lundi 27 février 2017

JOURNAL DE MARS 2017

LE GRAND DÉFI DES 14 JOURS

L’AMOUR EST L’ESSENCE MÊME DE ÉVANGILE ET JÉSUS CHRIST EST NOTRE EXEMPLE


Il y a de l’amour dans l’air… si cela n’est pas le cas pour vous, cela pourrait l’être.
Avec l’apparition partout des boîtes de chocolat en forme de cœur, des petits cupidons en sucre, des cartes pour la Saint Valentin et de tous les petits animaux en peluche sur les étagères des magasins, il est clair qu’il y a une commercialisation évidente de l’amour durant le mois de février.

Mais l’amour ne se limite pas à un mois. L’amour ne dépend pas de l’état d’une relation. En fait, cela ne concerne pas qu’un seul jour, cela concerne tous les jours.
Selon les paroles de notre prophète bien aimé, Thomas S Monson :


« L’amour est l’essence même de l’Evangile et Jésus Christ est notre exemple »


Si nous voulons être de meilleurs disciples du Christ, nous devons être plus, nous devons AIMER plus. 

Pour se concentrer sur l’essence de l’Evangile et veiller à ce qu’il y ait de « l’amour dans l’air », nous vous invitons à participer à notre défi de 14 jours à s’aimer les uns les autres.


LE DÉFI DES 14 JOURS


1er jour : Faites preuve de patience.
2 ème jour : Oubliez les défauts de quelqu’un.
3 ème jour : Regardez au-delà de ce qui est apparent.
4 ème jour : Résistez à l’impulsion de mettre des étiquettes sur les autres.
5 ème jour : Considérez la situation à travers les yeux de l’autre.
6 ème jour : Pardonnez à quelqu’un qui vous a fait du mal.
7 ème jour : Ne critiquez pas les actions ou les circonstances.
8 ème jour : Faites preuve d’indulgence envers quelqu’un.
9 ème jour : Prenez 10 minutes pour écouter réellement quelqu’un.
10 ème jour : Parlez avec gentillesse.
11 ème jour : Dites merci à quelqu’un.
12 ème jour : Concentrez-vous sur ce que vous avez en commun avec tous ceux que vous rencontrez.
13 ème jour : Faites un compliment sincère.
14 ème jour : Considérez toutes les personnes auxquelles vous  parlez à travers les yeux de Dieu.

Chaque jour, pour vous aider, choisissez l’une de ces choses et faites là pour démontrer votre amour à quelqu’un.

Comme il est dit dans le Nouveau Testament ainsi que dans le fameux cantique « Aimez vos frères »,


« Les hommes sauront qui sont mes disciples, si vous vous aimez les uns les autres ».


Par nos actions, nous pouvons vraiment faire en sorte qu’il y ait de l’amour dans l’air.

Relevez le défi de s’aimer les uns les autres en 14 jours et faites la différence parmi le monde qui vous entoure.



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L'AUTONOMIE


L’autonomie est le produit d’une vie prévoyante et de l’exercice d’une autodiscipline financière. 
Depuis le début, l’Eglise enseigne que la famille, dans la mesure de ses possibilités, doit assumer la responsabilité de son bien être temporel. 
Chaque génération doit réapprendre les principes de base de l’autonomie : éviter les dettes, appliquer des principes d’économie, se préparer pour les temps de détresse, écouter et suivre les paroles des oracles vivants, acquérir la discipline de distinguer entre les besoins et les désirs, et vivre en conséquence.


L’objectif, les promesses et les principes qui sous tendent nos efforts pour veiller sur les pauvres et les nécessiteux s’étendent bien au-delà de la condition mortelle. 
Cette œuvre sacrée n’est pas destinée à aider et bénir seulement les personnes qui souffrent ou sont dans le besoin. 
En tant que fils et filles de Dieu, nous ne pouvons pas hériter d’une pleine mesure de vie éternelle sans nous investir totalement dans la sollicitude les uns envers les autres tandis que nous sommes ici sur terre. 
C’est dans le processus bienveillant du sacrifice et du don de nous-mêmes pour d’autres que nous apprenons les principes célestes du sacrifice et de la consécration. Prendre soin les uns des autres et être « bon pour les pauvres » est une œuvre sanctifiante, commandée par le Père et divinement conçue pour bénir, raffiner et exalter ses enfants. 
Puissions nous suivre la recommandation du Sauveur à un docteur de la loi dans la parabole du Bon Samaritain : « Va, et toi, fais de même. » 
H. David BURTON Évêque Président.

