LE GRAND DÉFI DES 14 JOURS
Il y a de l’amour dans l’air… si cela n’est pas le cas pour vous, cela pourrait l’être.
Avec l’apparition partout des boîtes de chocolat en forme de cœur, des petits cupidons en sucre, des cartes pour la Saint Valentin et de tous les petits animaux en peluche sur les étagères des magasins, il est clair qu’il y a une commercialisation évidente de l’amour durant le mois de février.
Mais l’amour ne se limite pas à un mois. L’amour ne dépend pas de l’état d’une relation. En fait, cela ne concerne pas qu’un seul jour, cela concerne tous les jours.
Selon les paroles de notre prophète bien aimé, Thomas S Monson :
Si nous voulons être de meilleurs disciples du Christ, nous devons être plus, nous devons AIMER plus.
Pour se concentrer sur l’essence de l’Evangile et veiller à ce qu’il y ait de « l’amour dans l’air », nous vous invitons à participer à notre défi de 14 jours à s’aimer les uns les autres.
LE DÉFI DES 14 JOURS
2 ème jour : Oubliez les défauts de quelqu’un.
3 ème jour : Regardez au-delà de ce qui est apparent.
4 ème jour : Résistez à l’impulsion de mettre des étiquettes sur les autres.
5 ème jour : Considérez la situation à travers les yeux de l’autre.
6 ème jour : Pardonnez à quelqu’un qui vous a fait du mal.
7 ème jour : Ne critiquez pas les actions ou les circonstances.
8 ème jour : Faites preuve d’indulgence envers quelqu’un.
9 ème jour : Prenez 10 minutes pour écouter réellement quelqu’un.
10 ème jour : Parlez avec gentillesse.
11 ème jour : Dites merci à quelqu’un.
12 ème jour : Concentrez-vous sur ce que vous avez en commun avec tous ceux que vous rencontrez.
13 ème jour : Faites un compliment sincère.
14 ème jour : Considérez toutes les personnes auxquelles vous parlez à travers les yeux de Dieu.
Chaque jour, pour vous aider, choisissez l’une de ces choses et faites là pour démontrer votre amour à quelqu’un.
Comme il est dit dans le Nouveau Testament ainsi que dans le fameux cantique « Aimez vos frères »,
« Les hommes sauront qui sont mes disciples, si vous vous aimez les uns les autres ».
Relevez le défi de s’aimer les uns les autres en 14 jours et faites la différence parmi le monde qui vous entoure.
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L'AUTONOMIE
L’autonomie est le produit d’une vie prévoyante et de
l’exercice d’une autodiscipline financière.
Depuis le début, l’Eglise enseigne
que la famille, dans la mesure de ses possibilités, doit assumer la
responsabilité de son bien être temporel.
Chaque génération doit réapprendre
les principes de base de l’autonomie : éviter les dettes, appliquer des
principes d’économie, se préparer pour les temps de détresse, écouter et suivre
les paroles des oracles vivants, acquérir la discipline de distinguer entre les
besoins et les désirs, et vivre en conséquence.
L’objectif, les promesses et les principes qui sous tendent
nos efforts pour veiller sur les pauvres et les nécessiteux s’étendent bien
au-delà de la condition mortelle.
Cette œuvre sacrée n’est pas destinée à aider
et bénir seulement les personnes qui souffrent ou sont dans le besoin.
En tant
que fils et filles de Dieu, nous ne pouvons pas hériter d’une pleine mesure de
vie éternelle sans nous investir totalement dans la sollicitude les uns envers
les autres tandis que nous sommes ici sur terre.
C’est dans le processus
bienveillant du sacrifice et du don de nous-mêmes pour d’autres que nous
apprenons les principes célestes du sacrifice et de la consécration. Prendre
soin les uns des autres et être « bon pour les pauvres » est une
œuvre sanctifiante, commandée par le Père et divinement conçue pour bénir,
raffiner et exalter ses enfants.
