Le temple est une maison de
connaissance
La plus grande partie de l'enseignement dispensé dans les temples
est symbolique et est donnée par l'Esprit. Cela signifie que nous sommes
instruits d'en-haut...Notre compréhension de la signification des ordonnances
et des alliances augmente si nous retournons souvent au temple avec une
attitude de recherche de connaissances et de méditation au sujet des vérité
éternelles qui y sont enseignées...
Faisons le nécessaire pour bénéficier
de la force spirituelle et de la révélation que nous recevons en allant au
temple régulièrement." (Silvia H. Allred - 1° conseillère dans la
Présidence générale de la Société de Secours)
"Vivre en ces derniers jours
n'est pas une bénédiction ordinaire. C'est une époque glorieuse, prévue par les
prophètes de jadis et sur laquelle veille une armée d'anges. Le Seigneur se
souvient de son Eglise. Il se souvient aussi des personnes qui (...) suivent
les chuchotements du Saint-Esprit et se joignent à leurs frères et sœurs,
partout dans le monde, pour promouvoir cette grande œuvre." (Dieter. Uchtdorf)
"Par sa réalité, la résurrection
donne à tout un chacun la paix qui surpasse toute intelligence. Elle réconforte
les personnes dont les êtres chers reposent dans les [cimetières]. C'est une vérité
universelle.
Moi, le moindre de ses disciples, je
rends témoignage que la mort a été vaincue, que la victoire sur le tombeau a
été remportée. Puissent les paroles qu'il a rendu sacrées, lui qui les a
accomplies, devenir une connaissance réelle pour tous. Souvenez-vous-en.
Chérissez-les. Honorez-les.
Il est ressuscité." (Thomas S. Monson).
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Problèmes et repentir
L’appel au repentir n’a jamais été populaire.
Les prophètes du temps passé ont été persécutés et emprisonnés, bannis et
brûlés parce qu’ils avaient appelé le peuple au repentir, peut-être parce que,
lorsqu’on proclame le principe du repentir, on a l’air de condamner les autres,
et peut- être parce que les autres n’aiment pas qu’on leur rappelle qu’ils ont
fait des choses qu’ils n ’auraient pas dû faire. (Il est désagréable d’avoir à
penser à ses fautes.)
Donc,
historiquement, on prend mal les objurgations de ceux qui vous appellent au
repentir. Mais le repentir est la base essentielle de l’existence et il en sera
ainsi tant que les gens ne seront pas parfaits. Très bien.
Mais,
en ce monde, nous avons souvent de graves préoccupations et de grands ennuis.
Il n’y a pas à dire que nous y échapperons.
Venir
prêcher le repentir, ce n’est pas le moyen de se faire bien voir. Mais, sans
colère, sans accusation contre qui que ce soit, considérons certaines des
choses que quelques-uns d’entre nous, comme individus ou comme membre de tel ou
tel groupe, pourrions admettre comme ouvrant des possibilités de repentir.
Ne
pourrions-nous éprouver du repentir pour le cynisme, la déception, la vanité,
le manque de sincérité ?
Ne
pourrions-nous nous repentir de la sensualité ou des excès ?
Ne
pourrions-nous nous repentir de la prodigalité ou du gaspillage ?
Du
langage profane, inconvenant ou irrévérent ?
Du
faux orgueil ou de la vantardise ?
Du
refus d’envisager les faits ?
De
l’indolence, de la paresse, de la mauvaise volonté de travailler ?
D
’accueillir de fausses doctrines ?
Et
on pourrait beaucoup allonger la liste. Repentons-nous partout où il y a lieu
de nous repentir. Il n’y a pas un problème auquel nous ayons à faire face, pas
une situation embarrassante où nous nous soyons engagés, que le repentir, la
prière, l’effort consenti et l’accord des bonnes volontés ne puisse résoudre.
Mais,
pour réussir, il faut que le repentir soit sincère. Le repentir superficiel n’a
aucun effet utile. Mais il n’y a pas de bons résultats que nous ne puissions
atteindre, si nous sommes fidèles aux principes sur lesquels s’appuie le
repentir.
Par
Richard L. Evans
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AUTONOMIE ET ENTRAIDE
L’autonomie
est le produit d’une vie prévoyante et de l’exercice d’une autodiscipline
financière. Depuis le début, l’Eglise enseigne que la famille, dans la mesure
de ses possibilités, doit assumer la responsabilité de son bien être temporel.
Chaque génération
doit réapprendre les principes de base de l’autonomie : éviter les dettes,
appliquer des principes d’économie, se préparer pour les temps de détresse,
écouter et suivre les paroles des oracles vivants, acquérir la discipline de
distinguer entre les besoins et les désirs, et vivre en conséquence.
L’objectif,
les promesses et les principes qui sous tendent nos efforts pour veiller sur
les pauvres et les nécessiteux s’étendent bien au-delà de la condition
mortelle.
Cette œuvre
sacrée n’est pas destinée à aider et bénir seulement les personnes qui
souffrent ou sont dans le besoin.
En tant que
fils et filles de Dieu, nous ne pouvons pas hériter d’une pleine mesure de vie
éternelle sans nous investir totalement dans la sollicitude les uns envers les
autres tandis que nous sommes ici sur terre.
C’est dans le
processus bienveillant du sacrifice et du
don de nous-mêmes pour d’autres que
nous apprenons les principes célestes du sacrifice et de la consécration.
Prendre soin
les uns des autres et être « bon pour les pauvres » est une œuvre
sanctifiante, commandée par le Père et divinement conçue pour bénir, raffiner
et exalter ses enfants.
Puissions-nous
suivre la recommandation du Sauveur à un docteur de la loi dans la parabole du
Bon Samaritain : « Va, et toi, fais de même. »
H. David
BURTON Évêque Président.
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