Voyons-nous à quel point l’autonomie devient fondamentale lorsqu’on la considère comme la condition préalable au service, lorsque nous savons aussi que le service, c’est ce qui fait le divin ? Sans autonomie, il est impossible de concrétiser ce désir inné de rendre service. Comment pouvons-nous donner si nous n’avons rien ? La nourriture pour les affamés ne peut pas provenir d’étagères vides. L’argent pour aider les nécessiteux ne peut pas provenir d’un porte-monnaie vide. Le soutien et la compréhension ne peuvent pas venir d’une personne vide sur le plan émotionnel. L’enseignement ne peut pas être dispensé par des personnes qui ne sont pas instruites. Et, ce qui est le plus important de tout, les conseils spirituels ne peuvent provenir de gens qui sont faibles spirituellement.
Il existe une interdépendance entre les gens qui ont et ceux qui n’ont pas. Le don élève le pauvre et amène le riche à l’humilité. Par ce processus, tous deux sont sanctifiés. Les pauvres, délivrés des liens et des limites de la pauvreté, peuvent s’élever temporellement et spirituellement vers leur plein potentiel, en hommes libres. Les riches, en donnant de leur excédent, prennent part au principe éternel du don. Lorsque quelqu’un est remis sur pieds ou rendu autonome, il tend la main pour aider les autres et le cycle se répète.
Nous sommes tous autonomes dans certains domaines et dépendants dans d’autres. Chacun de nous doit donc s’efforcer d’aider les autres dans les domaines où il est fort. En même temps, l’orgueil ne doit pas nous empêcher d’accepter de bonne grâce la main et l’aide de quelqu’un d’autre lorsque nous avons un besoin réel. Sinon, cela prive quelqu’un de l’occasion de prendre part à une expérience sanctificatrice.
Par Marion G. ROMNEY
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Cinq moyens de réduire le stress
Par Paula J. Lewis



Vous vous sentez débordés ?
Demandez de l'aide à notre Père céleste, et voyez ces moyens de réduire le stress.

1- Fixez-vous des priorités.

Si vous avez le sentiment d’essayer d’en faire trop, examinez ce que vous faites. Certaines activités sont moins importantes que d ’autres et requièrent moins de temps et d’attention. Décidez de ce qui est le mieux que vous fassiez, puis concentrez-vous sur ces priorités. 

Faites la distinction entre ce qui est essentiel et ce qui ne l’est pas. Les choses essentielles comprennent le repos, une bonne nourriture, la prière, l’exercice physique, les appels dans l’Eglise, l’assistance aux réunions et l’étude des Écritures. Les autres priorités dépendent de votre situation.

2- Faites une pause.

Pour réduire le stress on peut aussi faire une pause dans la routine habituelle. Ce peut être une demi-heure de sieste, une promenade ou une activité en famille.

3- Demandez de l'aide.


Si t vous avez besoin d’aide, demandez-la. Une mère surchargée a prié pour être guidée, a parlé de ce qu’elle ressentait avec son mari, puis a exposé ses soucis pendant un conseil de famille. Les membres de la famille ont décidé de se partager une grande partie des tâches du soir. Grâce à cette aide, la mère a commencé à se sentir mieux et, en travaillant ensemble, les membres de la famille se sont sentis plus proches. 

Dans une autre famille, après la naissance d’un enfant handicapé, les parents ont rapidement été débordés. Mais avec l’aide quotidienne des sœurs de la Société de Secours, ils ont pu faire face à leurs responsabilités.

4- Éliminez ce qui n'est pas essentiel.


Pour faire face au stress on peut aussi éliminer certaines tâches de sa liste. Une année, l’école de notre quartier n’a pas trouvé suffisamment de bénévoles pour faire un grand carnaval. Lorsqu’il a dû être annulé, des parents ont organisé à la place des petites fêtes demandant moins de temps.

5- Agissez.


Il y a des moments où, par la prière, on se rend compte que la meilleure solution est simplement de faire ce qui doit être fait. Dans ces moments, nous devons nous souvenir que « quiconque place sa confiance en Dieu sera soutenu dans ses épreuves, et ses difficultés, et ses afflictions » (Aima 36 :3). 

