VOUS
FAITES LE CHOIX DE VOUS OFFENSER.
QU’EST-CE
QUE CA VEUT VRAIMENT DIRE ?
Dans une discussion en ligne à propos de mon article « 30
questions n’ont jamais été posées à mon mari », j’ai décelé un thème
récurrent dans la plupart des commentaires :
La phrase « vous faites le choix d’être offensé »
(ou autres variations du même genre), émergeai çà et là, encore et encore, en
réponse à l’article.
J’ai trouvé cela fascinant, parce que je n’étais pas
personnellement offensée par ces
questions ; Je suis cependant très curieuse à propos des sous-entendus
liés au différentes hypothèses, je suis soucieuse de l’impact de nos
perceptions non vérifiées, et je crois que nous pourrions, en tant qu’individus,
bénéficier grandement de plus d’introspection personnelle, de remise en
question, et de dialogues réfléchis.
Voici quelques exemples de commentaires en provenance de
forum publiques, qui illustrent bien le thème « vous faites le choix de
vous offenser » :
Qu’est-ce que les dirigeants de l’Eglise ont dit à propos
de choisir d’être offensé ?
Il y a une anecdote mormone qui circule selon laquelle
Brigham Young aurait dit que ceux qui s’offensent sont des imbéciles, que l’offense
ait été voulue ou non.
Et bien sûr, le discours très documenté (et plus axé sur
la doctrine) sur le sujet par Elder David A. Bednar, qui a déclaré :
« C’est nous qui choisissons de nous offenser de
quelque chose ; il ne s’agit pas d’une situation qui nous est infligée ou
imposée par quelqu’un ou quelque chose d’autre ».
Je crois de tout mon cœur que nous sommes ultimement
responsable de nos propres émotions, perceptions, expériences, et offenses. Cependant,
je pense que c’est important de faire la distinction entre prendre la
responsabilité de nos propres sentiments, et prendre sur nous le droit de
pointer les autres du doigt lorsqu’ils prennent ou ne prennent pas la responsabilité
de leur expériences (par exemple : lorsque, selon nous, quelqu’un
fait le choix d’être offensé).
Il semblerait que trop
souvent la carte « choisir d’être offensé » est utilisée pour juger
quelqu’un, invalider son expérience, pour qu’il ait honte, ou pour châtier, et
peut être même pour arrêter efficacement toute discussion. Cette carte peut
aussi être utilisée comme bouclier, pour éviter d’avoir à se remettre en
question et se demander si notre comportement peut effectivement être
offensant, et si nous devrions faire amende honorable. Elle peut être utilisée
comme arme de jugement ou minimiser l’expérience de quelqu’un d’autre. Voici quelques
idées à prendre en compte dans l’effort d’élargir notre façon de penser à
propos de cette phrase importante :
« VOUS
FAITES LE CHOIX DE VOUS OFFENSER »
EST
UN CONSEIL QUI DOIT UNIQUEMENT S’APPLIQUER A NOUS, ET NON AUX AUTRES.
Notre tendance à utiliser un conseil, des citations de
nos dirigeants ou des commandements comme outil de comparaison pour juger les autres,
au lieu de les mettre en pratique pour nous même.
Tout comme les standards de pudeur sont conçus pour être
mis en pratique par nous-même, sur nous-même et ceux dont nous avons l’intendance,
ce n’est aussi pas notre boulot de juger qui devrait ou ne devrait pas se
sentir offensé par une situation donnée.
Cela
mène parfois à un comportement pharisaïque visant à minimiser l’expérience des
autres.
Peut-être que dans des situations très spécifiques, un
ami proche ou un confident peut gentiment nous faire savoir si nous nous
montrons trop sensible, mais ce genre de conseil ne sera certainement pas bien
reçu ou assimilé par un inconnu sur internet, écrivant un commentaire sur un
mur de discussion.
Faisons-en
sorte d’évaluer notre propre droiture au lieu de dénoncer les faiblesses des
autres.
« VOUS
FAITES LE CHOIX D’ÊTRE OFFENSE »
N’est
pas une excuse pour notre comportement blessant ou insensible.