Puissions nous suivre la recommandation du
Sauveur à un docteur de la loi dans la parabole du Bon Samaritain : « Va,
et toi, fais de même. »
H. David BURTON Évêque Président.
Voyons-nous à quel point l’autonomie devient fondamentale lorsqu’on la considère comme la condition préalable au service, lorsque nous savons aussi que le service, c’est ce qui fait le divin ? Sans autonomie, il est impossible de concrétiser ce désir inné de rendre service. Comment pouvons-nous donner si nous n’avons rien ? La nourriture pour les affamés ne peut pas provenir d’étagères vides. L’argent pour aider les nécessiteux ne peut pas provenir d’un porte-monnaie vide. Le soutien et la compréhension ne peuvent pas venir d’une personne vide sur le plan émotionnel. L’enseignement ne peut pas être dispensé par des personnes qui ne sont pas instruites. Et, ce qui est le plus important de tout, les conseils spirituels ne peuvent provenir de gens qui sont faibles spirituellement.
Il existe une interdépendance entre les gens qui ont et ceux qui n’ont pas. Le don élève le pauvre et amène le riche à l’humilité. Par ce processus, tous deux sont sanctifiés. Les pauvres, délivrés des liens et des limites de la pauvreté, peuvent s’élever temporellement et spirituellement vers leur plein potentiel, en hommes libres. Les riches, en donnant de leur excédent, prennent part au principe éternel du don. Lorsque quelqu’un est remis sur pieds ou rendu autonome, il tend la main pour aider les autres et le cycle se répète.
Nous sommes tous autonomes dans certains domaines et dépendants dans d’autres. Chacun de nous doit donc s’efforcer d’aider les autres dans les domaines où il est fort. En même temps, l’orgueil ne doit pas nous empêcher d’accepter de bonne grâce la main et l’aide de quelqu’un d’autre lorsque nous avons un besoin réel. Sinon, cela prive quelqu’un de l’occasion de prendre part à une expérience sanctificatrice.
Par Marion G. ROMNEY
Par Marion G. ROMNEY
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Cinq
moyens de réduire le stress
Vous vous sentez débordés ?
Demandez de l'aide à notre Père céleste, et voyez ces
moyens de réduire le stress.
1- Fixez-vous
des priorités.
Si vous avez le sentiment d’essayer d’en faire trop,
examinez ce que vous faites. Certaines activités sont moins importantes que d
’autres et requièrent moins de temps et d’attention. Décidez de ce qui est le
mieux que vous fassiez, puis concentrez-vous sur ces priorités.
Faites la
distinction entre ce qui est essentiel et ce qui ne l’est pas. Les choses
essentielles comprennent le repos, une bonne nourriture, la prière,
l’exercice physique, les appels dans l’Eglise, l’assistance aux réunions et
l’étude des Écritures. Les autres priorités dépendent de votre situation.
2- Faites
une pause.
Pour réduire le stress on peut aussi faire une pause
dans la routine habituelle. Ce peut être une demi-heure de sieste, une promenade
ou une activité en famille.
Si t vous avez besoin d’aide, demandez-la. Une mère
surchargée a prié pour être guidée, a parlé de ce qu’elle ressentait avec son
mari, puis a exposé ses soucis pendant un conseil de famille. Les membres de la
famille ont décidé de se partager une grande partie des tâches du soir. Grâce à
cette aide, la mère a commencé à se sentir mieux et, en travaillant ensemble,
les membres de la famille se sont sentis plus proches.
Dans une autre famille,
après la naissance d’un enfant handicapé, les parents ont rapidement été
débordés. Mais avec l’aide quotidienne des sœurs de la Société de Secours, ils
ont pu faire face à leurs responsabilités.
Pour faire face au stress on peut aussi éliminer
certaines tâches de sa liste. Une année, l’école de notre quartier n’a pas
trouvé suffisamment de bénévoles pour faire un grand carnaval. Lorsqu’il a dû
être annulé, des parents ont organisé à la place des petites fêtes demandant moins
de temps.
Il y a des moments où, par la prière, on se rend compte
que la meilleure solution est simplement de faire ce qui doit être fait. Dans
ces moments, nous devons nous souvenir que « quiconque place sa confiance en
Dieu sera soutenu dans ses épreuves, et ses difficultés, et ses afflictions »
(Aima 36 :3).
Si nous nous efforçons de faire pour le mieux, en demandant
toujours la confirmation par la prière, notre Père céleste nous aidera à résoudre
nos problèmes.
Avec son aide, nous pouvons utiliser notre temps et nos
talents avec sagesse, avoir une vie équilibrée et trouver de la joie dans les
nombreuses tâches qui nous attendent.