Si nous nous efforçons de faire pour le mieux, en demandant toujours la confirmation par la prière, notre Père céleste nous aidera à résoudre nos problèmes.

Avec son aide, nous pouvons utiliser notre temps et nos talents avec sagesse, avoir une vie équilibrée et trouver de la joie dans les nombreuses tâches qui nous attendent.















vendredi 17 février 2017

APPLIQUER TOUTES LES ÉCRITURES A NOUS



Le Seigneur nous a dotés de ressources puissantes pour atteindre la vie éternelle : les Écritures. Elles nous permettent, entre autres, de savoir que Jésus est le Christ et d’obtenir la connaissance et les attributs nécessaires au salut. Il nous arrive pourtant de trouver, au cours de notre étude, des passages qui nous semblent avoir peu de rapport avec notre situation. Par exemple, il peut être difficile d’imaginer que les instructions données par les prophètes de l’Ancien Testament soient de quelque utilité aux membres d’aujourd’hui. Certains principes sous-jacents peuvent cependant aisément s’appliquer à n’importe quel disciple du Christ.
Comment donc pouvons-nous mieux « appliquer toutes les Écritures à nous-mêmes » (1 Néphi 19 :23) ?

En premier lieu, nous devons nous attacher aux vérités que les prophètes du Seigneur ont toujours soulignées. Les principes justes et les ordonnances salvatrices sont les mêmes dans toutes les dispensations. La foi, le repentir, le baptême, le pardon, le don du Saint-Esprit et la persévérance jusqu’à la fin ont été enseignés depuis le commencement (voir Moïse 5 :58 ; 6 :51-60 ; 8 :24 ; Galates 3 :8 ; Hébreux 4 :1-2). Parmi les principes enseignés, dans les Écritures, par le précepte et par l’exemple, citons l’amour de Dieu et du prochain.

Deuxièmement, nous devons être conscients du fait que certaines révélations ont été données en fonction des circonstances d’une période particulière. Par exemple, les révélations de construire une arche, de quitter Ur en Chaldée, de faire sortir Israël de la servitude, de détruire les Cananéens ou de vivre la loi de Moïse ne s’adressent pas à nous.
Cependant, il y a dans ces révélations des principes que nous pouvons adapter à notre propre quête de la perfection. Par exemple, il est peu vraisemblable que nous ayons à tuer un Goliath, mais nous devrons peut-être exercer la même foi que David. Peut-être n ’aurons-nous pas, comme Abraham, à nous préparer à sacrifier notre fils unique, mais nous devrions être prêts à abandonner tout ce que le Seigneur nous demandera.
Nous ne serons peut-être pas contraints par l’Esprit à tuer Laban, mais nous devrons tous nous résoudre à aller faire ce que le Seigneur a commandé, comme le fit Néphi (1 Néphi 3 :7).

Troisièmement, nous devons savoir que le Seigneur, dans sa sagesse, trouve parfois bon de changer ses instructions. Par exemple, les premiers apôtres reçurent la directive de partir sans argent ni sac (voir Matthieu 10 :9-10). Plus tard, il leur fut commandé : « Que celui qui a un sac le prenne » (Luc 22 :36). En plus, ils reçurent d’abord le commandement : « N ’allez pas vers les païens » (Matthieu 10 :5). Mais par la suite, il leur fut fait cette remarque impérative : « Faites de toutes les nations des disciples » (Matthieu 28 :19). Des exemples similaires existent dans notre dispensation (voir D & A 52 :22 ; 56 :4-8). Pour éviter une interprétation erronée des Écritures, il faut les étudier toutes.
Quatrièmement, si nous écoutons les enseignements des prophètes actuels, des explications claires nous sont données pour appliquer les Écritures à nous-mêmes. Bruce R. Mc CONKIE, du Collège des douze apôtres, a écrit : « La ligne de conduite idéale que nous devons suivre consiste à nous maintenir dans le courant dominant de l’Église.
C’est l’Église du Seigneur et elle est dirigée par inspiration, et ce que pratique l’Eglise constitue l’interprétation des Écritures ».
L’apôtre Paul nous rappelle : « Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre » (2 Timothée 3 :16-17). Remarquez bien qu’il précise toute Écriture.
Lorsque nous cherchons quelles Écritures s’appliquent à nous, nous pouvons nous poser la question : Ce principe m’aidera-t-il à devenir plus semblable au Christ ?