Si quelqu’un est offensé ou blessé par vos paroles ou
votre comportement, il est facile de détourner sa responsabilité en lui collant
une étiquette de personne trop sensible. Lorsqu’elle est utilisée comme un
bouclier, pour éviter de prendre conscience du problème, sortir la phrase « vous
faites le choix d’être offensé » vous vole de l’opportunité de prendre
votre place dans votre relation. Personne ne veut penser qu’il ou elle est blessant
ou participe à la souffrance d’un autre, mais la vérité est que nous le faisons
tous. Pourquoi ne pas volontairement nous remettre en question et découvrir
quels sont nos angles morts individuels et culturels, au lieu de prétendre que
nous n’en avons pas ?
Toutes les relations sont circulaires, et les deux
personnes contribuent à la dynamique. Il est de notre responsabilité de méditer
à notre propre contribution à la dynamique de la relation. Dire à quelqu’un qu’il oui elle a choisi d’être offensé ou est trop
sensible, est une façon détournée d’arrêter une conversation, afin d’éviter
toute responsabilité.
PARFOIS
« FAIRE LE CHOIX D’ÊTRE OFFENSE »
EST
UNE RÉPONSE APPROPRIÉE ET SAINE
Lorsque nous utilisons la phrase « vous faîtes le
choix d’être offensé », il y a souvent une supposition implicite (ou
explicite) qu’être offensé est une mauvaise chose. Il y a des situations pour
lesquelles une réponse appropriée, et même saine, est d’être offensé
profondément, par quelque chose ou quelqu’un.
Des
comportements abusifs, des comportements manipulateurs, des commentaires
irrespectueux ou rabaissant sont quelques-uns des exemples pour lesquels se
sentir en colère, avoir du ressentiment, et être contrarié est une réponse
saine.
Dans ma pratique clinique, j’ai vu beaucoup de Saints des
Derniers Jours dissimuler, minimiser ou ignorer certains comportements
offensants, dans l’effort de « pardonner » (ou sembler pardonner),
afin d’éviter le conflit, ainsi que pour une multitude d’autres raisons.
Je me souviens avoir travaillé avec une cliente qui avait
été abusée par un voisin (également membre de la paroisse) lorsqu’elle avait
neuf ans. Elle avait finalement parlé de ce qui s’était passé à ses parents
quelques années après que cela se soit produit. Ils lui ont dit que ce qui s’était
passé était mal, et lui ont ordonné de ne plus retourner dans la maison de ce
voisin. « Cela n’a pas eu l’air de les contrarier ». Ma cliente
voulait que ses parents soient offensés qu’ils soient horrifiés par l’abus qui
s’était produit. Parce qu’ils n’ont pas montré de fortes émotions négatives, et
n’ont pas pris de mesures additionnelles (comme rapporter l’abus aux autorités,
parler aux voisins, en discuter avec les dirigeants de l’église etc.), ma
cliente a vécu dans un sentiment de solitude, et croyait que ce qu’il s’était
passé n’était pas si important pour ses parents.
L’utilisation incorrect de la phrase « vous faites
le choix d’être offensé » peut créer des distances au lieu de créer des
connections, dans vos familles, paroisses et communautés.
Cela peut vous empêcher de recevoir des informations
importantes sur nous même lorsque nous l’utilisons pour décliner nos
responsabilités. Cela peut être utilisé pour minimiser la souffrance de quelqu’un
d’autre.
Lorsque nous devenons conscients que quelqu’un a été
offensé par quelqu’un que nous avons dit ou fait, au lieu de les étiqueter
comme étant « facilement offensés », il serait sage de nous poser d’abord
ces questions :
· - Quelle
a été ma contribution à l’événement qui les a fait se sentir offensés ?
· - Ai-je
été insensible ou manipulateur sans m’en rendre compte ?
· - Est-ce
que c’est quelque chose qui arrive fréquemment dans ma relation, et qui serait
bénéfique pour moi d’explorer pour mieux comprendre ?
· - Que puis-je
apprendre de cette interaction qui m’aidera à être plus sensible, plein de
compassion et plus comme le Christ ?
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
VOULEZ
VOUS VRAIMENT ÊTRE PLUS HEUREUX ?
A LA
RECHERCHE DU BONHEUR
Dans une église où la croyance est que le Seigneur nous
demande de faire de notre mieux, il peut être difficile de trouver le bonheur
et de faire face à ce que nous percevons être de la pression.
