effets »

Ghislaine COUCOURDE
Dimanche
17 décembre

Chapitre 25 :
« Allez de l’avant avec foi » 

Brigitte BOUTIN
Dimanche
24 décembre

Enseignement tiré de la conf. Générale Avril 2017
« Gentillesse, charité et amour »
Thomas S. MONSON

Sarah LEGER
Dimanche
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