Nous pouvons aussi faire ce test en trois questions :

Mon interprétation est-elle en accord avec 
(1) les enseignements des ouvrages canoniques,
(2) les paroles des prophètes modernes et
(3) avec le témoignage du Saint-Esprit ?
Si nous répondons positivement, nous pouvons alors nous appliquer les Écritures à nous-mêmes en appliquant les principes qu’elles enseignent.

Par George A. Norton, fils

dimanche 5 février 2017

RECEVOIR LA RÉVÉLATION PERSONNELLE






Le prophète Néphi a promis : « Si vous voulez . . . recevoir le Saint-Esprit, il vous montrera tout ce que vous devez faire » (2 Néphi 32 :5).
En tant que membres de l’Eglise du Seigneur, nous avons la bénédiction de recevoir la révélation personnelle qui découle de la compagnie du Saint-Esprit.

UN LANGAGE DE PAIX
Comment reçoit-on la révélation personnelle ?
« Approchez-vous de moi », dit le Seigneur, « et je m’approcherai de vous ; cherchez moi avec diligence et vous me trouverez » (D & A 88:63).
Une prière sincère, faite avec foi et au nom de Jésus-Christ, ouvre les deux. Les cœurs adoucis par le repentir et les esprits préparés par l’étude sont prêts à recevoir l’inspiration. (Voir D & A 8:2 ; 9:7-9).
Comment reconnaissons-nous la révélation personnelle lorsque nous la recevons 1 Dallin H. Oaks, du Collège des Douze, a expliqué : « Dieu instruit ses fils et ses filles par le pouvoir de son Esprit qui éclaire leur esprit et les apaise à propos de ce qu’ils ont demandé ».
La révélation se manifeste souvent sous forme de sentiments. Boyd K. Packer, du Collège des Douze, a décrit ainsi la révélation personnelle : « Ces communications spirituelles délicates et raffinées . . . que l’on ressent plus que l’on entend . . . L’Esprit . . . préfère chuchoter. Sa caresse est si douce que si nous sommes préoccupés, nous pouvons ne pas nous en apercevoir ».

UNE SOURCE DE RÉCONFORT ET DE CONSEIL
Sœur Sveinbjôrg Gudmundsdôttir, de Reykjavik (Islande), a subi une terrible épreuve. Un matin, deux de ses fils et un ami sont partis escalader la pente neigeuse d’une montagne non loin de chez elle. Durant l’escalade, deux d’entre eux, son fils aîné et leur ami, leur président de branche, ont perdu la vie. Sœur Gudmundsdôttir avait le cœur brisé de chagrin. Elle ne comprenait pas pourquoi le Seigneur avait permis que cette tragédie se produise.
Ce soir-là, comme tous les soirs, elle s’est agenouillée pour remercier le Seigneur de la journée passée. Mais elle ne parvenait pas à prononcer un mot. Elle se demandait : «Comment pourrais-je le remercier de cette terrible journée ? » Puis elle s’est souvenue de son autre fils qui était revenu en vie. Elle a remercié le Seigneur de l’avoir protégé et de la bonté des deux hommes qui étaient morts. Elle a ensuite exprimé sa gratitude pour ses quatre autres enfants, leurs conjoints et ses petits-enfants. Elle a écrit : « A chaque parole de remerciement le poids qui m ’écrasait diminuait, et un doux sentiment revivifiant s’est mis à m ’envahir. J’avais l’esprit totalement en paix et le cœur empli de joie ».
Elle s’est alors demandé comment elle pouvait ressentir de la joie après ce qui s’était passé. L’Esprit lui avait enseigné que «même dans les plus profonds chagrins notre Père céleste peut nous bénir en nous accordant la paix et la joie »
Sheri L. Dew, deuxième conseillè­re dans la présidence générale de la Société de Secours, nous rappelle : « Une femme dirigée par le Seigneur sait dans quelle direction elle doit se tourner pour trouver des réponses et la paix. Elle peut prendre des décisions difficiles et affronter les problèmes avec confiance parce qu’elle recherche les conseils de l’Esprit »