Chaque année, un membre pratiquant de l’Eglise peut s’attendre
à ce qu’on lui demande d’assister à 175 heures de services religieux. Cela ne
compte pas le temps passé à participer à des réunions de dirigeants, à servir
au temple, à assister aux réunions de paroisse ou de pieu ou le temps à servir
dans ses appels.
En plus de ça, nous devons faire face à la vie. Les obstacles
de la vie sont parfois accablants et même spirituellement handicapants. Il est
parfois difficile de sourire avec sincérité.
Il y a des milliers de raisons qui nous empêchent de
sourire sincèrement.
Nous
ne nous sentons pas soutenus par les membres de notre paroisse, nous nous
sentons seuls à l’Eglise. Nous ne trouvons pas de joie dans nos foyers. Nous sommes
attaqués par nos doutes. La dépression et l’anxiété gâchent les aspects
positifs de nos vies. En gros, nous n’avons pas la forme ! Ce manque de
bonheur entraîne certains d’entre nous à regarder là où l’herbe parait plus
verte.
Certains sont peut-être même déjà partis explorer ces
nouveaux horizons. Peu importe ce que nous trouverons, ce besoin de trouver le
bonheur est réel.
S’il vous a déjà été difficile de ressentir de la joie,
vous n’êtes pas seul. Voici sept choses que vous pouvez faire pour trouver le
bonheur.
Au lycée, le mantra de l’un de mes professeurs était :
« vous choisissez d’être offensés ». Pour moi, cela veut dire que je
ne peux pas toujours contrôler la situation mais je peux choisir ma façon de
réagir. Par exemple, je peux choisir d’être heureux. Je peux choisir de ne pas
me mettre en colère. Je peux choisir de ne pas laisser la tristesse ou la
culpabilité prendre le dessus. Même si cela est difficile, nous pouvons tous le
faire.
« Vous
pouvez être sage et heureux ou bête et malheureux. Le choix vous appartient. »
Gordon B. Hinckley.
Vous avez le pouvoir de choisir. Dieu nous a fait don du
libre arbitre et voici quatre choses à savoir sur le libre arbitre :
-
Vous êtes libre de choisir
-
Vous ne pouvez pas échapper aux conséquences
de vos choix ou de ceux des autres, qu’elles soient positives ou négatives.
-
Vous ne pouvez pas prendre le libre arbitre
de quelqu’un
-
Nous choisissons nos réactions face aux
épreuves de la vie.
Nous pouvons utiliser notre libre arbitre et choisir d’être
plus heureux. Cela dit, cela peut s’avérer être difficile.
Commencez par noter ce que vous faites ou dites lorsque
vous avez des pensées négatives. Une fois que vous en avez conscience, changez
ce comportement. Au lieu de jurer, dites « papillons » ! au lieu
de vous jeter sur le litre de crème glacée qui se trouve dans votre
congélateur, allez faire un tour pour prendre l’air.
Il est important d’utiliser votre don du libre arbitre. Comment
vous sentiriez vous si vous offriez un cadeau à un ami et qu’ensuite il le
néglige ? vous seriez blessé. C’est pour cela que nous devons aussi
prendre soin de ce don.
En utilisant correctement
notre libre arbitre, nous nous concentrons sur le positif (comme le bonheur) au
lieu du négatif, nous honorons Dieu et ressentons plus de joie.
TOURNEZ
VOUS VERS LE SEIGNEUR ET SOYEZ OBÉISSANT
Tournez-vous vers le Seigneur. En le suivant et en
faisant ce qui le rend heureux (pas seulement ce que nous voulons), nous
ressentirons plus de joie.
En Oklahoma, le président de mission Nolan Taylor a
enseigné à ses missionnaires l’importance de se tourner vers Dieu créant cette
combinaison de mots : tourne-toi, écoute, agis. Cela veut dire « tourne-toi
vers le Seigneur ; écoute ses paroles ; fait sa volonté ».
TOURNEZ-VOUS
VERS LE SEIGNEUR
Recherchez sa volonté avec foi et ayez le désir de
changer et de suivre son exemple.
ECOUTEZ SA PAROLE
Étudiez humblement les paroles des prophètes et écoutez
les personnes que Dieu a placé sur votre chemin pour vous conseiller (vos
évêques, visiteurs au foyer, présidente de la Société de Secours, et.)
FAITES
SA VOLONTÉ
Ecoutez et obéissez à la voix de l’Esprit, cela vous
aidera à reconnaître sa volonté.
Quel rappel puissant ! En vous tournant totalement
vers le Seigneur, nous serons plus obéissants. Dieu veut que nous soyons
heureux car après tout, « les hommes sont pour avoir de la joie ».
En suivant ce modèle et en faisant preuve de plus d’obéissance,
vous serez beaucoup plus heureux.
« Quand
nous aimons le Seigneur, l’obéissance cesse d’être un fardeau. L’obéissance
devient un plaisir ». Joseph B.Wirthlin.
En prenant du plaisir à vous tourner vers le Seigneur,
vous baignerez dans la joie, mais plus encore, votre Père céleste sera heureux
de votre obéissance.
APPRENEZ
A AIMER
Quand nous nous retenons d’aimer, nous rejetons le
bonheur. Il peut être difficile d’aimer. Nous avons été blessés alors nous
restons sur nos gardes. Nous nous raccrochons à la colère et la culpabilité, il
nous est alors difficile de nous pardonner et de pardonner à autrui.
Parfois nous doutons de notre capacité à nous aimer ou à
aimer une autre personne. C’est là que la prière est notre meilleur allié. Voici
trois choses pour lesquelles vous pouvez prier :
-
Demandez à Dieu de vous montrer l’amour qu’il
ressent pour cette personne.
-
Priez pour avoir la force d’aimer comme Dieu
aime.
-
Demandez à ressentir les bras de Dieu vous
encercler (de ses bras
spirituels).
« N’oubliez
jamais que votre Père céleste vous connait, vous aime et vous chérit ».
Dieter F. Uchtdorf
L’amour de Dieu est puissant ! Il apporte de la
force dans les moments de paix et d’épreuves. Quand vous priez pour recevoir
son amour, Dieu vous aidera à aimer autrui comme il les aime et il vous guidera
sur votre route pour devenir plus heureux.
APPORTEZ
DU SOUTIEN LA OU VOUS ÊTES
« Qu’est-ce que j’ai à y gagner ? » Est
l’attitude des personnes qui attendent que les autres remplissent leurs
besoins. Cela n’apporte pas vraiment de joie. En nous fixant sur cette notion,
nous oublions que notre rôle est de soulager les fardeaux de nos semblables.
« Si
vous voulez obtenir la joie et le bonheur, servez vos semblables de tout votre cœur.
Soulagez leurs fardeaux, et vos fardeaux s’allègeront. Ezra Taft Benson
Président Uchtdorf a partagé une histoire à propos d’un
groupe de frères qui devaient déplacer un grand piano. La tâche était
pratiquement impossible. Un des frères a suggéré que les autres soulèvent le
piano là où ils étaient. Lorsque chaque frère a soulevé là où il se trouvait,
répartissant le poids du piano, le grand piano a bougé.
Si l’un de ces hommes avait décidé de regarder les autres
travailler, le grand piano aurait sans doute pu être déplacé mais cela aurait
représenté un poids plus important pour chaque homme à soulever.
Voici cinq façons où vous pouvez édifier là où vous êtes :
-
Acceptez et magnifiez vos appels
-
Faites vos visites aux foyers et vos visites
de sœurs visiteuses
-
Aidez un nouveau membre à emménager dans la
paroisse
-
Participez à un projet de service pour la
paroisse ou le pieu
-
Si vous connaissez une mère stressée ou très
occupée, offrez-lui de garder ses enfants pendant quelques heures
En soulageant les fardeaux des autres, nous édifions là
où nous sommes. Même si cela demande de notre temps, de nos forces et de nos
moyens, la joie et les sentiments que nous ressentons en le faisant n’ont pas
de prix.
TENEZ
UN JOURNAL DE MIRACLES
Parfois, nous avons l’impression de faire tout ce qui est
attendu de nous et pourtant, ce n’est jamais assez. Il est alors difficile de
ressentir de la joie. Nous sommes incapables de voir que les « écluses des
cieux » sont ouvertes et que nous sommes bénis.
Il y a un moment pendant ma mission où je voulais être
capable de mieux reconnaître mes bénédictions, j’ai ressenti que chaque jour,
je devais écrire un miracle que j’avais observé. Au début ces miracles étaient
simples et mondains, mais je me suis bientôt rendu compte que c’était bien plus
que cela.
« Il
n’existe que deux façons de vivre votre vie. L’une comme si rien n’était un
miracle et l’autre comme si tout était un miracle » Albert Einstein
Voici comment vous pouvez tenir un journal de miracles :
-
Gardez les yeux ouverts pour reconnaître les
miracles
-
Chaque soir, avant de vous coucher, écrivez
certains de ces miracles
-
Quand vous passez par une période difficile,
relisez la liste que vous avez écrite
En faisant l’effort de reconnaître ces miracles et en
apprenant à les apprécier j’ai trouvé la joie que je recherchais. En tenant un
journal de miracles, vous aussi pourrez vivre cette expérience. Au début, vous
écrirez sans doute des choses qui ressembleront à des coïncidences aux yeux du
monde, mais petit à petit, vous trouverez de la joie car vous reconnaîtrez la
main de Dieu dans votre vie.
RENDEZ QUELQU’UN HEUREUX
Parfois, ce sont les autres qui sont la solution à notre
quête du bonheur. Ils nous tendent les bras quand nous souffrons. Ils déposent
des cookies ou un petit mot juste pour nous dire qu’ils pensent à nous. En résumé,
ils nous aident à nous sentir mieux et, on l’espère, ils nous encouragent à
faire de même pour les autres.
« Pour
trouver le vrai bonheur, nous devons nous concentrer sur une autre chose que
nous-même » Thoms S. Monson
Thomas S. Monson est un grand exemple à suivre, toute sa
vie, il a tendu sa main et rendu heureux les autres. Voici certaines choses qu’il
a faites et que nous pouvons faire aussi :
-
Quand il était jeune, il entretenait le
jardin de son voisin
-
Quand il était évêque, il rendait visite aux
personnes âgées et aux malades
-
En tant que prophète, il a touché le cœur des
autres en partageant des mots gentils et encourageants
En passant une semaine à vous concentrer sur les autres
et à essayer de les rendre heureux, vous ressentirez de la joie et vous
recevrez aussi ces trois bénédictions :
-
Vous éprouverez plus d’amour et vous rirez
plus
-
Vous développerez des relations plus fortes
-
A la fin de la semaine, vous serez plus
heureux que vous ne l’étiez au début.
Avec un peu de chance, au lieu d’accepter ce challenge
pendant une semaine, vous aurez gagné le désir de vous concentrer sur les
autres et vous le ferez au quotidien.
ÉTUDIEZ LES ÉCRITURES
La chasse au trésor a depuis toujours été une mode. Les célèbres
pirates comme Davy Jones et Barbe Noire étaient connus pour leur conquête des
sept mers à la recherche d’or et leurs combats contre les flottes navales pour
obtenir plus de pouvoir. Leur soif de richesses n’était jamais satisfaite. Si
seulement ils avaient su le pouvoir que les Ecritures renferme, ils seraient
partis en quête des Ecritures, car elles ont plus de valeur que l’or.
«
Les écritures sont comme des colonnes de lumière qui illuminent notre esprit et
nous permettent d’être dirigés et inspirés d’en haut. » Richard G. Scott
Grâce aux écritures, vous recevrez un pouvoir et une
force qui ne viennent que de Dieu et voici comment faire :
-
Chaque jour, passez quelques minutes à
étudier des versets qui parlent du bonheur
-
Ecrivez une notre sur ces versets que vous
pouvez garder dans votre poche
-
Quand vous rencontrez des obstacles, faites
référence à cette note et méditez sur ces mots.
Ces versets ne vous libéreront pas entièrement de vos épreuves,
mais ils allégeront vos fardeaux. Ils vous donneront de la force : la
force de résister aux tentations et de surmonter les obstacles de la vie.
Les écritures apportent des réponses à celui qui demande ;
et de la paix au désemparé. Les écritures vous apporteront de la joie si vous
les méditez.
QUE
CHOISIREZ VOUS ?
Etre heureux ne veut pas simplement dire sourire. Pour atteindre
le bonheur, nous devons constamment faire des choix qui pourvoiront au bien
être de notre santé émotionnelle. En premier lieu, nous devons choisir d’être
heureux.
Nous espérons que vous appliquerez ces sept façons d’être
plus heureux.
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